Magazine Humeur

Notations de carnet de conversations 6

Publié le 13 juillet 2009 par Collectif Des 12 Singes
• il est bien frais et bien pulpeux, comme tu l'aimes
• ma place ds l'estime des autres, ou la fausse idée que je m'en fais
• tu me maintiens éveillé pas tes dires doucereux
• claquage de bises
• laisse tes mains sur mes hanches ou meme encore mieux ds tes poches. c mieu dans mes poche que sur tes hanche?? ah bon? je disais ca par rapport a toi, bien sur que pr moi mes mains sont mieux sur tes hanches mais pr toi c pr moi qu'elles soient ds mes poches voilou
• "laisse tes mains sur mes hanches" c le titre d'un film, tt comme "embrassez qui vous voudrez"
• on atteint véritablement l'amour quand on a plus peur des conséquences de notre spontanéité sur la relation.
• on retourne le fond et on on agrandi "le commerce". C'est ce qu'on appelle élargir le cercle de ses amis
• sus à l'action, si on se désirait jusqu'au bout ?!", j'emploie fréquemment "on va coquiner" ...
• "Fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d'y rester"
• Encore faut-il avoir l'envie du désir.
• L'échange est propice à l'inspiration, l'échangisme aussi. Changer de partenaire enrichi la culture en la matière, sauf que là je n'ai rien à échanger.
• Le courage, c'est parfois de continuer de vivre.
• Il n'y a pas d'amour sans tristesse, mais c'est toujours mieux que de la tristesse sans amour.
• Les femmes ont autant besoin de sécurité que les hommes de reconnaissance.
• Un vieux est un survivant.
• Le Karma c'est la justice de demain sans la satisfaction d'aujourd'hui, et je ne crois pas en la justice (ne juge pas de peur d'être jugé comme disait l'autre).
• Un plan est une liste de choses qui n'arrivent jamais comme prévues.
• Connaître les choses c'est la culture, les comprendre et les créer c'est l'intelligence.
• Le jeune doit se Rebeller, il aura toute la vie pour être acculé (confronter quelqu'un à une difficulté, sans possibilité d'échappatoire).
• Ce n'est pas tant la différence/diversité qui compte que la diversification.
• Les rapporteurs proposent, les tendances politiques et sociales disposent.
• Je n'aime pas plus X que je ne déteste Y. Je ne veux pas X mais je suis contre Y.
• L'amour ne tue jamais l'amour, au contraire de bien d'autres choses.
• Calmer le vice, développer/protéger la vertu.
• Quand on ne peut atteindre la perfection, il faut au moins atténuer le mal.
• Mieux vaut ne jamais manquer du nécessaire que d'avoir en abondance du superflu.
• Secte des Haschischin : rien n'est vrai, tout est permis.
• Les gens sont contents d'eux-mêmes plutôt que d'être en colère contre la réalité.
• Tu te complais dans la compromission.
• Dans la vie, il faut faire des compromis, jusqu'à ce que ceux-ci deviennent trop compromettants pour le respect de sa personnalité.
• Oublier le passé, vivre intensément le présent sans penser à l'avenir.
• Je suis pour le dialogue, mais là il n'y a pas matière à débattre.
• Je te regarde de haut car tu es tombée bien bas.
• On vit un conte de fée, sans pour autant oublier les ogres et les sorcières.
• Le passé reste dans le passé tout en laissant son empreinte dans l'avenir.
• Le passé, pfff, c'est dépassé.
• L'humain qui a maîtrisé l'atome doit apprendre à se maîtriser lui-même.
• Trop bizarre pour vivre, trop rare pour mourir.
• Ce n'est pas ceux qui savent le mieux parler qui ont les choses les plus intéressantes à dire.
• En Angleterre, tout ce qui n'est pas interdit est autorisé ; en France, tout est autorisé, même ce qui est interdit ; en URSS, tout ce qui n'était pas interdit était obligatoire.
• Le totalitarisme étant monolithique, il suffit d'enlever une brique pour que tout l'édifice répressif s'effondre.
• Celui qui n'agit pas enseigne, celui qui ne sait pas enseigner agit.
