Magazine Humeur

Vocabulaire érotique par chapitre 2 : de 5-Heureusement qu'il y a l'Amour ! Enfin … à Epilogue

Publié le 25 juin 2009 par Collectif Des 12 Singes
Chap 5-Heureusement qu'il y a l'Amour ! Enfin ...

• On ne retient pas une amie par la force, ni par la manipulation (du moins pas à long terme)
• Tu m'aimes ? Ne pose pas la question quand tu ne veux pas entendre la réponse
• Je déteste chez toi ce qui t'excite chez moi
• Ça me surprend que tu sois surpris
• Je suis comme un aveugle dans la nuit, je bloque sur l'écran noir de mes nuits blanches
• Si tu fais un pas vers moi, j'en ferai deux vers toi, et non un pas en avant deux pas en arrière, ce n'est pas ma politique en tant qu'amant aimant
• Auprès de ma blonde, il fait bon bander.
• Il faut de la tise pour l'attiser
• Faut que j'aille me faire belle puis me faire la belle pour allez mettre un coup à la belle
• T'as que de la bouche, ce qui est déjà bien, mais le sexe c'est encore mieux
• Personne ne pipe mot, mais il ne faut pas oublier la langue, bien pendue !

• Si je m'abandonne à toi, ne m'abandonne pas
• Je ne suis pas de celle que tu ensorcelle/ensarcelle
• Son côté froid me met en chaleur
• Tu es tellement froide que quand je te touche j'ai des engelures
• Qui m'aime me suive, mais suis moi je te fuis et fuis moi je te suis
• Mais mais, tu m'aimais non ???
• Je t'aime profond ...dément tout ça
• Un accès de tendresse ? Non, un excès d'ivresse
• J'ai oublié ce que j'ai fait la veille, mais c'était sûrement des merveilles
• Un peu plus tard après la nuit, je n'ai pas encore dormi, un peu plus tard après la fin de l'aurore, mais est-ce que je t'aime encore ; et pourquoi je l'ignore ! Mes larmes s'évaporent et le silence est d'or.
• Elle ne sort plus de ma mémoire, ni la nuit ni le jour
• C'est moi qui te fais rire ? Non, sûrement pas, plutôt le contraire d'ailleurs
• Nous partageons tous les deux un gros problème : TOI !!!
• Je dis ça, je dis rien ! Justement, ne dis rien alors !
• J'ai une question que me brûle les lèvres, je l'ai sur le bout de la langue
• C'est si chaud à dire que je préfère donner ma langue à ta chatte
• Je ne suis pas une fille facile ! Je ne te le fais pas dire
• Je dois m'en aller, je ne veux plus t'aimer, il faut tout oublier
• Parle-moi d'amour, je veux des baisers de velours
• Je suis patient, à condition que ça ne dure pas trop longtemps
• Avec une petite amie comme ça, on n'a pas besoin d'ennemi
• Minute papillon, faut pas pousser mémé dans les orties, j'ai pas dit oui ! Pourquoi, c'est non ? Non, c'est oui !!!
• j'ai une relation amour-haine. Tu l'aimes et la détestes ? Non, je déteste l'aimer !
• si tu veux de moi, je veux de toi
• personne n'est irremplaçable, même pas toi
• c'est quand tu veux, où tu veux, comme tu veux
• C'est trop pas juste pour toi Calimero/Giacommo
• les rapports humains, ça fait longtemps que je n'essaye plus de les comprendre

• Tant va la « cruche » à l'eau qu'à la fin elle se casse pour avoir d'autres sons de « cloches »
• J'en ai marre de te rattraper, je préférerai d'attraper
• J'en ai assez que tu me répondes par des silences
• Quand on sait pas, on fait pas : si il y a doute c'est qu'il n'y a pas de doute sur les (non)sentiments
• Je te donne quand tu te donnes à moi
• Certaines femmes sont comme des requins : si tu veux te jeter à l'eau, il vaut mieux savoir nager vite
• Y a qu'à ! Oui, faut qu'on !
• T'es bien gentil, mais c'est fini
• Remplacer le besoin par l'envie

