· Chez elle, chez lui, … enfin chez nous.
· L’acte sexuel est l’heureux dénouement du dénuement des personnes.
· Je n’ai plus envie que tu me protèges, mais plutôt que tu me comprennes.
· Avant, le mâle dominant faisait sa loi ; à présent, il est le garant de la loi commune.
· L’objet sexuel se définit comme une personne à la disposition d’un adulte pour qu’il vive ses fantasmes.
· C’est normal/biologique/pulsionnel d’avoir envie, mais obligatoire/culturel/social de refouler pour ne pas le faire.
· Chéloïdes : scarifications ; autolyse : suicide.
· Le langage, communication élaborée, complété par le respect, la confiance et le partage mutuel, font de la meute la structure familiale/sociale la plus solide.
· À l’heure des repas, le rang de chacun est contesté et renforcé : qui, quand, quoi, où … mange.
· Le mâle bêta est un policier qui fait appliquer la loi du mâle alpha et sert aussi de médiateur/conciliateur/pacificateur.
· L’ignorance du passé nuit à la connaissance du présent autant qu’elle compromet dans le présent l’action même.
· Les deux mots les plus dérisoires de l’Humanité sont « plus jamais ».
· Les groupes humains étaient des îles séparées par des océans de « vide ».
· Il a grandi comme un agneau parmi les loups, mais aucun d’entre eux ne le dévorera jamais.
· Les règles affirment la vraie personnalité/conscience émotionnelle, d’où elles contiennent un danger lunaire/lunatique envers la société et ses dogmes masculins. Les règles sont une période de rythmes de recentrage des femmes sur elles-mêmes : soit elles donnent/offrent la vie, soit elles renaissent en elles-mêmes par leur sang et des contractions ou des symptômes similaires au fait d’être enceinte. Les femmes ont le pouvoir absolu sur la vie et la mort, ce qui entraîne un choix mensuel (et donc menstruel) que les hommes leur dénigrent par peur de leur suprématie. Dans la compétition des mâles entre eux pour l’accès sexuel, la stigmatisation des règles, l’abandon/la trêve du sexe a permis de voir les sœurs/mères/cousines/copines dans les femmes sexuées du groupe, ce qui a engagé un répit face au pouvoir, à la violence, à l’argent. Les règles expriment le sexe qui saigne : la mort de la lignée ancienne dans l’utérus est l’origine du monde, de la collectivité des femmes et des autres humains. Enseignées ensuite comme une malédiction humaine et de la bipédie, les règles peuvent être paisibles si elles sont dédramatisées.
· Sans contrefaçon culturelle, je ne suis pas un garçon.
· Qui veut un verre se sert.
· Le point d’eau est un point de vie pour les humains mais un point de mort pour les autres animaux car lieu facile pour tuer sans être blessé car il s’agit souvent de lieux escarpés.
· Pour des raisons pratiques, les humains campaient souvent à proximité du cadavre de la proie tuée, mais du coup danger par rapport aux autres prédateurs, mieux armés naturellement.
· Les enfants, joueurs et perturbateurs, doivent devenir utiles dans les outils et la chasse.
· Les morts étaient perchés dans les arbres, entre deux mondes (terrestre et céleste), nettoyés par les charognards.
· La chasse et la collecte impliquent un épuisement de l’environnement « immédiat » donc imposent des déplacements fréquents.
· Les lions sont lâchés, trop tard pour revenir en arrière.
· Il est trop tôt pour jouer au golf ! Non, j’habite ici, donc on va pouvoir se faire un 18 trous et là, plus il y a de coups mieux c’est.
· Un don divin ? Pfff, plutôt un dindon de la farce oui.
· Tout le monde est un peu fou, mais rares sont ceux assez fous pour être fou.
· Le vide est un vertige qui attire vers le néant.
· Le jour est pour tous, la nuit que pour certains.
· L’adolescence est le temps où l’enfant croit pouvoir savoir répondre par lui-même aux nombreuses questions qu’il se pose depuis toujours.
