Dans lequel on va parler gratin de courgettes

Tu m’excuseras, mais après une semaine de cuisine d’hôpital j’ai une sorte d’obsession pour la bouffe. Bonne de préférence. Ca me fait ça à chaque fois.

Or donc mardi soir, premier soir de liberté dans mon home sweet home après une semaine de captivité, j’ai ouvert mon frigo, j’ai fait l’état des lieux, j’ai regardé sur Marmiton.fr et j’ai pleuré réfléchi.

Et j’ai fait une découverte fascinante, surtout si, comme moi, tu aimes les plats légers comme la tartiflette par exemple.

Y’a pas de photo parce que je n’avais aucune idée de la merveille qui allait ressortir de mes tergiversations culinaires.

Dans un plat à four (enfin moi j’appelle ça un plat à four. En vrai c’est un plat en terre qui a servi de contenant il y a 10 ans à une omelette norvégienne de Picard, l’ami des surgelés) j’ai mis des rondelles de courgettes fraichement décongelées, de la crème fraiche parce que je n’avais pas de crème liquide, du pesto rouge pour la couleur, un peu d’ail, du poivre, des lardons et par là-dessus… tadam…. deux plaques de ravioles, parce que je n’avais pas de gruyère. Tu vois pas le rapport? Ah ah! Tout est là pourtant.

Après 30 minutes au four (th 7) les ravioles avait fondues sur les courgettes et avaient gratinées et tout ce comté dégoulinant sur les courgettes, c’était que du bonheur…