Magazine Humeur

De terrifiantes réalités 8

Publié le 04 avril 2024 par Observatoiredumensonge

Chapitre8

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

A – Ce que les vaccins-Covid ont engendré de désastre n’est que le prélude d’expérimentations d’implants nanométriques encore plus effrayantes

Mais là, nous entrons dans un véritable délire, car qui serait alors le plus dangereux ; un dictateur « électronisé » ou une machine que l’on pourrait débrancher ? Pour élargir la recherche, le groupe fonda la X.AI afin de renforcer le noumène avec l’OpenAI de la ChatGPT conceptrice qui fonctionne déjà pour interagir à la demande. Le processus d’approbation de la FDA américaine (Food and Drog Administration), l’alter ego de l’ANSM qui délivre les AMM en France, est déjà suspendu à un court délai d’autorisation, selon le patron de Tesla et SpaceX. Ce qui est encore une prédiction hasardeuse, n’en est pas déjà moins suivie d’expérimentations en grandeur réelle, avec la promesse de conception de robots-chirurgiens, capables de greffer des implants dans la moelle épinière ou les yeux pour restituer la mobilité ou la vision (Source : L’Union, 26 mai 2023).

Il existe une concurrence dans ce domaine des implants neuronaux, ainsi la start-up new-yorkaise Synchron qui a déjà reçu l’autorisation de la FDA susmentionnée pour tester sa neuroprothèse sur des humains. Cette puce dénommée Stentrode, permet de détecter les signaux électriques du cerveau afin de les traduire en gestes et en paroles, à l’aide d’algorithmes d’apprentissage automatique. Une étude de faisabilité préliminaire focalisée sur la contrôle de la pensée, concerna de prime à bord des patients atteints de maladies neurodégénératives ou par suite d’un AVC (infarctus cérébral ou hémorragie méningée), dont l’interface cerveau-machine rétablirait une liaison directe entre l’esprit et l’ordinateur, pour effectuer des taches en court-circuitant les synapses, la périphérie nerveuse et les tissus musculaires endommagés (Voir : Journal of NeuroInterventional Surgery, octobre 2020 ; L’usineDigitale, Alice Vitard, 30 juillet 2021).

Thomas Oxley, neurologue au Mount Sinaï Hospital de New-York et fondateur de la start-up Synchron s’expliqua avec brio – mais avec un lapsus révélateur – sur son site Web : « Nous construisons une technologie capable de diffuser directement la pensée des personnes qui ont perdu la capacité de bouger ou de parler ». Difficile de ne pas faire le lien entre la recherche médicale et le viol de l’esprit humain.Alors que des patients-cobayes frappés d’une lésion mécanique ou de maladies neurodégénératives ont déjà testé le pouvoir de composer des emails, à l’aide d’implants insérés dans les vaisseaux sanguins, promettant des merveilles en termes thérapie reconstructive, l’IA est dénoncée par le philosophe Thierry Ménissier, comme « une imposture métaphysique » guidée par la révolution industrielle ; d’où les méga-profits et l’accession à des pouvoirs supranaturels, voir sur les contemporains.

Ce Professeur d’université, également membre de l’Institut de philosophie de Grenoble, dénonce les réalités moins honorables des technologies de l’esprit, où la part médicale d’application neuro-réparatrice est aléatoire. Le détournement malsain d’un tel pouvoir sur le cerveau humain met en lumière des facéties potentiellement réalisables derrière des inventions qui font rêver les plus optimistes. En contrepartie, c’est l’eugénisme sélectif qui se présente de nouveau à nos portes, après le nazisme de sinistre mémoire. Gageons que le côté médical et sanitaire n’est qu’un faire-valoir dangereux, car possiblement manipulable par des individus malintentionnés, notamment dans les pays les moins protégés. De telles récupérations mentales s’avèreraient privatives d’objectivité quant aux usages détournés qui découleraient d’une manipulation et d’une reprogrammation des cerveaux ainsi captés à des fins militaires, ou de prise de contrôle de pouvoir sur les États encore démocratiques.

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Existe-t-il une barrière infranchissable pour la robotique intelligente et l’humain ? Oui, car si l’on peut manipuler le « QI » d’une IA jusqu’à exploser les limites franchissables de l’intelligence humaine, nous voyons mal comment le « QE » pourrait pénétrer l’épiderme des circuits imprimés ? L’émotion, l’envie, l’empathie et la compassion sont des sentiments indicibles, inexprimables pour la machine, que même des animaux peuvent surpasser comme avec l’instinct. Tout est mécanique dans la robotique, puisque tout est programmé, ne laissant à l’intuition qu’une part congrue. L’ergonomie et la psychologie sont autant de frictions à l’entendement entre scientifiques depuis les savoirs émergeants, où l’illusion a ses limites. Si le plaisir peut devenir un sens programmé par la chimie (dopamine, système de récompense), on ne saurait injecter à l’IA la peur, l’addiction ou le sevrage comme une souffrance à la machine, même en programmant des contacts sensibles, avec la physique de testeurs ou des alarmes qui simuleraient des zones érogènes.

Le vrai problème se révèle immanquablement et de concert avec la cupidité et le pouvoir. Si la médecine sert de mobile pour obtenir les autorisations des autorités en termes d’éthique et de prévention, cette étape franchie risque fort d’enfoncer la porte aux déviations, pour laisser les politiciens, les militaires, les terroristes et autres opportunistes à exploiter tous les potentiels de ces implants, et ils sont nombreux. À ce stade du détournement de ces parasciences sur l’inconnu, l’argent copulera à profusion, car s’il est plus difficile de trouver des sponsors et financements d’État pour la recherche, les applications malveillantes trouvent plus aisément des fonds pour industrialiser des inventions qui autoriseraient la manipulation des cerveaux. À l’instar des procédés publicitaires parfois en marge de la légalité, qui usent de moyens subjectifs à l’aide d’images subliminales furtives qui agissent sur l’inconscient, les implants grilleront toutes ces étapes en usant de la télépathie connectée pour forcer la conscience des sujets greffés ou vaccinés.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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