Magazine Humeur

Notations de carnet de conversations 5

Publié le 10 juin 2009 par Collectif Des 12 Singes
  • Elle est en nage, de bonheur, elle coule et croule sous les litres d'eau de rose.
  • Il suffit que tu m'aimes! Ça m'est compliqué de faire et de penser aussi simple.
  • Cornichon entre ses gros nichons, concombre dans son con.
  • SGEP: Syndrome Génitale d'Excitation Permanente.
  • Quand tu tires sur la queue de détente, ça déclenche la percussion et le coup part: tu prends ta cartouche à partir de la gueule du canon.
  • Le cheval n'est pas beaucoup plus grand que nous, mais lui nous voit plus grand avec son œil déformant, ce qui a permis la domestication.
  • Notre œil, notre regard sur le monde, dicte notre comportement, mais on peut être myope. L'aveugle ne voit pas, il ressent un autre reflet de la réalité, qu'il peut «voir».
  • Tu te tais ou je te tais/tue.
  • Ce que j'ai vu de toi justifiera toutes les tortures futures, c'aurait été une torture de ne pas en voir plus.
  • Je t'assure, je suis sûre! Que tu dis oui!!!
  • Triste Sir, viens que je te tienne et t'allume la chandelle.
  • Ta chatte miaule, mais chatte échaudée par de mauvaises expériences craint la douche froide du lendemain qui déchante.
  • La chienne hurle à l'amour, au loulou «y es-tu?» ... «oui, bien profond même».
  • Faut faire gaffe à l'ivresse des profondeurs: tu te couches avec une sirène, tu te réveilles en apnée à côté d'une baleine échouée ou d'un thon (même si le thon c'est bon, comme les vaches de mer qui croient que c'est toujours la dernière).
  • Tout ce qui se consomme se consume.
  • La bouteille a pris sa claque, la part des anges ... enfin notre part démoniaque car on n'a pas été des anges après les vices du calice.
  • J'aime toutes les chattes, sauf les chattes teignes.
  • Je rêve de remplir une grosse sale plutôt que de jouir à jouer dans un petit espace étriqué mais sans ambiance.
  • Elle sait y faire, mais elle ne fait pas souvent.
  • Mon histoire d'amour est dans de sales draps, il me faut une couverture.
  • Une pouffe, une gisquette («fille publique», «maîtresse»: peut-être du nom d'Henri Gisquet [1792-1866] préfet de police qui imposa une carte aux prostituées), une morue.
  • En boudin, créole.
  • Être expert en sexe n'est pas mon boulot, c'est mon hobby.
  • On se re-jouit? Oh oui, ça me réjouit.
  • La maman ne peut être une femme car elle est fée-mère éternelle.
  • Tu n'as pas à te poser de questions, j'en donne les réponses.
  • Je suis tombé dedans à 16 ans, depuis 20 ans je suis toujours dessus, sur cette affaire.
  • Les femmes ont besoin de raisons pour faire l'amour, les hommes d'un endroit.
  • Le dealer des cœurs: il fait goûter sa came pour rendre accro puis fait payer cher la dépendance.
  • Sans faire plouf, je te propose de passer du canapé-pouf à une croisière au fil du lit à eau.
  • À force qu'on me casse les pieds, j'ai les orteils bons pieds bon œil.
  • J'ai spermission jusqu'à minuit.
  • T'es couchée? Oui, et même douchée, grrr!
  • Ton cœur est un gilet par-belle.
  • Le SMIC est le maximum patronal du minimum salarial.
  • Il y a trop de X dans le X, c'est le problème des sextrêmes.
  • Tu mens comme tu conspires à ma perte.
  • Le feu purifie en chassant les ondes négatives.
  • Belle d'un jour, pute d'un soir.
  • Je ne te dis rien, mais on s'est compris.
  • Elle obéit à l'œil puis au(x) doigt(s).
  • Elle boit et aboie grave.
  • J'ai la queue touffue tout flamme.
  • Non, la chiotte n'est pas la femelle du chiot.
  • Notre relation me laisse sans voix et sans texte.
  • L'homme se doit de tout donner, la femme se doigte de tout se donner.
  • Je suis rentré dans la femme pour la changer comme pour en user et abuser, mais ce sont elles qui m'ont changé.
  • Tu veux de l'amour?, je vais t'en donner tout plein dans ton cul.
  • Partir c'est courir un peu mais très et trop vite en voyant toute sa vie sentimentale défiler devant ses yeux.
  • Mon fantasme c'est faire fondre la glace entre nous en couchant dans la neige pour faire de la vapeur.
  • À force de patience et de souffrance.
  • Je pose ma pine sur ses lèvres pures ... (que je) purine (arroser avec la partie liquide du fumier).
  • L'amour n'est pas dans les cœurs chauds mais dans les yeux de braise.
  • Trop de nectar peut devenir poison.
  • Le temps des soupirs n'est pas favorable aux soupirants.
  • Qui aime bien châtie bien, viens là que je te somatise.
  • Le toutou, le suis toutes.
  • Lance-toi ... de très haut ... avec une corde.
