Je passe en coup de vent

Tu m’excuseras s’il n’y a pas eu pléthore de billets ces derniers temps, mais j’ai eu une fin de semaine excessivement agitée avec

de l’émotion (le moment où je suis partie pour l’hôpital à l’autre bout de la capitale)

de l’action (le moment où j’ai fermement refusé qu’on m’enfonce un tube par la narine jusque dans la gorge sans anesthésie et ce 3 jours de suite)

de l’action bis (le moment où j’ai vécu l’enfer de la fibroscopie)

du suspens (le verdict: pas avant lundi, mais a priori rien de grave)

de l’émotion (le moment où j’ai eu le droit de sortir de l’hôpital et où j’ai foncé dans le tégévé pour aller chercher la Pépette).

Prochainement, je te raconterai l’histoire de ce roi comment je souffle 3 fois par jour dans une paille pour faire des bulles dans l’eau et aussi dans un tuyau pour faire monter des boules.

En attendant, débouche le pepsi, j’ai la joie d’accueuillir le premier anglophone parmi les blogueurs non-influent.