• Tu me rends fou, mais tu t'en fous, c'est vraiment trop
• L'un dans l'autre, ça balance pas mal entre nous
• Tout est possible entre nous, mais rien n'est probable
• La nuit porte conseil
• Tu pointes ! Je sais, ça tétonne, (d)étonnant non ?
• Mieux vaut avoir des remords (sentiment douloureux, accompagnée de honte, que cause la conscience d'avoir mal agi) que des regrets (mécontentement de soi ou chagrin de n'avoir pas fait quelque chose).
• Dans notre histoire d'amour, il y a plus d'histoires que d'amour
• Ni le soleil ni l'Amour ne peuvent se regarder en face
• Je t'aime aussi, mais à ma façon, différente
• Comment garder la tête froide dans un corps brûlant de passion ardente
• La raison seule ne peut rien, elle doit être combinée aux émotions
• Tu étais prêt à tout mais je n'étais pas préparée à toi
• Va te faire foutre ! Avec plaisir, mais pas par toi !!!
• Va faire le tri du vrai / du faux, du laid / du beau
• Pays merveilleux où ceux qui s'aime vivent à deux, heureux
• Y a rien là, c'est en tout bien tout honneur ! C'est bien ce qu'il ne me convient pas
• Mon amie, mon amour, mes emmerdes
• Je sais que tu es très aimable, mais pas par moi
• Putain la pute : putain de toi, pauvre de moi !
• Femme que j'ai haï d'aimer plutôt qu'aimer haïr
• Je te pompe (l'air comme un vacuum, une machine à vide) ! Tu fais plus de bisous-bisous filous que de bisous doux, tu me les gonfles, je m'hyper barre !!!
• Il n'y aura pas de prochaine, sinon elle prendrait pour toi !
• Quand je vois tes yeux je suis amoureux, si j'étais dans ton cul je le serais encore plus.
• L'ange de l'amour n'était que le Satan (tentateur/accusateur) des sentiments
• Je fais aimant honorable
• Je voulais la mettre à genoux, cela dit c'est sa position préférée
• Toi et moi, c'est je tu, l'amour c'est nous !
• Ce n'est pas tant que je l'adore, mais plutôt que je l'abhorre
• C'est comme ci ou comme ça
Ou tu veux ou tu veux pas
Tu veux c'est bien
Si tu veux pas tant pis
Si tu veux pas
J'en ferai pas une maladie
Toi tu dis noir et après tu dis blanc
Mais ce n'est pas noir et blanc
La vie, oui c'est une gymnastique
Et c'est comme la musique
Y a du mauvais et du bon
La vie, pour moi elle est magnifique
Faut pas que tu la compliques
Par tes hésitations
Tu veux ou tu veux pas? hein!
Quoi? Ah! tu dis oui
Et ben moi je veux plus!
• Avant l'heure c'est pas l'heure, après l'heure c'est plus l'heure du bonheur
• On a loupé le coche comme deux cloches
• Je te laisse le choix dans la date (même si je préférerai te laisser le doigt dans la chatte)
• J'en ai marre de jouer au yo-yo sentimental avec toi, de passer des cimes ensoleillées aux abysses obscurs
• Tu prends ce que je veux bien te donner, c'est déjà ça !
• A force de vouloir tout ou rien on obtient souvent rien
• Prend sur toi car tu ne me prendras pas
• Je ne cracherai pas dessus mais je cracherai bien dedans
• On a eu une liaison ensemble, enfin surtout moi avec elle !
• Je ne sais pas, je ne sais plus
• encore eût-il fallu(s) qu'elle le su(ce)

• C'est facile de m'allumer, mais quand je suis chaud, c'est difficile d'éteindre mon feu follet ardent
• D'abord je l'allume, ensuite je la lime !
• Ce n'est pas nous là, qu'est-ce qu'on devient / nous arrive, c'est un cauchemar, on va se réveiller
• Je te ai...me !
• Ma meilleure ennamie
• Il suffit que tu m'aimes ! Ça m'est compliqué de faire et de penser aussi simplement !
• Tu n'éprouves que du désir pour moi, et ça ce n'est pas de l'amour !
• T'as encore mal à la tête, je vais encore me la mettre sur l'oreille, et un non de plus. Non, je dis rarement non, non mais, dis donc !
• Sucer des capotes, ça rend aimable et baisable
• Quel charmant minois (minou, ça je sais pas ... pas encore)

• Être enlacé puis embrasser sans se lasser
• D'abord je m'échauffe et je la chauffe, ensuite je m'étire et je la tire
• Sa moule se referme comme une huître

• En face d'elles, mes yeux sont le miroir de larmes
• La réalité est pire que l'affliction (état d'abattement produit par un événement malheureux) de notre affection qui s'afflige (mortifier son corps, le faire souffrir) devant ce que tu m'infliges (frapper quelqu'un d'une peine pour une transgression, une faute).
• Heureusement qu'elle s'est barrée, elle était barrée complet à l'ouest
• Si tu dis oui... je ne dis pas non ! Merci d'être venue, merci de repartir !!!

• Amour vache
• Faire une mise au point G
• manipulation (senti)mentale
• Les catiminis désignaient les règles au XVIème siècle.
L'expression « en catimini » a été construite en référence au caractère intime et secret des règles.
On dit qu'une femme à ses ours pour parler de ses règles.
Ce terme traduit l'irritation que vivent certaines femmes au moment de leurs règles. Elles grognent...