  • Un chopeur (tombeur, preneur de femme: de chopper, faire un faux pas en heurtant du pied quelque chose, prendre de façon brusque et inattendue, faire une erreur ou un écart de conduite, se heurter à un obstacle d'ordre moral) chéper va au shoppy en chopper.
  • Je dis vrai, je divague pas.
  • En femme, j'ai un forfait toutes options soir et week-end.
  • Tiens t'as déjà pris ton coup du jour, sans moi! On va régler ça ce soir, tu passeras dans mon bureau ... enfin sous.
  • Ça commence à poindre, bientôt tu vas pondre.
  • La vie est une ture lutte.
  • Plus l'amour est mûr meilleur en est le jus.
  • El niño (l'enfant): tornade chaude et humide qui secoue les palmiers et les noix de coco.
  • Harem signifie «maison du bonheur», partie interdite aux hommes autres qu'eunuques (blancs pour le souverain, noirs pour le harem: esclaves castrés avant la puberté puis enterrés dans le sable chaud du désert jusqu'au cou pour que ça cicatrise).
  • Polygamie économique pour armée du Prophète: 4 femmes, mais autant de concubines que le confort permet.
  • Odalisques: concubines converties pour le harem (Uren, «la joyeuse»; Nenu phar, «rose de mer»), restant 9 ans à la cour en suivant des cours d'érotisme puis se voyant offrir la possibilité de se marier à l'extérieur.
  • Chez les Ottomans, on consommait des filles fraîches pour l'été et des jeunes garçons (serviteurs du palais en apprentissage de la haute/hot société) chauds pour l'hiver.
  • Le lit royal mène au pouvoir.
  • «Tu viens?, elle est bonne!» dit-il à son pote.
  • La puberté des femmes nomades et leurs règles viennent vers 16/17 ans, puis survient une stérilité post-adolescence. Mariage vers 15 ans, règles vers 17 ans, 1er petit vers 20 ans puis tous les 3/5 ans, mort vers 35 ans (si pas avant, en couche). En Europe, la puberté est passée de 17 à 13 ans en un siècle. La sédentarisation et une qualité/quantité meilleure de nourriture favorisent le développement démographique car les mères sont plus jeunes et ont plus d'enfants (moins d'empêchements de l'ovulation).
  • La graisse est utilisée pour grandir et ovuler puis pour supporter le coût nutritionnel d'un bébé (la mère étant aidée par les allomères: de la sage-femme à la commère, de multiples femmes entourent la mère et son petit). La leptine, liée à la graisse, enclenche la puberté et la reproduction: il faut en effet de la graisse pour la croissance et l'allaitement du bébé (d'où le développement des fesses et des seins). L'allaitement est plus coûteux en graisse que les six derniers mois de gestation et que la dépendance du petit sur un an. La lactation empêche la fertilité ovarienne (suspension des règles) et oblige les mâles à violer face à la dépendance du petit (puisque la gestation est plus chère en énergie que l'éjaculation).
  • L'ocytocine sert aux contractions avant l'accouchement, mais aussi pour la montée de lait, pour l'accroche sentimentale ainsi que pour l'agressivité envers les mâles après l'accouplement (post-partum, d'où le baby-blues comme refoulement/décompression de cette agressivité). L'interaction avec la mère via l'ocytocine et le sein développe les animaux sociaux chez les mammifères.
  • La femelle chimpanzé fréquente beaucoup de mâles: ils ont donc de gros testicules, mais comme ils ne sont pas sûrs d'être le père ils ne s'occupent pas du petit. L'homme est à mi-chemin avec le gorille et son harem (donc petits testicules), où il est certain d'être le père donc prodigue des soins à son bambin. S'en suit pour l'humain un comportement de protection tendant vers la monogamie et la famille nucléaire avec une ou deux femmes.
  • Les pères veulent beaucoup d'enfants pour leur survie génétique mais ne sont pas sûrs d'être le père alors que la femme veut peu d'enfants (chers en énergie) en privilégiant la qualité sur la quantité.
  • Le chasseur ramène pour tout le groupe, pas que pour son épouse, afin de développer son prestige auprès des autres femmes.
  • 15 jours après l'accouchement, la mère repart à la collecte/cueillette pour reprendre des forces, pendant que des jeunes filles deviennent baby-sitters (avec les conseils des anciennes) pour faire leur expérience. L'activité physique et la lactation empêchent l'ovulation.
  • Quand il y a changement du chef du harem, le nouvel alpha veut tuer les petits de l'ancien chef mais les grands-mères et les vieilles tantes veillent pour protéger le groupe (elles sont stériles donc elles tentent et ne risquent pas grand-chose). Il y une ambivalence de la mère devant le destin de son petit: elle présent son petit chimpanzé chétif comme un bon gros bébé pour dire qu'il est en bonne santé (poids) et plaider ainsi pour le garder (coût énergétique pour l'alimenter, le surveiller, le protéger).
  • Comme chez les dauphins, les femelles ménopausées survivent et aident les enfants.
  • Seules les humaines rejettent les petits selon le sexe: plus fort est le taux de recherche de garçon, plus il y a de mères infanticides car fille=dot=perte de la fille comme esclave de la belle-famille d'où peu intéressante socialement (sauf pour créer/consolider des alliances).
