• Aller à hue (droite) et à dia (gauche).
• Je te déshabille ? ... enfin pardon, je te débarrasse de ton manteau ! Il faut que je te lèche ... enfin pardon, que je te laisse ! Décidément ma fourche n'arrête pas de languer.
• Je presse fort ce citron acide contre mes fesses, quand vidé de son jus, je le jette à la poubelle.
• Je m'attendais déjà au pire quand tu m'annonças enfin le meilleur.
• Le mélange est le feu orange envers l'autre : j'y vais ou pas, j'accélère ou je freine en attendant le prochain tour ?
• Le marqueur identitaire est un garde-fou pour éviter la dissolution des identités dans un mélange devenant fusion.
• Le mélange c'est s'approprier ce qui nous a séduits dans l'autre.
• Parce que c'était elle, parce que c'était moi, à ce moment-là en cet endroit-là.
• La femme est soit reine, soit servante.
• Comme le chevalier d'Éon, je suis un être sans queue ni tête, du sexe imposé plutôt qu'opposé.
• La vie est une loterie de malchance/mésaventure où j'ai eu la chance de tirer le gros lot sans acheter de billet.
• Je t'aime comme un fou mais tu t'en fous, un point c'est tout, et point c'est toi, je t'aime comme ça.
• Lors d'une surprise, une partie-fine (partie de plaisir en galante compagnie : petite débauche, baise à plusieurs), tu m'as surprise par tes parties fines puis tu es partie, j'avais pas l'air
fin.
• C'est la peur qui m'a fait fuir, c'est l'Amour qui m'a fait revenir.
• Salut, t'es nue ?
• Là c'est le cercle vertueux, tant mieux, car bientôt ce sera le cercle vicieux, pernicieux et dangereux.
• J'étais comme un sot, périlleux pour moi-même car amoureux.
• Elle te scotche plus vite qu'elle ne tire.
• Aucune femme ne te résiste, tu choisis donc bien tes proies.
• Là, tu lui dis que tu l'aimes, juste pour l'ambiance et pour passer ensuite aux choses sérieuses.
• Je suis sur un nuage, mais prendre de la hauteur ne me réussit pas : les nuages d'orage me font vite pleuvoir des larmes jusqu'à plus bas que terre.
• Le fond du problème est dans le fond de la bouteille car plus je bois et plus je suis lucide.
• Je ne demande jamais un dernier verre chez elle, c'est elle qui propose de prendre un dernier/premier coup ... à (dé)boire.
• J'ai couché avec elle, mais uniquement au sens technique du terme.
• Je suis surpris par la rapidité de franchissement de la ligne entre ce qu'elles croient être et ce qu'elles acceptent d'être.
• J'étais tout le temps dans la défiance/méfiance, rarement dans la confiance.
• La sexualité c'est faire un neuf avec deux vieux.
• J'ai la tête encombré de souvenirs encombrants.
• Elle était comme les autres, enfin pas tout à fait : elle avait un petit rien qui faisait un grand plus.
• Continue, tu m'enfonces.
• L'Amour c'est être un peu moins Soi pour être plus Nous.
• Il ne faut pas écouter ce que disent les autres ! Tu as raison, je ne vais pas t'écouter.
• Ce genre de fille transforme un pro en amateur.
• Pleins d'hommes seraient prêts à tout, et je sens pointer ça chez moi aussi.
• On dit à l'autre ce qu'il a envie d'entendre, pas ce qu'on a envie de dire : il n'y a pas de mal à cela, pas de vrai non plus.
• Je t'adore Giacomo ! Moi, je t'Aime, Chérie !
• Dans la galanterie pure, si tu ne baises pas la main, c'est bien pour baiser tout le reste après.
• C'est l'affaire la plus juteuse de ta vie : ne négocie/marchande pas, c'est oui ou non, à prendre ou à délaisser.
• L'échec est la preuve que le désir n'était pas assez puissant.
• Je m'en vais avant que tu ne t'en aille, avant que le désir ne se transforme en tendresse.
• La folle équipée des équidés bien montés prend enfin fin.
• J'ai changé : aux histoires où il y a du x, je préfère une histoire où il n'y a pas de s.
• Sous prétexte d'Amour (fou), avec un désir non dissimulé, il s'engage dans une histoire à problèmes plus qu'à plaisir.
• Il me faut de la tise (du kabyle tissit « boisson » : alcool) pour que je lui attise le feu.
• Tirer les marrons chauds du feu.
• Aujourd'hui je t'aime oui, mais demain ... on n'est jamais sûre de rien.
• La mort est un long sommeil sans rêve.