• Collectivement on veut des choses, mais individuellement on les rejette.
• La douleur est toujours très proche du bonheur/plaisir.
• Avoir des idées qu'on ne nous aura pas apprises, voir des merveilles qu'on ne nous aura pas montré.
• L'addiction aux drogues est la rencontre entre une personne, un contexte et un problème.
• La dignité de l'humain est d'assouvir ses passions.
• Parce qu'on pense qu'il n'y a plus d'avenir, on ne pense plus au lendemain.
• Le bon, le beau, le bien-être.
• Au début ce n'est pas l'envie qui manque mais l'argent, ensuite ce n'est plus l'argent qui manque mais l'envie.
• Aller à l'idéal, comprendre le réel.
• Mai 68 était l'inverse du communisme puisque pour les hippies la Liberté des uns engendre celle des autres.
• On n'est pas contre les vieux mais contre ce qui les a fait vieillir.
• On s'est battu en 68 contre ce qu'on est devenu aujourd'hui.
• Le futur n'est plus ce qu'il était.
• Le fait d'économiser protège du besoin.
• C'est plus facile de prendre des drogues comme médicament (ce qu'elles ne sont pas) que d'affronter la vie.
• L'amour demande du courage et des efforts.
• Unité dans la diversité plutôt qu'équilibre précaire dans la standardisation.
• Seule l'abstraction permet le discours sans condescendance ni propagande.
• Quand nous sommes vivants nous luttons contre la mort, après nous luttons contre l'oubli.
• La vie c'est aller vite, ne jamais se retourner, éviter les pièges, et tout ça tout seul.
• Les sports extrêmes sont des initiations au défi et au risque/danger.
• L'insoumission et la Contestation sont aujourd'hui noyées dans le conformisme ambiant.
• La technique doit améliorer les conditions de travail de tous, pas la rentabilité économique pour certains.
• Si une chose est conceptualisable, elle est concevable/réalisable.
• Le seul lieu où le Peuple est plus puissant que les puissants, c'est les arènes/stades.
• Se faire accepter sans s'imposer, tout en observant le respect que chacun attend.
• Les mentalités et stéréotypes sont une censure plus forte que les lois.
• Comprendre les Différences c'est mieux se connaître, mais parfois celui qui n'a pas bougé de sous son arbre est plus sage que celui qui a tout vu.
• Quand le drapeau flotte au vent, la raison s'envole.
• La confiance se dissout dans les intérêts comme un fleuve dans la mer.
• Les paroles s'en vont, les aigris restent.
• Notre désir est que l'autre désire notre désir (Lacan).
• Quand on veut construire l'avenir, l'idée de la mort est insupportable.
• L'amour c'est comme un chagrin de joie, être malade/fou en étant heureux de l'être.
• La vie c'est la mort en sursis.
• Les salariés mettent la moitié de leur vie à s'enchaîner, l'autre à se plaindre des chaînes.
• Le système mourra par ses propres armes, on mettra le feu chez les pyromanes.
• Ce qui uni est plus important que ce qui sépare.
• L'Anarchie c'est l'unité du multiple.
• Au fond de lui c'est un gars bien ! Je ne sais pas, je ne lis pas dans les entrailles !!!
• Si la société nous rejette, c'est pour mieux oublier que c'est elle qui nous a créés.
• Un bon accord vaut mieux qu'un mauvais procès.
• La Révolution est un bouillon de colère, de fierté et d'espérance.
• L'imagination est plus importante que la connaissance (Einstein).
• La France et la chance ne nous sourient pas.
• Eux ils sont comme des idiots à perdre leur vie à la gagner, nous on est comme des idiots à les regarder en ne foutant rien.
• Un jour on se rend compte que la vie est bâtie sur du sable et que ce vide n'a pas de sens.
• Le cerveau reflète indirectement le monde qui existe indépendamment de nous (Platon).
• Cerveau frontal intellectuel, latéral médiane affectif, inférieur postérieur actif.
• L'émotion guide la réflexion pour prendre une décision.
• Penser pour agir, agir par affection.
• La perception est la décision (perception d'une femme, décision d'y aller).
• Quand on voit dans tes yeux, notre regard se reflète et on se voit fort et faible à la fois.