• J'ai tellement flashé sur elle que j'ai confondu vitesse et précipitation dans l'éjaculation
• Elle a trouvé les mots contre mes maux
• Laisse tes mains sur TES hanches
• Va comprendre Charles ! Ça fait longtemps que je ne cherche plus à comprendre, je subis et ça suffit !
• La douleur est universelle et moi je reste dans mon univers, seul !
• Tu l'as dans la peau, faudra un laser pour effacer son tatouage mais restera des traces, indélébiles mais à éviter de rendre débile
• Foutue comme une bouteille de Perrier

Chap 6-Ulla glisse vers l'Enfer de ses Cerbères

• Prostitution Ulla : Comment peut-on bafouer ainsi sa morale, son respect de soi ? Je n'avais pas le choix, j'étais aculée à me faire enculer. Les raisons du cœur ne peuvent survivre face à la misère.
• Les putes apportent un peu de douceur dans ce monde de brutes
• Vieux tout puissants
• Quidam le pion dans ton fion (S'employait dans les monitoires, procès-verbaux, informations, etc., pour désigner les personnes dont on ignorait ou dont on n'exprimait pas le nom)
• bouge pas, reste là, bien gentiment, bien tranquillement
• branle-bas de combat
• Une petite paire tienne vaut mieux qu'une grosse tu l'auras
• Notre lolo quotidien
• Touze en scène
• Soubrette en levrette : serveuse déguisée en uniforme du XIXè siècle, avec un bonnet de dentelle, un petit tablier, des longues socquettes blanches, parfois des oreilles de chat : Geisha soumise, esclave qui s'incline devant le client en l'appelant « Goshinjin-sama » (« maître-vénéré », le mot ancien au japon pour désigner son mari), qui vous donne la becquée : portant la fourchette à sa bouche, elle le nourrit, sourire timide et mimique obéissante incluse : on devient le héros d'un petit théâtre dominant-dominée, un simulacre pour se débarrasser de la domination réelle que l'on subit au quotidien
• Pourvu que cette soubrette soit bonne dans sa chambre de bonne

• Pouvoir et dépravation vont toujours de pair (de couilles)

• Gros melons et bottes de cuir
• Lâche la cochonne sale cochon !
• C'est elle qui trime et prend, mais moi qui encaisse
• En prendre plein le cul pour pas un rond
• La poule à mes œufs d'or
• Se faire porter pâle après s'être faite empaler (Le pal, pieu en bois servant à l'exécution de ce supplice, était enfoncé dans le fondement, anus ou vagin).
• Confrontée aux dures lois du refus de la différence et du qu'en-dira-t-on
• Tout est affaire de coquinage dans ce milieu

• avec les putes on risque de manger des escalopes (de salope) aux champignons, la dame au chlamydia
• passer du trottoir au boudoir (petit salon orné avec élégance, à l'usage particulier des dames, et dans lequel elles se retirent, lorsqu'elles veulent être seules ou s'entretenir avec des personnes intimes).

• Aller au turbin du tapin (• (Désuet) Celui qui bat le tambour.
• (Par extension) Racolage sur la voie publique.

• Faudra me passer sur le corps ! C'est bien prévu comme ça !!!
• Je te prends, je te retourne, je te casse en deux

• Ils ne faisaient pas grèves dans leurs sévices publics
• Maître d'hôtel et Maître Queux (chefs de cuisine ; (mettre queue))
Le mot queux vient du latin cognus, de coquere, cuire. Chez les citoyens romains, un cuisinier était appelé un queux. Plus tard, l'officier qui commandait à tous les officiers de la cuisine et de la table fut nommé "Grand Queux de France".
Plus près de nous, il devint "Officier/Chef de bouche"