• Il a touché un point aussi sensible qu'humide.
• Je prends mon courage à deux mains ! Ah bon, tu ne l'appelles pas Popol !!!
• Une brave bête, mais plus bête que brave.
• Un peu des filles, beaucoup des fées et d'effets, mais aussi du défi.
• Je dis rarement oui, mais jamais non !
• Ce qui est à moi est à toi, donc Mon Amour pour Toi et Toi pour Mon Amour.
• Une aventure t'appelle, n'hésite pas et cours vers elle.
• Sex-machine : mets la capsule dedans, attends que ça chauffe et que la pression monte pour que ça te sorte une belle et bonne mousse.
• Grandes oreilles pour mieux t'entendre, grandes bouches (3 paires de lèvres : une labiale faciale, deux génitales) pour mieux te sucer.
• Je l'ai couché sur le dos, j'ai fait ippon (littéralement « un point entier », c'est le score le plus élevé qu'un combattant puisse obtenir lors d'une compétition d'arts martiaux japonais comme
le Judo, le Karaté ou le Jujutsu), ça vaut un max de points.
• On n'est pas 2 mais 1+1=1
• Je ne voyais pas double mais trouble dans ses yeux vitreux.
• C'est à moi que tu penses là ? Moui. Et toi ? Euh, maintenant oui !
• Tu me suis dans mes sentiments ? Jusqu'au bout de l'Enfer ! Commençons par l'Éden de l'Amour !
• Entre l'amitié et l'Amour, il n'y a qu'un pas en avant.
• Une capote cape la haute hotte hot, mais n'ôte pas le cap (que dis-je, le roc, la pininsule).
• Une hot aspirante.
• Mais tu m'aimes ? J'aimais quelque chose qui te ressemblait vaguement.
• Le monde est et génial et pitoyable : beaucoup savent qu'ils ont perdu d'avance.
• Le fameux triptyque : lécher, lâcher, lyncher.
• Certains montent une start-up, moi une pin-up.
• Cette petite chatte a des griffes.
• Merde, je suis dans la merde ... putain la pute !
• Un moment unique ... en un instant tu niques plus : hop hop !!! Glop glop !!! Stop !
• Il faut toujours vivre l'instant présent comme un futur souvenir.
• Sur ce coup-là, soit c'est OK total, soit c'est KO final.
• Ça te dit qu'on fasse des trucs ce soir ensemble ? Passe me prendre, comme une bête, grand fou.
• Tu es plutôt pour dialoguer ou critiquer ce soir ? Essayons le dialogue-critique pour changer.
• Viens avec moi, je t'emmène ma sirène ! Pars devant, je te rejoins ... un de ces quatre, pit-être.
• Proposition (exceptionnelle car) indécente qui ne tient que jusqu'à point (du) Jour.
• Tu n'es pas comme les autres, tu n'es même pas toi-même.
• Toi-même tu le sais : toi, m'Aime !
• Même si je voulais, je ne pourrai : le cœur n'y est pas hostile, mais c'est ma raison qui s'y oppose.
• Je préfère partir, tu me fais tartir (de tortir « tordre, se tordre » : chier).
• Pour avoir de la nostalgie, il faut avoir beaucoup aimé.
• Elle se cabre alors qu'il n'y avait rien de scabreux (du latin tardif scabrosus « rude, raboteux, inégal, sale » : « qui présente des dangers, des risques », « qui est dur, grossier », se dit
aussi lorsqu'on dit quelque chose d'un peu libre) ; c'est pas demain qu'elle va se cambrer.
• SM, c'est comme ça qu'L M et m'aime.
• Trop de Pernod amène la parano.
• Les souvenirs fondent des espoirs qui peuvent devenir désespérants.
• Les différences qu'on aime au début sont les mêmes qu'on déteste à la fin.
• Tu es comme une fleur fragile que je froisse sous mes frasques malhabiles, sors de ce pot pourri, je te dessèche.
• Il a bu et abusé.
• Une vraie chatte : tu la caresses bien, elle miaule puis ronronne.
• Happy hour de l'open slip bar : une heure qui dure toute la vie.
• Fouetter la crème jusqu'à en sortir le beurre.
• C'est le flip, je sens le flop, la fièvre du samedi (qui) foire.
• Benoît Bite-Fer, bite d'Enfer.
• Le fourre foufounes tout foufou.
• Devoir tout donner sans rien reprendre, mais laisser l'autre apprendre à entendre et attendre.
• On fait ce qu'on peut avec les moyens du bord d'elles.
