Vu chez S. et chez Philémon (qui m'ont légèrement incitée mais j'aime bien !) : LES SERPILLERES D'OR ou quels films vous font finir carpette devant votre écran...
Normalement, il faut établir le top trois mais vous me connaissez (ou vous commencez à me connaître), avec moi, ce n'est jamais gagné...
Et, pour ne pas faillir à ma réputation, je vous annonce que j'en ai plus de trois à mon actif qui me rendent actionnaire millionnaire de l'industrie du mouchoir à jeter !!!
TROISIEME POSITION ex-aequo :
- "Elle et Lui" de Leo McCarrey avec Cary Grant et Deborah Kerr.
Moi, que voulez-vous, quand retentit la sirène du bateau ou la scène finale quand Cary comprend tout... Pfffff, même scènes, même punition ! C'est systématique !
- et "Out Of Africa" de Sidney Pollack, avec Meryl Streep et Robert Redford
De la beauté, de l'émotion, l'Afrique, Meryl Streep et Robert Redford... Un chef d'oeuvre ! C'est un mélange détonnant pour mes glandes lacrymales !
DEUXIEME POSITION :
- "Sur la Route de Madison" de et avec Clint Eastwood et Meryl Streep.
En plus, à un moment de ma vie où il n'aurait pas fallu que je revois ça... La main sur la poignée de la portière, les cendres dans le vent... Rideau, la Papote ! Merci, Monsieur Clint !
LE BIG GAGNANT (ne serait-ce que parce que Fratribus Professorus s'en souvient encore... Est-ce-qu'on peut parler de traumatisme de jeunesse de voir sa petite soeur sangloter à fendre l'âme devant un film ?) : "Cinéma Paradiso" de Giuseppe Tornatore avec Philippe Noiret et Jacques Perrin, entre autres.
Un film poétique, admirablement joué, émouvant...
La scène finale de montage des censures du curé... Comment dire... Même hors contexte, ces trois minutes me font me ramasser à la petite cuillère ! J'en ai des frissons partout...
A bientôt !
La Papote
PS : Quand j'étais ado, j'étais capable de me répandre en larmes sur mon voisin sur "Le Grand Bleu" (je ne me remettrai jamais de voir mourir Jean Réno), "Le Cercle des Poètes Disparus" (et, en plus, à l'époque, je faisais du théâtre) et "Greystoke" (la mort du père singe... intolérable)...