• Pour atteindre la vérité, il faut creuser sous la surface des apparences.
• L'Humanité est l'individualisation du Nous Collectif.
• Tout lasse, tout casse, tout passe.
• C'est le malaise du temps qui passe qui fait que l'on parle du temps qu'il fait.
• La chance c'est comme le tour de France : on attend longtemps et ça passe vite.
• Rien n'est poison, tout est poison : tout est dans l'équilibre du dosage (Paracelse).
• Nous sommes la somme de ce qu'on voudrait être, ce qu'on croit être, ce que l'on est (ce dernier étant le moins connu).
• Si tu aimes le soleil, cours plus vite que les nuages pour rejoindre l'arc-en-ciel.
• Le pouvoir est partagé entre trop de mains, avec des intérêts divergents (les communistes).
• On peut convaincre tout le monde qu'on a changé, mais pas soi-même.
• Quand on touche tant au pouvoir qu'à la mort, on s'approprie l'immortalité.
• L'humain est perfectible par l'enseignement et par l'organisation de la société.
• On sait qu'on va mourir mais on n'y croit pas : ça n'arrive qu'aux autres.
• Depuis que je sais que je ne suis le premier ni ne serai le dernier, je n'ai plus peur de la mort (Serrault).
• Malgré les connaissances, l'humain ne sait ni d'où il vient ni où il va.
• Mon triomphe passe par ta gloire.
• Plus nous nous envolons, plus nous paraissent petits les gens qui ne savent pas voler.
• Freedom for the Respect.
• On devient un homme quand on aime une femme (plus que soi-même).
• Inséparables dans la vie, ils sont réunis dans la mort.
• Le sexe c'est se dévoiler avec la peur de connaître le « mal ».
• Dieu ne teste pour vérifier que nous ne sommes pas une erreur de sa part, car il doute et a peur de lui-même.
• Dieu a crée l'humain à son image ? Eh beh, quand on sait que ce sont des humains qui ont écrit la bible, pour se persuader que l'on est divin et qu'on existe bel et bien ! Nous ne prions ni ne croyons en un dieu, mais qu'en nous-mêmes !
• Une convention est une condition de multiples individualités divergentes.
• L'amour c'est comme la grippe : ça s'attrape dans la rue en face-à-face puis ça cloue plusieurs jours en faisant transpirer au lit.
• Sors le calamar du calebar
• L'oignon fait la force
• La muraille de pines
• Elle m'agrippe les sacs
• Touche à ton cul ! Hum, c'est ça qui est bon !!!
• L'épée, pas rangée dans le fourreau (vagin en latin), taille de tous les côtés
• Le crazy horse de l'herbe folle aux songes
• J'adore la société sur mon lit autant que j'abhorre la lie de la société
• J'ai pris ma trique, ainsi t'as pris ta claque sur les fesses
• Sirène : moitié thon moitié femme
• La tendresse est le pain quotidien de l'Amour
• L'Amour est l'abandon du Je dans le dessein du Nous
• Que de la bouche, pas de lèvres
• Faudrait que je me bourre la gueule pour te bourrer le mou
• On n'est pas bien, à la moiteur torride, tous les trois, contractés du gland, et on bandera même si on n'a pas envie de bander
• Si t'es majeure (au moins sexuellement, à 16 ans), je te dois mon majeur, le second membre agissant le plus long : appelle-moi Goldfinger, Édouard aux mains agiles
• Suce-moi mon doigt que ma main te cache
• Donne-moi l'Amour, la petite Mort
• Je te prends la température, d'abord dans la bouche puis par les deux autres orifices assez ouverts sur le monde, ensuite je te dirai demain matin si je peux quelque chose pour toi
• On est venu pour ça ! Non, je suis Vénus pour Toi !!!