• D'abord tu trempes bien ta nouille quand elle est frémissante, ensuite quand elle est al dente (enfin non, il faut qu'elle soit ferme sous la dent mais il ne faut pas la mettre « à la dent », ça
fait mal et ça raille la penne) et sort la nouille, elle la goûte jusqu'aux noisettes à beurre.
• Quand tu as un filon, tu le tires jusqu'au bout, jusqu'à l'épuisement.
• Ma muse m'amuse mais elle m'abuse.
• Si tu veux, vas-y ! Beh, si toi tu veux pas, j'y vais pas.
• Ce mec, c'est le must avec son musc.
• Des maux de tête ? Des Maud tètent et tâtent ta hâte !
• Entêté, je tête ses tétés pointus.
• Coupe la tête c'est le pouvoir, coupe l'espoir c'est la haine.
• Seule la déception vient à bout de la dévotion.
• C'est parti sur les chapeaux de roue, ça a fini sur la jante.
• Je suis à la bourre, j'ai le temps de la bourrer.
• Un couple doit être comme deux arbres côte-à-côte : les troncs sont séparés, les branches s'entrelacent mais ne fusionnent pas pour ne pas se lasser.
• Nos chemins se sont croisés, voire même frôlés mais jamais entrelacés assez, à présent ils sont distincts : enfin chacun prend en main et atteint son destin.
• Un bisou c'est si doux.
• Enfin mister Douleur est parti : ça fait du bien, enfin seule, ça soulage d'avoir été mal mâle accompagnée.
• T'en as d'autres des idées comme ça ? Ouais, tout plein ! Beh t'es gentil, tu te les gardes bien profond dans le tréfonds de tes étrons (élément moulé de matière fécale).
• Pour éviter les abcès dans les excès, avec les gâteries, il faut sucer modérément et bien se laver/rincer la bouche.
• On voit quand t'as bu, jamais quand t'as soif.
• Je peux me permettre ? Oui, tu peux te faire mettre !
• Elle fait la belle avant la bête.
• Pas d'érotisme sans pornographie à sa suite sinon après la mise en bouche, c'est la mise en demeure.
• La La La ! ... Non, pas là, pas là, ah lala !!!
• Comme il n'y a pas de femme frigide, je n'ai pas de piston mais qu'une bonne langue.
• Autant faire dès le début bien, même si ça n'empêche pas de repasser derrière mettre une seconde couche.
• Je la dézingue (mettre à mal, pour son bien), debout sur le zinc.
• J'ai besoin d'être avec quelqu'une mais pas avec toi : j'ai horreur d'être seul mais ta compagnie m'indispose encore plus.
• La compassion (souffrir avec) est la passion envers le con féminin des autres associée au fait de pâtir (endurer) de leurs cons masculins.
• Alunissage en douceur : un petit pas pour l'homme, un grand coup pour elle.
• Tu l'as toujours ? Oui, j'ai pas encore jugé bon/utile de m'en débarrasser/séparer car elle ne prend pas trop de place et elle sert toujours pour dépanner.
• Car je lâche rien, je lèche toutes les pouliches.
• Fais la cuisine, je ferai la vaisselle en léchant la casserole où tu passeras, les couverts que je remets, le plat, le cul de poule, la cocotte, la marquise, le moule, le fouet.
• J'aime le sexe, mais j'adore ton sexe, j'en ra(ge)folle.
• Quand on en est aux prémices, il faut goûter à tout, y aller à fond puis faire ses choix.
• Ne me fais pas un 3è trou ! T'en as déjà un, autant l'utiliser.
• J'ai la fraise, bien mûre, qui attend sa chantilly.
• Je suis bien introduite dans le milieu à queue.
• Je déteste les « au revoir » surtout quand c'est des adieux, comme je déteste qu'on dise « je préfère qu'on reste amis » alors qu'on est presque déjà des ennemis.
• Mets-y du cœur, c'est ton corps qui sexprime : « Turn on, tune in, drop out ! » (« Allume-toi, mets-toi dans le coup, lâche prise).
• Elle est comme un oignon : chaque couche cache quelque chose.
• Mes matières préférées à l'école étaient maths et dessins (on vous laisse réfléchir là-dessus).
• Vivement que tu sois mort ... enfin raide pardon.
• L'amour rend aveugle mais même si il avait des yeux il ne verrait rien venir.
• Cette fille de l'air fait de la voltige de haut vol.
• L'espace d'un spasme l'homme se dresse.
• Un fantasme est l'amour d'un personnage de rêve érotique.
• La touffe de gazon pas maudit est toujours plus verte ailleurs.
