Un clin d'oeil à mon paternel, qui semble être la seule personne, sur la Toile,
capable de me traduire ce que raconte monsieur Keziah Jones.
Mais comme il est relativement difficile à joindre (la Révolution cubaine n'ayant jamais promis que les
télécommunications fonctionneraient correctement avant 2025), je me retrouve toujours aussi frustrée en écoutant cette ballade.
Quant à moi, mon yoruba se limite à baragouiner quelques phrases rituelles après que le poulet, la chèvre ou la bestiole traditionnelle soit passée de vie à trépas (on s'amuse comme on
peut, dans cette famille, décidément).
Par conséquent, s'il y a parmi les lecteurs un(e) spécialiste du yoruba, merci à lui/elle de se
signaler en levant bien haut la main.