• Je travaille dans l'Art Is Anal : la semaine je monte des chaudières, le week-end je démonte des chaudes-ass
• Les stars se font toujours désirer, mais là c'est abusé
• Peccadille (petit péché, faute légère) ; Freebook ; Book-In ou Bouc-In
• La vie n'est que la répétition du même jour, le plus long, encore et « toujours », le mois, les années
• Une vraie tanche : tu galères à la ferrer, à la mouliner, à la remonter dans ton panier, et ce n'est même pas bon à bouffer
• Un point de chute ... de reins
• On joue au docteur, au gynéco même
• Tu viens, on monte que je te démonte
• On verra bien ce que ça va donner ! Beh c'est tout vu, je vais tout lui donner, lui mettre la fièvre, pendant des heures !
• Je te griffe, te dégrafe et t'agrafe à mon tableau de chasse gardée
• Elle, tant que je me le tape, le reste je m'en tape
• Y a contact, faut que je la plaque au sol, que je transforme l'essai en lui mettant entre les perches
• Un beau coin à bons coups et culs
• On fait trempette ? Je suis déjà toute mouillée, fais moi le saut de l'ange ... sans plat au contact de l'O
• Le magicien (de la) dose
• Si je lui grimpe dessus, ce n'est pas pour dévisser au milieu du couloir d'ascension, c'est pour lui monter le Mont de Vénus culminant au 7è ciel
• Moulée à la lèche
• Le penseur du rondin
• Un coup pour rien, un tir à blanc : un coup de semonce, sans semence
• Songe d'une nuit d'orage d'été : ça tonne, ça tombe drue, c'est moite ; ça ne dure pas longtemps mais ça rafraichit
• Un cercle d'intimes qui s'enfilent en boucle intime
• Charlotte, suce ma fraise, la chantilly arrive
• On met la barre de traction sur ma boule de camping et je te tire/tracte
• T'es où là ? Je suis avec toi, en toi
• Règles : les roastbeefs débarquent
• Le sang des règles sent la mort (chiens pisteurs de cadavres sont perturbés)
• Quand la rivière est en sang, emprunte le gué boueux
• J'expire in love
• Je te remets un coup, derrière le gosier ? Oki, tu payes, ton coup, ton cul ???
• Tu tremperas bien tes lèvres sur ma croupe à champagne
• Si tu me fais tes yeux de bitch (chienne, garce qui râle, peau de vache ... à lait) alors que t'es dans mon viseur, dans ma ligne de mire, je te tire
• Tu descends ça goulûment, ça siphonne dans le gosier ! Normal, quand le vagin est tiré, il faut en boire la cyprine à grosse rasade, qu'on boit sans soif
• Faut pas mélanger les crayons et les fourchettes
• Tyrannosaure Sex ; greluche (féminisation de greluchon : Jeune fille, jeune femme aux mœurs légères ou sotte)
• Houba-obab, queue du bonheur en bouche
• Un pour toutes, tous pour un coup
• Cette poulette a des cuisses qui donnent des ailes
• Après un petit coup à boire, un grand coup à déboires
• Le regard de braise qui brise la glace
• J'ai besoin qu'on m'oriente : j'avais trouvé le Nord grâce à elle, mais elle m'a déboussolé, je suis à l'Ouest
• Ne la laisse pas tomber, c'est une femme libérée ... (Cookie Dingler)
• Si un jour t'avais une pensée intelligente, elle mourrait de solitude
• L'important est de savoir où on va plutôt que de savoir d'où on vient
• Alcool rustique des rustres
• Réussite glorieuse ou défaite piteuse, victoire éclatante ou échec cuisant
• Ne pleure pas celle que tu as perdue, réjouis-toi de l'avoir connue
• Une pouliche de manège qu'on fait tourner en bourrique, en rond, à la longe, car tout le monde lui est passé dessus
• On fait un deal : je passe à la caisse, tu passes à la casserole
• Oh, repos Miss ! C'est toi qui a commencé en étant au garde à vous, raide dans ta capote : baisse ta garde
• Ton côté gosse-beau, chaud des lolos, ne me donne pas l'eau à la bouche : peu me chaut ! (Peu m'importe : défectif de chaloir, du latin calere, « être chaud, désirer »).
• L'Amour a un prix, mais pas n'importe lequel
• Pourquoi parler si tu ne veux pas écouter ce que j'ai à dire ?
• Certains préfèrent une escalope avec une salade. Moi, j'opterais pour une escapade avec une salope.