• Je vais t'introduire dans le milieu interlope (frauduleux) des nyctalopes (faculté de pouvoir voir dans la pénombre. Étymologiquement, le terme désigne en fait l'incapacité contraire, c'est-à-dire la cécité nocturne (en anglais, par contre, nyctalopia signifie, comme dans l'antiquité, mauvaise vision nocturne)
• Les termes « salle de jeu » ou « boîte à ouvrage » sont employés pour nommer le sexe de la femme, lieu des réjouissances.
• Poker : je me couche ! moi je vais sur le tapis ! As des ass Vs belle paire ! Ah, je la sentais venir
• le croupier lui mange le croupion
• j'ai joué (à pile ou poil) et joui avec elle
• jeu de dames (le roi des jeux) : But du jeu : Capturer ou immobiliser les pièces de son adversaire.
• Lorsqu'une case voisine sur la diagonale est occupée par un pion du joueur adverse, et qu'il y a une case libre derrière, ce pion peut être sauté. Il est ainsi pris
• Une prise peut s'effectuer vers l'avant ou vers l'arrière.
• La règle « souffler n'est pas jouer » a été abolie en 1911: quand vous pouvez prendre, vous devez prendre, quelles que soient les conséquences. S'il y a plusieurs façons d'effectuer une ou plusieurs prises, la règle de la quantité doit être appliquée : il faut effectuer le maximum de prises possible.
• Il est d'usage de superposer deux pions pour représenter une dame. prise multiple
piège dit « coup turc », permettant de prendre la dame adverse.
Le joueur a perdu la partie lorsqu'il ne lui reste plus aucune pièce en jeu, ou bien si c'est à lui de jouer et que toutes ses pièces sont bloquées, c'est-à-dire dans l'impossibilité de prendre ou de se déplacer.
• Un tiret « - » représente un déplacement simple et une croix « x » représente une prise. Comme aux échecs, on peut annoter un bon coup d'un point d'exclamation et un mauvais d'un point d'interrogation.
• Souffler, forcer, laisser faire

• Tu peux te la mettre derrière l'oreille, ton cigare tu le fumeras plus tard !
• Sa bite me reste en travers de la gorge
• Les termes sadisme et masochisme ont pour origine les noms de deux écrivains du 19ème siècle : l'écrivain français, Donatien Alphonse François de Sade mieux connu sous le nom de marquis de Sade et l'écrivain autrichien Leopold von Sacher-Masoch.
Kraff-Ebing , médecin qui a décrit les sexualités atypiques au 19ème siècle, a utilisé le nom de ces deux auteurs pour nommer ces particularités de jouissances sexuelles. Ils se sont tous les deux faits remarquer par leurs romans qui reprenaient leurs goûts sexuels particuliers : pour l'un le goût d'infliger de la douleur, de dominer l'autre ; pour l'autre le goût d'être battu, soumis.

• Le sadomasochisme est interdit pas la loi.
Toutes pratiques sexuelles entre adultes consentants se déroulant dans des lieux privés, ne relève d'aucune loi, du moins en France. La législation n'intervient pas dans la sexualité privée entre adultes.

Question n°3 : Dans les scénarios sadomasochistes les hommes sont toujours les dominants, les femmes les soumises.
Les enquêtes récentes sur ce sujet indiquent que les dominants peuvent être homme ou femme contrairement à ce qui fut décrit de ses sexualités atypiques à la fin du 19ème siècle. A cette époque, on pensait que les hommes étaient plus enclin à aimer infliger de la douleur (sadisme) et les femmes à la subir (masochisme).

Question n°4 : Les pratiquants du SM peuvent changer de rôle, parfois ils sont celui qui domine parfois celui qui est soumis.
Des enquêtes menées dans les clubs de sadomasochistes Outre-Atlantique ont montré que 50% des répondeurs aux questionnaires avaient joué les deux rôles : sadique et masochiste.

Question n°5 : Un Donjon est un lieu où sont enfermés des hommes.
On appelle donjon le lieu où se déroulent les rituels sadomasochistes.

Toute personne qui a des fantasmes de viol pourrait prendre du plaisir dans des pratiques sadomasochistes.
Du fantasme sexuel à la réalité, il y a un grand pas. Même si vous avez plaisir à évoquer certains fantasmes, rien de moins sûr que leur réalisation vous apporte de la jouissance. Le fantasme est en lien avec des éléments profonds et cachés de vous même. Si la réalisation de fantasmes vous paraît incongrue et sans intérêt, rien d'étonnant ; ce qui est caché, souhaite rester hors de portée.

Question n°9 : 12 % des français ont des pratiques sexuelles SM.
Moins de 5 % des français se prêtent à ces jeux érotiques.

Question n°10 : On trouve à Paris 20 donjons.
Il existe deux donjons à Paris, lieux mythiques où se retrouvent hommes et femmes pour se livrer à leurs plaisirs SM. Les soirées SM ont le plus souvent lieux dans des appartements privés.


Chap 7-Le pire du x pour x raisons

• C'est facile, mais pas classe, de (se) décharger sur les autres (éjac faciale)
Stanley Lubrick
Égérie (Égérie, camène (nymphe) révérée des Romains comme déesse des sources, habitait le bois d'Aricie, voisin de Rome. Numa Pompilius s'enfonçait dans ce bois sous prétexte de consulter cette nymphe, afin de donner à ses desseins l'autorité de la religion), porn to be star

Blanches fesses et les sept mains
L'arrière-train sifflera trois fois, trois hommes et un cul fin
Nique Bill
Fuck and Furious
Desperate Sex Wives
Hard Sex in the City

• La botte Florentine désigne la sodomie ou rapport anal.
En effet, c'est ainsi qu'on la nommait, évoquant ainsi un coup spécial, particulier, comme au fleuret dont les Florentins semblaient experts, celui de la jouissance anale.