• C'est pas parce que t'es à la diète que tu ne peux pas regarder les menues pour saliver.
• Je suis venu d'abord par curiosité, puis par plaisir et maintenant par habitude.
• Je te paye un coup ? ... à boire cette fois !
• Je rugis de plaisir quand je la vois rougir de désir.
• Moi je tourne dedans, pas autour ! Quelle modestie pour un génie.
• Un bon film de cul c'est mieux dans une grande sale.
• Partir de rien pour arriver nulle part ou plutôt partir de nulle part pour arriver à rien ?
• Avoir trop d'amour c'est se faire avoir.
• C'est pas parce que je suis un chaud lapin qu'on doit me râper la carotte.
• Tu es si belle dans tes décibels colère.
• Il y a un vent à décorner les cocus. Cocu s'écrit d'ailleurs avec 2 c comme deux cornes.
• Tout dépend ce qu'on met derrière ces maux.
• Pour la redresser, il faut un gars dressé.
• L'éternité c'est loin et long, on a le temps de voir venir, autant vivre à fond le cours instant présent. Malheureusement, le foie c'est pour maintenant, la foi pour l'éternité.
• Ça te dit un « petit » coup vite fait bien fait, en passant : un tir à blanc, un coup pour rien.
• Faut qu'on se couche tôt, la nuit va être longue et demain on se lève tard.
• Le monde appartient à ceux qui lèchent tôt et à ceux qui couchent tard.
• Le rideau de mon magasin est toujours ouvert pour toi, le petit vendeur chauve à col roulé est très sympa : quand on sait le prendre, en le caressant dans le sens du poil, il se redresse de tout
mou à grand fou.
• Y a pas de mal à se faire du mâle.
• Tu peux pas mieux tomber, je suis déjà en plein dedans, mais maintenant que t'es là, je serai tout rien qu'à toi.
• Je paye mes coups toujours en liquide.
• On commence par la cochonnaille ? Yep, le gros boudin et ses cochonneries.
• Salut, X, enchanté ! Y, navrée, désolée !!!
• Si tu ne contrôles pas tes nerfs, contrôle au moins ton langage.
• Elle va s'ingénier à nier cette ingé nue ingénue (du latin ingenuus, « né de parents libres », « de bonne famille », mais aussi « innée » : qui a de la simplicité et presque de la naïveté dans la
franchise).
• Mon Amour fait des détours, ma sensibilité infinie est tarie, salope !
• En te voyant, c'est lui que je veux punir, pas moi en couchant avec toi.
• Quand je suis en toi, je crois être dans une chambre froide.
• Vaut mieux ne rien faire plutôt que de mal le faire ... donc on va tout faire pour bien le faire.
• Je suis adepte des hot technologies.
• Je te donne un coup de pouce (enfin de majeur) si tu me donnes un coup de main.
• Les Monts, forts, de Vénus, c'est mon faible.
• Rendre le monde meilleur qu'on l'a trouvé est peu de chose, mais pourtant si difficile à faire.
• C'était un one-shot, mais quel hot-shot, j'en étais hot-dog.
• J'embrase le feu de tes lèvres.
• Ta patchole sent bon le patchouli.
• Des émotions qui passent trop vite mais durent longtemps.
• Bises and love.
• Je suis comme le mérou : ¾ de gueule, ¼ de queue.
• L'union est belle à pleurer, la séparation est triste à pleurer.
• Madame, Monsieur, c'est fini ? Oui, vous pouvez faire table rase ! Tu veux pas un dernier dessert, un pousse-café ?
• Ils étaient bien ensemble, même si ils n'allaient pas si bien ensemble.
• Il n'y a pas de ménage sans nuage.
• J'ai trouvé ... enfin cherché ... quelqu'un d'autre.
• Le quotidien tue l'amour, le temps achève le reste.
• Cette nuit c'était comme au premier jour.
• On se fait du mal à chercher à se faire du bien.
• Le courant passe si bizarrement entre nous que ça en fait des étincelles.
• St François de Sales a guéri sœur Jeanne de Chantal de la tentation.
• Tu as l'air en grande forme ! Mes formes sont justement là pour te servir.
• Il ne faut jamais s'apitoyer sur l'instant présent, ça peut toujours être pire.
• Prépare-toi à être visitée par la grâce.
• J'ai beaucoup de tenue et de doigté dans ce/celles que j'entreprends.
• Ton affection est vite devenue mon affliction (abattement produit par un événement malheureux) par l'infection de mon addiction à notre passion.
• Arrête tes mignardises (« gentillesses mignonnes », « recherches excessives, manque de naturel »), je ne serai pas ta promise.