• La main sur le berceau est celle qui gère le monde
• Tu me fais rire, voyons si tu me fais jouir aussi.
• Pipe du matin repos du vagin, sodomie du soir repos de la mâchoire.
• J'ai l'impression qu'on s'est déjà vu ! Si c'était el cas, je ne t'aurai pas laissé qu'une simple impression
• Elle me met son O à la bouche
• Je crois que je n'y crois plus
• Pas mal comme souvenir mais rien en avenir
• Arrête de te faire des illusions, sinon ce sera les désillusions
• Je comprends que c'est dur pour quelqu'un comme toi de perdre quelqu'une comme moi, mais c'est comme ça
• Je suis déjà pris, mais dis toujours ton prix
• Je lui mets ma friandise dans le Flambys, tu tires la languette, pour démouler c'est plus rigolo/facile, puis tu lui manges le caramel en gobant le flanc
• Je reprends du poil en la reprenant dessus
• Éjaculation prématurée=syndrome di Canadair : tu te charges à bloc, tu lâches tout sur le feu et tu te barres
• Tu vois les géraniums mais t'as pas le temps de dérouler le tuyau avant d'arroser tout partout car trop de pression, le robinet pas bien tenu en main
• Elle a les seins comme les fesses, bien fermes
• Une pieuvre qui tente l'encule, toi t'es pris en étau, enserré entre 1 m de membre/jambe
• Je la préfère nature (pas comme le thon, comme le yaourt) : fraîche, un peu acide, onctueuse, et quand tu saupoudres de sucre, ça coule en gorge tel un nectar dont elle n'est pas avare
• Giacomo Gigolo : pour fixer les prix, je fais le temps de la course fois l'espace de ma matière rose pour payer au poids & taille (quantité) et qualité de la saucisse
• Je suis en toi, reste avec moi
• Durite : lustrer la bougie
• Je lui lâche le furet dans le terrier
• Alors qu'elle est bonne, lui is not good
• Un je ne sais quoi qui fait qu'elle ne ressemblait pas à je ne sais qui
• Cette chaudasse ne me lèche pas de glace, enfin si, pilée, c'est chaud-froid de crème glacée
• Sexe à toute heure, santé bonheur
• La life ne ramènera pas celle qui m'a fait partir en live
• J'adore quand tu me fais tes yeux de bitch
• Ta place n'est pas à mes côtés, mais sur moi
• Ne dis rien, laisse tout faire
• Dans le secret des alcôves, là où les corps/cœurs se lovent tout en love and beat-itude
• Si x n'est pas là, c'est Y qui le/la remplacera. Et now, on attaque avec Z
• Appuie sur le frein pour que le liquide sorte par pompage
• Ça m'a fait plaisir de te faire plaisir
• Le présent tourne à l'envers pendant que le futur file droit : il faut mettre les pendules à l'heure
• J'ai envie de te faire l'amour comme on ne t'a jamais baisé
• Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume d'Orange)
• Le cœur est le muscle de l'amour, là où les sentiments sont digérés pour que les ressentiments soient éjectés
• Le verrou et la porte n'étaient pas bien fermés, mais je m'excuse quand même de m'être introduis par effraction dans ton fion
• Partout où je bosse je suis entouré de couilles ; j'ai besoin d'une touche féminine
• Viens par ici que je prenne mon avance sur recette
• J'ai oublié tant de journées de tristesse, mais aucune soirée et matinée de tendresse
• Être à tu et à toi avec X
• Gide : l'art vit des contraintes et meurt des libertés
• Pouvoir de tout donner Vs vouloir de ne rien offrir
• Pour une fois que je tombe amoureux, je suis tombé de haut
• Tu sais ce que j'aime chez toi ? Non ! Beh tu sais quoi, moi non plus !
• Re-skieuse : à la queue comme tout le monde pour prendre le tire-fesses
• Donne-moi ta main, tu prendras ton pied
• DrapCul : le suceur de sang à Ca(t)rpattes
• Être couilles à couilles
• On fait crac-crac au pique-nique si tu croques pas trop fort dans mon craquinette fourrée noisette
• Elle est friande de ma fessée, fraîche, ferme

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