• Faire de la grimpette sur son Mont de Vénus [appelé aussi pénil : amas adipeux, éminence large et arrondie située au-devant du pubis chez la femme, qui aurait pour rôle d'amortir les chocs lors du coït]

• Je vais mettre sa petite fleur au bout de mon fusil d'assaut
• Prend ta cartouche
• J'en ai ras la touffe, le bol et le cul


Chap 8-L'Amazone démonte Jésus

• Trop de x tue le x (euh non, ça c'est l'exception qui confirme la règle, quoique les nymphomanes sont rarement heureuses, ou -x, de leur sort).
• Je ne suis pas l'homme d'une seule femme
• J'avance et je roucoule dans l'encule
• Amener Popol au cirque pour monter le chapiteau
• Dormir sur la béquille
• Ta reum et son chaudron magique
• on bosse comme des fous, on s'amuse comme des folles
• L'herbe est toujours plus verte dans le chant amoureux du voisin, surtout quand on est dans le désert affectif et sexuel

• Sacré toi, t'en perds pas une ! Non, je les chope/gagne toutes !!!
• J'y vais bite en tête car je touche ma bille/bite
• Moi je m'échange, mais elle je ne la prête pas
• Ce n'était pas X qui m'inquiétait ou en qui je n'avais pas confiance, mais les autres hommes qui lui tournaient autour
• Les coquins d'abord
• La Furie de la nuit
• Je suis une fidèle qui veut profiter en étant infidèle comme mon mari


• aller à vau-l'eau : partir à la dérive, emporté par l'eau sans rien pouvoir contrôler
traduction moderne : cela part en couilles

• Enfoncer le clou
• Une perd la pudeur
• Guère pudique, tu niques
• Vierge Marie Vs mari vierge à verge
• Mari volage porté sur le marivaudage : Le nom de Marivaux a donné naissance au verbe marivauder qui signifie échanger des propos galants et d'une grande finesse, afin de séduire un homme ou une femme. Par extension a été créé le mot marivaudage, « le mélange de métaphysique, de locutions triviales, de sentiments alambiqués et de dictions populaires le plus subtil ». Il se rapporte également à d'autres termes tels que le libertinage et le badinage. il créait même des mots nouveaux comme cette locution verbale qui nous paraît maintenant si courante, mais qui n'existait pas encore à l'époque, tomber amoureux (avant, on disait se rendre amoureux).
"exprimer de manière raffinée et compliquée" des
sentiments, en général amoureux.
"Marivaudage" est attesté aussi dans la correspondance de Diderot en 1760, il
signifie "style raffinant le sentiment et son expression" (A. Rey). Par
extension, il signifie "badinage spirituel" (on parle de marivaudage
sentimental).
"Badinage" : le mot vient du provençal "badin = nigaud". Il a désigné
longtemps un personnage niais, un fou puis le bouffon des comédies.
Personnage folâtre, enjoué, un peu frivole. On retrouve encore ce sens chez
Courteline qui nomme un de ses personnages, Monsieur Badin.
Cela a donné badinage qui signifie "sottise", encore au XVIIème siècle
chez Molière, avant de devenir le substantif du verbe badiner =
"plaisanter avec enjouement".
Le mot renvoie plus directement aujourd'hui à l'idée d'un bavardage,
souvent superficiel, autour des sentiments. Voir le titre d'une pièce de
Musset "On ne badine pas avec l'amour".

3- "Libertinage" : le mot vient de libertus qui en latin signifie "affranchi".
La diffusion du mot fait référence à un courant de pensée du début du
XVIIème siècle qui prétend s'émanciper de toute croyance religieuse. Par
extension, le mot désigne une personne à la morale flottante, considérée
comme débauchée ou simplement adonnée à la recherche du plaisir sans
contrainte. A l'époque de Marivaux, des écrivains comme Crébillon et un peu
plus tard, Laclos mettront en scène des libertins en ce sens.
Le "libertinage" diffère du "marivaudage" qui est avant tout un jeu avec les
sentiments et les mots. Il suppose une volonté plus affirmée de refus des
conventions morales et une manière de vivre délivrée de toute contrainte.
Néanmoins, le "libertinage" est encore une façon d'user du langage pour
séduire, une forme d'expression ludique, mais moins enjouée que cynique.