· Une godiche mal lunée qui minaude en maraude (recherche de client en parlant des taxis) et a donc plus besoin d’un chaperon (coiffure à bourrelet terminée par une queue que portaient les hommes et les femmes du Moyen Âge ; grand voile dont les veuves se couvraient la tête ; personne respectable, généralement d'un certain âge à qui l'on confiait naguère, pour des raisons de convenance et notamment pour les sorties, la surveillance d'une jeune fille ou d'une jeune femme) que d’un chapon (jeune coq châtré, jeune pousse de vigne qui ne produit pas encore de raisin) ; heureusement, la duègne (femme âgée, chargée de veiller sur la conduite d'une jeune personne) règne.
· Rétablissement du divorce en 1884, criminalisation du viol en 1980 (avant uniquement considéré comme un délit d’agression : le viol à tout à voir avec la violence, rien avec les sentiments).
· Une place pour chacun : chacun a/à sa place.
· Dans le grand mouvement de recréation perpétuelle qu’est le monde, avec la réincarnation par incinération qui facilite le passage d’âme, l’humain n’est pas une fin en soi et n’a donc pas à être représenté pour lui-même.
· Carnaval et renouveau au solstice d’hiver, jour le plus court/nuit la plus longue.
· Mettre une jambe nue dans le lit conjugal exprime la consommation symbolique publique du mariage. En préliminaire, la jeune fille marche nue devant la future belle-famille pour voir si elle a des tares. Certains mariages royaux étaient effectué de force avec une fille contrefaite et stérile pour priver un prince de descendance.
· Femme grosse a un pied dans la fosse.
· La femme ne se cache pas mais ne se montre pas tout à fait, histoire de voir et faire en sorte qu’un homme aille vers elle.
· Lascaux : animaux au comportement social complexe : lien puissant et spirituel entre les sociétés animales et humaines.
· Encornure plus épaisse chez les aurochs mâles, tête en arrière du cerf et bouche ouverte lors du brame.
· Obligation de mariage au sein du groupe de serfs d’un même seigneur (donc contraire à l’exogamie) sinon taxe de « formariage ».
· Gecko Binoé (Australie) : que des clones femelles.
· 29% des hommes ont testé l’adultère contre 19% des femmes. 94% des hommes détectent les incartades (inquartata, esquive à l'épée : léger écart de conduite – synonyme de folie, frasque, fredaine –, propos considéré comme extravagant ou offensant, et souvent lancé de manière inconsidérée) et toquades (engouement vif, imprévu et généralement passager pour quelqu'un, quelque chose ; caprice, foucade, lubie amoureuse telle un béguin, une passade) féminines, seulement 80% des femmes le perçoivent chez leur homme.
· Il n’y a pas d’esprit dans ce corps.
· Je ne fais pas avec ce que la Nature m’a donné.
· Je suis avec toi, on est ensemble, mais toi tu es tout seul avec toi-même.
· J’ai toujours des lingettes pour préparer et des serviettes citronnées pour rincer les doigts après les fruits de mer.
· Faut pas chercher à comprendre, tu ne comprendrais pas car il n’y a rien à comprendre. D’ailleurs, je ne suis plus certain d’avoir envie de comprendre.
· Je suis condamné à la peine d’amour.
· On s’empilait comme on s’enfilait.
· Folle oui, de moi je ne sais pas.
· Pour une végétarienne, tu aimes bien mon morceau de viande ! Oui je suis végétalienne, et je parlerai plutôt de poireau.
· Elle m’a pompé l’air toute la soirée, heureusement pour elle qu’elle m’ait pompé autre chose à la fin.
· Ce soir c’est choucroute et saucisse à volonté.
· Si c’est ça que tu veux, t’inquiète, tu vas la voir et l’avoir.
· Dark side of the lune.
· De porc en porcs, je n’ai pu oublier ton corps, céleste mais aussi funeste (qui cause le malheur, la perte ou la destruction, la désolation).
· Paradoxalement, j’ai failli savoir voler quand je voulais sauter parce que je n’avais plus d’elles.
· Le crime ne paye pas, mais l’honnêteté coûte chère.
