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L’UNRWA pris en flagrant délit de corruption

Publié le 08 février 2024 par Observatoiredumensonge

L’expérience du professeur Stanley Milgram en 1963 sur les comportements humains placés en situation de sujétion, n’est pas opposable à l’esprit de la conscience internationale. Dans les faits d’histoire ou d’actualité, lorsqu’une politique poursuit une erreur monumentale en dépit des évidences, de l’idiotie ou d’une logique insupportable, voire chargée de mensonges, d’iniquité ou de cruauté, elle persistera dans l’opinion publique jusqu’à ce que le commandement politico-diplomatique soit acculé à se récuser, par suite d’évènements produisant la preuve de ses errements. La légitimité hiérarchique étant rompue, les exécutants, ou victimes consentantes, sont alors plongés dans le déni.

Il en va de l’appellation usurpée de « réfugiés palestiniens », lesquels dans la réalité n’ont jamais quitté leur territoire, ou furent déplacés par les leurs durant les guerres de six jours (du 5 au 10 juin 1967), ou du Kippour (du 6 au 24 octobre 1973) par les leurs (coreligionnaires belligérants) pour y revenir. Constat idoine et de même cause à effet, puisque les Nations-Unies, via sa branche humanitaire l’UNRWA, versent des rentes substantielles à ces prétendus réfugiés. Mais leur nombre est considérablement augmenté d’autres réfugiés usurpateurs venant des pays du Maghreb voisin, n’ayant jamais été ni déplacés et encore moins de légitimes allocataires de ces aides devenues pérennes.

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Pour la petite histoire et pas des moindres, l’UNRWA, une agence de l’ONU créée le 8 décembre 1949, a laissé recruter dans ses rangs douze de ses employés pour participer à l’attaque sanglante du Hamas dans le sud d’Israël le 7 octobre 2023. Les fonds humanitaires et les personnels rémunérés de cet organe dédié auxdits réfugiés palestiniens depuis plus de 7 décennies, sont manifestement détournés par les terroristes pour financer leur armement et leurs troupes de criminels, au nez et à la barbe des Nations Unis. Concomitamment aux États-Unis, l’Allemagne, la Hollande, l’Italie etc.,la France suspend ses versements au premier semestre 2024,en retenant que60 millions d’euros furent déjà versés depuis Bercy en 2023 à l’UNRWA. Le quai d’Orsay précise « s’assurer que toutes ses exigences de transparence et de sécurité de l’aide sont bien prises en compte ».

Une telle hypocrisie de la Chancellerie française s’affirme, puisque ce trafic juteux était connu des politiciens et diplomates, puisqu’en lien avec des États d’Afrique du Nord, de la Péninsule arabique, de la Turquie et de l’Iran (sunnites et shi’ites confondus). Ceux-là, avec le concours plénipotentiaire de l’Hexagone, fournissent ou financent des armes et des munitions avec l’argent de ce rameau onusien. Cette passerelle financière au service de la seule organisation religieuse représentée aux Nations Unies avec l’Organisation de la Coopération mahométane (OCI) comprend 57 théocratie mahométanes sur les 187 États représentés en Assemblée générale. Il va sans dire que cette majorité cultuelle relative, à laquelle s’ajoutent les pays amis comme la France, fait la loi au sein de cette organisation internationale. Le Fatah et le Hamas y sont donc virtuellement représentés avec le soutien explicite de 30,5 % de leurs coreligionnaires en AG. Principalement alimentés par les pays occidentaux et les pétromonarchies du Golfe, tout ce monde solidaire participe directement ou indirectement au terrorisme international et à la guerre contre l’État hébreu (Source : Huffpost, 28 janvier 2024).

Voilà bien un secret de polichinelle, et nous en voulons pour preuve un ouvrage de l’auteur publié le 3 mai 2019 toujours disponible ; « L’histoire vraie sur Israël » par les Éditions de l’Observatoire du Mensonge (p. 3/4, 55, 62, 107/108, 117/120, 122/123, 127, 131, 136, 140, 232/233, 249, 267, 379, 387/388…). Non, il ne s’agissait pas de l’auteur d’un phénomène paranormal de prédiction concernant la corruption et le racket de l’UNRWA, mais d’une suite logique d’évènements fatalement prévisibles et inévitables pour tout observateur indépendant. Sachant que la stratégie du Hamas repose sur de vastes contributions des Nations-Unis et autres mécènes de l’Alʾislām, pour perpétuer sa guerre antisémite et antisioniste, comment alors ignorer cette volonté exprimée moult fois et clairement dans l’al-Qurʾān, dont le graal vise àoccire tous les Juifs et les Kuffār ? Puis encore, pourquoi l’ONU, qui a la charge statutaire de maintenir la paix dans le monde, persiste-t-elle à soutenir cette cause martiale et raciste inadmissible au XXIème siècle?

Rappelons aussi que cette organisation ad hoc auxdits réfugiés palestiniens, donc ne fonctionnant pas sous l’obédience de l’UNHCR et l’OCHA dédiées aux PMA du reste du monde, rétribue en numéraires et aides matérielles 4 766 700 de réfugiés palestiniens récemment répertoriés, alors que ceux-ci n’étaient que 350 000 en 1949, sur une population globale de 720 000 à cette date dans cette seule région moyen-orientale. Cela signifie, outre la suspecte fertilité de ces populations allocataires, que de nombreux autres réfugiés des pays arabes voisins se sont empressés d’occuper ce territoire, tel un eldorado pour bénéficier indument de ces aides en numéraires et en matériels, avec de fausses identités bricolées dans la confusion de généalogies, ainsi Yasser Arafat qui est né égyptien, pour y être assimilés aux ayant-droit locaux, déjà inauthentiques.

