A force de jouer le rôle de Coco, il semble que celui-ci ait un peu trop déteint sur son auteur, Gad Elmaleh. Lui qui, d’ordinaire, ne dit jamais rien ressemblant de près ou de loin à de la politique, n’a pas hésité à défendre son bifteck en s’opposant à la fin du bouclier fiscal. De Coco à Coco Chanel, il n’y a qu’un pas. « 50 %, c’est déjà énorme », s’est-il écrié. C’est vrai que quand on est au Smic comme lui, 50 %, ça fait beaucoup. Une solution peut-être pour Gad ? Mets-toi au RMI, comme ça, tu ne paieras plus rien.
A suivre demain un article sur une tendance en vogue dans le cinéma français : les navets de comiques, pièges à ado, j’ai nommé : Cyprien, Coco, Camping, j’en passe et des pires.