· Il m’amène dans sa turne pour me bourrer l’urne.
· J’ai toujours fait des cauchemars, mais là les fantômes n’attendent même plus que je dorme.
· Je vais te prendre en main.
· Vivre tue à petit feu, lentement mais sûrement.
· Ma verge converge vers le con des vierges.
· On s’en paye une tranche ? Juste une rondelle alors ! On va s’en payer une bonne tranche, en sandwich !!!
· À quoi tu penses ? Je ne pense pas j’agis, j’agite ma bite.
· Feel me (sens moi), fall on me (jette toi sur moi), fill me (remplis moi), but don’t fool me (ne me berne pas).
· Elle me fait beaucoup rire, à défaut de me faire beaucoup jouir.
· Il faut enlever la culotte, ou au moins la mettre sur le côté avant d’écarter les jambes, c’est plus simple.
· Je suis tout ouvert(e) pour en parler.
· Un jour tu craques, tu croques la pomme d’Adam (mais sans les dents).
· L’optimiste est une coquille de noix qui ne se retourne pas.
· C’est juste dans ta tête de nœud parce que t’es dans son cul.
· La femme est le parasite sexuel socio-récréatif de l’homme (et vice-versa).
· L’idéogramme sumérien représentant le roi est un phallus, gage de puissance.
· Je n’ai pas le sida, ni l’hépatite, j’ai l’alcoolisme, une saloperie qui s’attrape avec l’alcool.
· Tu n’en veux plus ? Si, j’en veux plus, je suis un gourmand.
· Trottoir, pas crottoir.
· Kefer, kofer : mécréants en arabe.
· Bismillah : au nom de dieu, bonne chance (protection).
· Starfelah : respecte ton dieu (condamnation).
· Ashem : la honte (prescription).
· Menfazlek : s’il vous plait.
· Tchavel : je vous en prie.
· Trelah : fessée.
· Term : fesses, cul.
· Termet lach suza : le cul de la vieille.
· Souha : chatte.
· Nar djinn : con (les djinns étant des esprits)
· Zboub, Has ba : bite.
· Ha endik : attention !!! ou tu possèdes !
· Pourquoi les femmes devraient-elles se laver la bouche avec du « Cif » ? Pour ne pas rayer les viers (du latin vectis « barre » : pénis).
· J’adore cette chienne chaude : c’est savoureux quand je lui enfile ma saucisse entre ses miches de la boulangère, bien chaudes.
· Entre la vie et le rêve, entre ce qu’on dit et ce qu’on fait, il y a un monde/pont/nom/non.
· Il y a ce qu’on pense, ce qu’on dit, ce que l’autre entend/comprend, ce qu’il en pense.
· La croupe est la meilleure coupe de champagne.
· Une fois qu’on a imaginé, la réalité est souvent décevante.
· On s’aime à tout vent, contre vents et marées.
· +2P, -2N
· Avec le bout et/de mon doigt, j voyage au bout du monde de mes sens.
· Elle commence à être gonflante Ste Honor / Horror in.
· Changer c’est perdre pendant le transfert, évoluer c’est garder le meilleur.
· Tu suis … je ne sais pas ! Tu as changé en voulant rester la même.
· Les flics perdent leur identité à force de la demander aux citoyens.
· C’est pas parce que je lui ai roulé des pelles, peloté les seins, bouffé la chatte et foutu dans le cul que c’est ma meuf.
· Malgré un très bon club de golf, c’est pas ton meilleur coup dans le trou ! Je suis meilleur en-dehors du gazon/green, dans la terre battue/boueuse/brown.
· Sois plus aimable avec lui ! Plus quoi ? Avec qui ???
· On ne va pas le faire pour mal le faire ! Non, on va directement bien le faire.
· Je préfère les films X aux scènes QQ, à la lettre près.
· Tu me payes une fois le repas, je paye deux fois mon boule au pousse-café.
· Hum, je te tiens ! Houlà, je la tiens plus, elle est déchaînée.
· On joue, mais on jouit pas : tu es ton personnage, mais tu ne rentres pas dans mon personnage.