Il en résulte que la démographie des ressortissants palestiniens, même polygynique, a été multipliée plus de sept fois en seulement 74 ans, ce qui sur le plan obstétrique est rigoureusement impossible pour les humains, outre des apports numéraires extérieurs. De sorte que sans contrôle réel et indépendant, puisque presque la totalité de ce personnel est constituée de ces mêmes réfugiés arabes, L’UNRWA dispense à l’aveuglette le produit des dons internationaux, en retenant que le Hamas, via le Fatah, discrimine ces fonds en écartant les Chrétiens – certes peu nombreux – de cette générosité qui n’est pourtant pas la sienne. Enfin, la plupart de ces fournitures, médicaments, nourriture, outillage et matériaux de construction, sont revendus sur les marchés à ces mêmes attributaires pour le compte du Hamas se constitue des cagnottes pour financer ses acquisitions d’armements et de munitions.

Même les États arabes de la région regimbent à recevoir de tels réfugiés, eu égard à leur démon de la guerre, leur instabilité et leur félonie. Mais devant le cadeau empoisonné de 900 millions d’€ qu’offre Ursula von der Leyen au roi de Jordanie, Abdallah II, il semblerait que cette dynastie ait oublié le coup d’État manqué de Yasser Arafat contre ses protecteurs lors d’un conflit précédent (voir plus bas*), à savoir qu’héberger une nouvelle fois ce peuple d’agitateurs n’est pas sans risquer de nouvelles calamités. À cette somme mirobolante, il faut ajouter 200 autres millions d’€ que l’UE offre aux Palestiniens et 100 millions d’€ encore que promet le Président Macron à ces mêmes destinataires. Une telle générosité, ou capitulation morale devant les atrocités commises par le Hamas le 7 Octobre 2023, laisse planer l’idée que ce pourrait être Gaza qui a gagné sa guerre terroriste vue par les médias, autant sur les plans politique, idéologique que financier. Gageons qu’avec ce pactole, augmenté des versements de l’UNWRA et de bien d’autres mécènes et têtes couronnées des États du Golfe, d’Iran et du Maghreb, que les barbares du Hamas pourront se construire d’encore plus somptueuses villas le long de la méditerranée. Quant à leurs coreligionnaires laissés-pour-compte, une fois réassorti l’armement desdits terroristes, il ne leur resteront que les miettes, en laissant ainsi apparaître la nécessité de pérenniser ces contributions pourtant indues.

Ne laissons pas s’enfuir la mémoire du coup d’état manqué de Yasser Arafat contre le Roi Hussein de Jordanie* qui leur avait pourtant accordé refuge passé la guerre de « 6 jours » du 5 au 10 juin 1967, à l’aune d’une coalition militaire panarabique de la région ; la « Guerre du Kippour » du 6 au 25 octobre 1973*. Rappelons qu’entre le 12 et 27 septembre 1970, le Roi hachémite de Jordanie lança son armée contre les fedayin palestiniens emmenés par le turbulent Yasser Arafat, chef de l’OLP, reconverti sous l’enseigne du Fatah ; autre organisation terroriste. Rappelons que ce criminel et preneur d’otages récurrent, fut quand même honoré du « prix Nobel de la paix », ce qui semble une injure à la mémoire d’Alfred Nobel, bien que ce chimiste suédois ait été – outre 349 autres brevets – l’inventeur de la dynamite. Repoussées de la Jordanie vers la Cisjordanie (territoire palestinien toujours sous mandat israélien), les troupes d’Arafat furent décimées par milliers par le monarque hachémite et leur leader expulsé manu militari vers le Liban.

Cette éviction des Palestiniens par la force, dirigée par Hussein ben Talal, dont l’opération menée contre les rebelles de Septembre noir, fut accompagnée par les forces armées de la Syrie voisine ; autre État arabe farouchement antisioniste, quoique belligérant contre les Palestiniens. Si l’on doit évoquer le terme de « réfugiés », partant de l’exode des Palestiniens depuis la Jordanie à la Cisjordanie à ce moment de l’histoire, que faut-il comprendre dès lors qu’il ne s’agit que d’un déplacement desdits Palestiniens ? De même qu’avec l’autre terme « occupation » ; ce fut en Jordanie qu’elle a eu lieu, jamais en Palestine sous mandat israélien, où les ressortissants arabes n’y furent jamais chassés par Israël, mais par la coalition arabe du Moyen-Orient d’une guerre à l’autre*. Au vu de la dialectique usitée par les autorités politiques dominantes en France, et leurs domestiques télévisuels, dont l’AFP, il est facile d’inverser les réalités devant un public naïf et peu enclin à vérifier ?

Les Palestiniens arabes vivant d’assistanat, d’oisiveté ou d’activités martiales souterraines, ne disposent d’aucune industrie qui s’exporte, pas même pour survivre eux-mêmes, d’où l’absence d’enrichissement par le travail sauf à ramasser des olives et des dattes. Comment les terroristes du Hamas, et d’autres nébuleuses d’activistes sur ces territoires, peuvent-ils s’armer et disposer de telles arsenaux offensifs et de moyens stratégiques ? Selon l’adage de Marcus Tullius Cicero (Cicéron), « Pecunia est nervus belli » (L’argent est le nerf de la guerre) ; le budget de l’UNRWA se chiffrant autour de 321 916 000 US $ l’an (bilan 2010 déjà tombé en obsolescence), il s’y ajoute les généreuses oboles des pays amis de ce foyer de terroristes qui veulent toujours en faire plus, comme la France.Et c’est ici que se pose la question qui fâche ; pourquoi les chefs d’État français, depuis François Mitterrand à Emmanuel Macron, persistent-ils à se croire des amis d’Israël, tout en finançant et en armant leurs ennemis de toujours ?

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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