Il semblerait que ce soit une phase obligée, pour le blogueur, de passer par des phases de lassitude, de rejet, de dégoût.
Les plus investis, les plus lumineux, les plus passionnés, les plus brillants, connaissent cela comme les autres. Et parfois cela donne lieu à de beaux billets. Je vous invite à en lire un de Didier Goux, à 11 heures, au Plafond...