• Epouse délaissée et esseulée
• Pisse-froid qui a chopé la chaude-pisse
• Manche à balai dans le cul
• Croqueuse d'amants
• Copains coquins comme cochons qui partagent le pain, et leurs copines qui partagent la pine
• Rouler ma bosse de l'amour dans tous les ports USB (Ultra Sexy Bimbos) et pourtours, méditerranéens et africains, mais de préférence caucasiens.

• Je vais te la faire courte ! Perso, je préférerai longue !
• T'as besoin d'un coup de main ? D'un coup oui, mais pas demain !
• C'est parti mon kiki (pas riquiqui) pour le coup de rein !

• gaudrioles ! Ne connaissant pas le sens de ce dernier mot, M. Mackey le définit comme des. Quand ses parents arrivent, M. Mackey disputait justement leur fils pour ses gaudrioles ! Le père ne comprend pas non plus ce terme, qui est un croisement du terme vieilli gaudir (« manifester sa joie ») et de cabriole : donc ce sont des propos licencieux, généralement avec une valeur érotique.
• Toison d'or (enfin, avec l'âge, plutôt argentée), je n'étais pas comme Ulysse qui l'avait conquise, elle m'a été imposée

• Nymphomane et l'hypersexualité est aussi appelée satyriasis (de satyres, créatures de la mythologie grecque, qui incarnent la force vitale de la nature).
Le concept d'hypersexualité remplace aujourd'hui les anciens concepts de nymphomanie et de satyriasisme. À ces anciens concepts était associé un trouble psychologique caractérisé par une obsession vis-à-vis du sexe entraînant une libido considérée comme trop active. Je suis un satyre sur tout ce qui bouge les oreilles et la queue (essentiellement de bunny girl, les filles de Playboy)

• Sans mon beau body je serai nobody
• Je n'ai « confiance » qu'en moi, mais c'est trop pour un seul homme ! C'est difficile d'avoir confiance en autrui quand on en manque pour soi
• Faut aller au charbon, je descends à la cave
• Avec tout ce (et tous ceux / toutes celles) qui tourne(nt) / traîne(nt), obligé je chope quelqu'un(e) / quelque chose
• Il est libre/libertin Max, mais y en a quand même qui disent qu'ils l'ont vu convoler en juste noce
• Je suis venu, je l'ai vu, elle l'a eu dans le cul !
• Ça m'est parvenu aux (et ça m'a échauffé les) oreilles par joui dire
• J'ai pour principe de ne pas avoir de principes
• Ce n'est pas moi qui me trompe, c'est lui qui me trompe
• Je suis reparti la queue entre les jambes
• Tu connais mon mari ? Oui, mieux et plus en profondeur que toi !
• Je lui ai tout donné, encore et encore
• J'en ai marre de ses sexcapades

• turlupinades (référence à la secte des Turlupins dont les membres soutenaient qu'on ne doit avoir honte de rien de ce qui est naturel. Aux XIIIe et XIVe siècles, les Turlupins dansaient facétieusement et nus autour d'un chêne dans la forêt : le mot signifie aujourd'hui plaisanterie vulgaire, mauvais jeu de mots)

• j'ai oublié de vivre et de jouir sans entrave
• de nombreuses femmes qui aiment leur mari, n'imaginent pas pouvoir le tromper, mais s'offrent « une petite aventure ».
• J'alimente son feu en lui mettant ma bûche dure comme du bois dans sa cheminée, elle est grande, il y a du tirage d'autant qu'elle est bien ramonée
• Brouter le gazon jusqu'à la tonsure, lui défricher le jardin à la française (« Baiser à la Française » est une expression employée Outre-Atlantique pour évoquer le cunnilingus. Ils disent même 'to french' !)


• cunnilingus (cunni, con, sexe de la femme, forme latine signifiant lapin ; lingus, langue) réchauffe le bouton gelé, clitoris, de l'amazone
Le bouton du clitoris (à l'instar de son équivalent le gland, tout deux corps spongieux ultrasensibles) étant très stimulé, diminue de taille pendant que le reste du clitoris (interne) se gonfle de sang puis le bouton devient plus proéminent qu'avant (important à noter car c'est l'inverse de chez les hommes où quand ça se ramollit c'est fini). Cette dernière pour le remercier de ses bienfaits, le gratifie de son nectar, la cyprine lubrifiant les va-et-vient sexuels.
solliciter l'aimable autorisation de cet autre sphincter gardien de l'intimité anale. Ce dernier délivrant un avis favorable, Moa prend la main d'Esperanta afin qu'elle guide et gère la pénétration du phallus dans le vase postérieur en fonction de son ressenti. Ainsi elle est rassurée car maîtresse de la progression de la chose.