· Quitte mon territoire ou je montre les crocs, j’ai d’autres chattes à fouetter.
· On fait quoi en attendant, pour tuer le temps, on enfile des perles ? Oui, mais chinoises alors (boules antistress, enfilade de perles de plus en plus grosses pour monter en jouissance).
· Pas besoin de monter sur tes grands chevaux, surtout quand c’est des bourricots.
· Je préfère le côté fesse au côté épilé.
· On faisait gentiment un strip-poker, mais tout le monde a fait exprès de perdre.
· Coucher, pas bouger, coucouche panier, reste bien tranquille, sinon c’est la fessée.
· Faut se détendre ! Justement, c’est pas assez tendu !!!
· Le bâton de berger, y a pas d’heure pour en manger, à déguster avec de grandes ou petites rondelles.
· Il faut justifier l’invraisemblance de la clé du mystère, du secret des alcôves.
· Le doute est le bateau ivre des cœurs meurtris qui viennent s’échouer sur les bas-fonds, les cœurs-aïs, de l’amour bafoué, dont l’épave régurgite un pirate fantôme torturé avant de l’abandonner nu sur une île volcan déserte, rejeté par les flots tumultueux tel un bois mort.
· L’amour est un lampadaire sur lequel les chiens/chiennes lèvent la patte pour l’inonder d’immondices.
· Le clitoris est le sot-l'y-laisse (morceau blotti de chaque côté du dos d'une volaille, entre les ailes et les cuisses) de la poulette, le pendant féminin de la partie la plus tendre, délicate et goûteuse des cailles (petit oiseau de passage dont la chair est délicate : d'ardeur amoureuse ; une femme chaude comme une caille, une caille coiffée étant une femme légère, une prostituée).
· Si t’es indisposée, dispose toi de façon à te prendre un petit coup vite fait bien fait en passant par la petite porte de derrière, ni vu ni connu un coup dans ton cul.
· Baisse-toi que je te baise, hummm avec ton regard de braise.
· Je sais pas si ça rentre, ça paraît étroit pour garer ma titine dans son garage.
· Soit pas trop dur avec elle … enfin si quand même, justement !
· J’ai rien à cacher, mais pas tout à dire (comme les vérités).
· J’ai pas l’habitude de m’occuper des cas comme ça ! Comme ça quoi ? Comme toi !
· Contrairement à la serpillère, là, quand c’est mouillé, on peut/doit y aller.
· Avec un Monbazillac, ça passe partout et tu passes avec toutes.
· Le grand Oui me donne des émotions fortes, voire la gerbe.
· Je me lève tôt pour gagner de la maille, mais j’ai du mal à m’endormir à cause de problèmes de maille.
· Emboutie moi le pare-choc.
· La certitude est pour les faibles d’intelligence.
· Cette succube (du latin succuba « concubine », masculinisable pour désigner un sodomite : démon qui prend l'apparence d'une femme pour avoir des relations sexuelles avec un homme) de Vampirella ne suce pas que du sang. Le pieu en bois elle l’a enfoncé dans tous les trous.
· La réalité est obscène, perverse, vulgaire, je ne suis que son messager.
· Elle n’était pas l’amour de ma vie de mortel, mais la mort de ma vie amoureuse.
· Madame Zèle : trop (ah, c’est bien) ou pas assez, sur ou sous joué, jamais là où on l’attend, toujours là où on l’attend pas.
· À l’occasion, je ferai bien reluire la carrosserie de cette pouliche en lui mettant un coup de polish.
· Ô César au braquemard dépoussiérant les toiles d’araignées, entretien le bois vivant.
· Ne me prend pas pour une patate, je suis le gratin de la carotte.
· Le mystère des grottes est le secret de la conscience dans laquelle on n’entre pas.
· Nous tentons d’oublier que nous ne sommes que des animaux comme les autres, mais la Nature nous le rappelle cruellement sans cesse.
· L’humain est (peut-être) le seul animal qui pense, mais c’est le seul à penser qu’il n’est pas un animal.