  • Salle de garde chez les médecins hospitaliers: Éros Vs Thanatos: http://www.leplaisirdesdieux.fr
  • Tu veux un jus de carotte? La carotte oui, le jus non!
  • Fais-moi tâter de ta matraque, je te ferai tâter de ma trique.
  • Tu ne me lèches pas, tu me lâches!
  • Ta bite me chatouille autant qu'elle me gratouille.
  • Maître-étalon.
  • Faire l'amour c'est la liberté, aimer c'est la perdre.
  • La vie commune est la maison de retraite de l'amour.
  • Je lui rentre dedans comme dans un moulin à beurre.
  • Un monte en l'air.
  • «La bourse ou la vie» a créé les eunuques, bien vivants mais sans bourses.
  • Ivan le divin, le terrible du divan.
  • C'est beau une paire de dames! Mouais, une de cœur, une qui pique.
  • Laisse faire l'expert avec cette croupière à la croupe de fer d'enfer.
  • Je n'ai pas cherché à la trouver.
  • Dard wador (to wad up: boucher avec un tampon): open bar du warrior in the dark.
  • J'ai besoin de toi mais tu ne le sais/vois pas.
  • On est en couple que quand on est ensemble.
  • L'écrit c'est infini.
  • Je ne sais pas quoi/comment faire avec toi! T'inquiète, laisse toi faire!!!
  • Face à l'amour de sang chaud, je ne suis pas un manchot de macho.
  • Notre amour fait du zèle, il me donne (Vs «me brise») des ailes.
  • Plein de les filles, hum, j'aime les défis.
  • Tu m'as fait tout un cirque alors que je venais de dresser le chapiteau.
  • Il y va, il est au taquet («pieu, poteau»), il est attaqué.
  • Quel joli jumper (sauteur, cavalier).
  • Je peux mais ne sais si je veux assumer les responsabilités du lendemain, éveillé plus bourré.
  • Il va chercher la petite bête au fond du trou avec son gros bâton.
  • Le meilleur sport c'est le corps à corps.
  • Ça c'est pour toi, une friandise sur ta langue, un bon bonbon qui fond dans ta bouche, ni dans ta main ni pas dans mon slip.
  • Les bouteilles défilent aussi vite que les pochetrons se les enfilent.
  • Si c'est bien fait, ça fait son effet. Justement, elle le fait bien? Je te dirai ça demain matin!
  • Je suis plus demandé que demandeur.
  • Le pouvoir de dire oui c'est aussi le plaisir de non.
  • Fast-sex: beaucoup d'attente, servi tiède et ramolli, et t'as encore faim après.
  • «Je t'aime»: on n'est pas obligé de le penser vraiment, mais il faut le dire souvent.
  • Elle n'était pas enchanté, j'ai vite déchanté puis déjanté.
  • Une bombe anatomique.
  • Si le travail c'est tellement bien, pourquoi on nous paye pour le faire?
  • M'essayer c'est m'adopter.
  • On dit que c'est en forgeant qu'on devient forgeron, donc c'est en niquant qu'on devient nique-bon!
  • On est sur la même longueur d'ondes, faudra qu'on ondule ensemble.
  • T'as pas froid toute nue? Tu devrais enfiler quelque chose d'épais qui te réchaufferait.
  • Mésentente cordiale dans la triple alliance perso, pro, socio.
  • Si tu savais ... mais tu ne sauras jamais.
  • La résistance de l'ensemble se résume à celle des maillons les plus faibles, les moins protégés/résistants.
  • L'encyclopédie est l'accumulation des savoirs les plus récents pour définir de nouvelles pistes.
  • L'activité matérielle/productrice doit être une récréation des activités de l'esprit.
  • Il nous faut une Révolution pastèque: verte à l'extérieur, rouge en profondeur avec les graines noires de l'avenir proche.
  • La peine de mort, comme les atrocités des drogues (mal prises par n'importe qui, n'importe comment, n'importe quand), n'est dissuasive que pour les honnêtes gens.
  • Mouvement identitaire des idées, pas communautaire des individus.
  • Il faut savoir rationnaliser les passions/pulsions.
  • C'est parce qu'on a peur du temps qui passe qu'on parle tant du temps qu'il fait.
  • C'est parce qu'on a peur de se dépasser que les choses paraissent impossibles.
  • Un homme vaut plus qu'une femme? Non, c'est juste qu'il gagne plus!
  • Je ne suis pas marié, je ne suis responsable de personne.
  • Le meilleur remède à la douleur, c'est le plaisir.
  • Malgré les forces qu'ils ont et les faiblesses que nous avons, nous vaincrons car à elles seules les forces répressives ne peuvent pas venir à bout du désespoir.
  • Argent: bon valet, mauvais maître.
  • L'argent, plus t'en as, moins tu en as besoin.
  • Tu connais tout le monde? Non, tout le monde me connaît.
  • La prison tue plus que la peine de mort, mais plus lentement.
  • La mort n'est ni une malchance, ni un hasard, ni une coïncidence, mais elle n'a pas d'échappatoire.

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