Chap 9-L'abbesse Pierrette de la galipette

• Batifoler : Se permettre des libertés avec une femme.
• Plutôt que de se battre, s'ébattre avec joie, faire les foufous en folâtrant

Chap 10a-Plus on est de fous plus on jouit

• J'ai le sexe aphone, il n'entend plus rien de mes ordres de se calmer
• concert pour une flûte et un pipeau

• La bite tousse (l'habitus étant une manière d'être; une allure générale; une tenue; une disposition d'esprit) : elle toussote mais ne crachote plus ! C'était mieux avant
• Purpurapsychogène: manifestation psychosomatique où le corps manifeste les maux de l'esprit il arrive que le corps crée des manifestations physiques de souffrance pour exprimer ce que le cerveau est incapable d'exprimer."
• faire affleurer à la surface de son épiderme sa culpabilité profonde.
"la culpabilité, la honte..."
Pour une série qui se base sur la chirurgie esthétique, et donc le mensonge du corps, voici soudain que la réalité médicale montre les limites de cette pratique. Le remord s'incarne à la surface: le lifting ne peut rien contre l'esprit.
J'avais des conditions de vie/nuit d'épouvante car éprouvantes
La klysmaphilie est l'attirance sexuelle pour les lavements
Réponse 2 : L'harpaxophilie désigne l'excitation sexuelle à l'idée d'un vol.
Réponse 3 : La pédiophile est l'attirance sexuelle pour les poupées, les ours en peluche et autres jouets zoomorphes ou anthropomorphes.
Réponse 4 : L'exobiophilie est l'attirance sexuelle pour les extraterrestres et leurs représentations.
Réponse 5 : Les femmes enceintes sont l'objet d'attirance sexuelle pour les maïeusophiles.
Réponse 6 : L'attirance sexuelle pour les pubis rasés se nomme l'acomoclitisme.
Réponse 7 : l'acrotomophilie est l'excitation par l'idée d'avoir des relations sexuelles avec une personne amputée.
Réponse 8 : Les statues ne laissent pas de marbre les pygmalionistes.
Réponse 9 : Le fétichisme du pied se nomme la podophilie.
Réponse 10 : La trichophilie est l'attirance sexuelle pour les poils et les cheveux.

MMS : matin midi, soir ; puis mardi, mercredi, samedi ; puis mars, mai, septembre ; puis Mes Meilleurs Souvenirs


• emportée par la fougue qui la traîne et l'entraîne
• la musique de l'amour, c'est : Une symphonie, Un solo, De la musique de chambre
• Mélange des deux genres, corps à cœur et à cris !
• en chair et en bosse


• Je me détourne de toi pour me tourner vers lui


• Tourne le bouton, le bouton tout rond/rose, et je te couinerai une chanson (couinement : cri de la lapine lorsqu'elle est prise en chasse)

• Tripoter l'andouillette, à trois
• Rencontre du troisième slip : normal, on m'appelle l'homme qui tombe à pic, en slip

• Déshabiller du regard
• Je te ferai remarquer que j'ai remarqué que tu m'as remarqué


Chap 10b-Donneuse d'orgasmes bons pour la santé

• Syndrome du membre fantôme que l'on a besoin d'activer pour se rassurer qu'il marche toujours bien

• Joyeux festin où la liberté est de règle. Ne s'emploie plus guère que dans l'expression être en goguette: être excité, être de joyeuse humeur, souvent grâce à des libations un peu trop abondantes.
• Il y a de quoi rester coi après un tel coït
• C'est un peu fort au début, mais plus t'en prends, mieux ça passe (sodo)
• Je lui ai mis le 7è ciel, pendant des heures
• Je te demande ta main ! Prend-là comme je prends mon pied, mon corps tout entier est à toi, fais en ce que bon te semble
• Oups, j'ai la bite trop molle, c'est trop dur
• Il toque à la porte des perceptions délicieuses/ « délictueuses » avec son doigt donneur d'orgasme
• ouvrir (défoncer) la porte des plaisirs

• jeu de mains, jeu de câlins
• descend jusqu'à l'entrejambe afin de tâter l'effet qu'elle lui fait. Force est de constater que Moa a les corps spongieux méchamment dilatés : il arbore un joli gourdin sous son caleçon.
• Je bois sans soif, goulûment, au goulot de cette femme-fontaine, petite lichée après grosses léchées
• Il est tout content, il remue la queue
• Je lui rabote, avec ma langue (qui n'est pas de bois), son rondin qui ne reste pas de marbre
• quitte l'épicentre cause du séisme dans son slip
• Je t'ai réservé une surprise !
Ah bon, quoi ?
Tac dans ton cul ! Surprise dans ta prise !!!
• sentant la chaleur du « vice » qu'elle a dans la peau (mais au moins elle se l'avoue), ne peut plus supporter ce t-shirt qui l'étouffe de chaud
• Sacrée soirée, on n'a pas fait que sucer des glaçons / garçons
• Droit dans mes capotes
• Je me trémousse pour l'émoustiller
• ma matière « grise » est aspirée par ton trou noir
• j'ai perdu mon sang-froid face à sa cyprine chaude
• (il débande), il dé-bite, sa conne rit
• file loup, filou, viens ici

• Faire des gorgées chaudes
• Je me sens tout chose/chaud
• Lécher les flancs de colline
• malaxer les testicules comme des boules chinoises (pour calmer l'impatience)

• affolent Esperanta de plaisirs et de gémissements torrides

• Esperanta est totalement submergée par ces sensations bilatérales : s'envolant de jouissance, elle saisit l'ancre du meneur de barque directement dans son caleçon pour s'arrimer au sol.
contre attaque en lançant une offensive pacifique, un tir ami, vers le triangle des Bermudes de la forêt humide. En phase d'approche, le pouce frôle délicatement la grande lèvre supérieure, la première de la zone pubienne. Progressant vers son objectif, la petite lèvre supérieure est mise à l'index, doigt qui la cajole doucement pour montrer son attitude bienveillante envers elle.
transe chimique hormonale des neurones, déploie son pouce et décapuchonne le clitoris
l'antre du plaisir
En faisant patiemment de petits cercles, le sphincter vaginal (le petit muscle dont il faut se faire l'ami pour pouvoir entrer en l'autre) se détend et autorise à plus si affinité. Les « bulbes du vestibule » (structure symétrique autour du vagin) se gorgent également, pour d'autant plus de plaisirs clitoridiens.
Esperanta n'en peut plus, elle arrache le caleçon afin de pouvoir saisir toute l'ampleur du phénomène, jusqu'aux boules.

s'accroche aux draps pour rester sur terre avant de vraiment s'abandonner au 7è ciel.
En y allant très doucement, par petits cercles concentriques, et avec des rentrées-sorties pour surexciter tout le rectum, Moa continuant à masser le clitoris et le reste de la vulve, Esperanta ressent une profonde chaleur agrémentée d'intenses plaisirs.

Nos deux comparses sont, en même temps, au firmament de leur jouissance et de leurs extraversions. Quel feu d'artifices ce fut !!! Ils se couchent l'un à côté de l'autre, Moa mettant sa tête sur la poitrine d'Esperanta, se faisant de petits baisers de fatigue mais de grands sentiments, caressant en effleurant délicatement les mains ou autres peaux sensibles de l'autre.
• préservatif à striures réputé pour booster le désir
• J'ai besoin d'avoir de l'attention ! T'inquiète, je vais t'en donner de la tension, tu vas en être survolté, proche de disjoncter et de péter un fusible !!!

Epilogue

• On pénètre l'intimité des chambres à coucher, histoire de surprendre l'abandon des corps qui se prélassent sur un lit défait, dans des draps chauds qu'on éparpille. Au lieu d'un sommeil profond, on plonge dans des caresses opiniâtres, faisant place à l'étreinte tantôt brutale, tantôt paresseuse.
• Des friselis (léger mouvement souvent accompagné d'un murmure, d'un doux bruissement) de plaisir sur le dos et l'échine
• Le libertinage est une tradition française, le dernier legs des aristos !

• Je vivais dans le déni/le refoulé, cherche pas, ce n'est pas sur une carte
• Il parait que j'ai mauvais genre ! C'est pour cela que je ne vous dirai pas de quel genre je suis.
• Les garçons ont l'œil, mâle placé, mais les seins leur font tourner la tête,
• Le jugement masculin est b(i)aisé par la contemplation des monts du temple de Vénus.
• cerveau é-triqué de mâle en rut et donc en lutte
• Turlutte hutu faite par une tutsi (comme Dustin Hoffman, une femme peut cacher un homme) et chapeau pointu
• With my god I fuck, with a gode we fuck
• En amour, on a vite fait de compliquer des choses simples et de simplifier des choses compliquées !
• queutard sur le retour
• Le plus chaud lapin l'épluche haut la pine
• Tripoter la queue d'une bunny girl
• On s'emboîte comme des poupées gigognes qui gigotent !
• pointeur, celui qui introduit son sexe, pointé, celui qui reçoit
• hétérosexualité et homosexualité, davantage que des identités figées, sont des rôles que l'on peut échanger
• ludique et lubrique
• érotomanes, pornocrates de tous poils, enfilez-vous


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