L'infirmière et la maieutique opposée au savoir dictactique des medecins
Je tiens à parler du savoir que developpe l'infirmière, car devant chaque situation nouvelle de soins, elle s 'adapte, en permanance aux besoins du patient.Elle possede un savoir dictactique donné par l'école,mais en même temps per le biais des DSI, elle doit poser des objectifs raisonnables, quantifiables pour le bien-être du patient. C'est son rôle propre. Devant la réussite ou l'absence de réussite, elle va de nouveau adapté son DSI.Elle accouche alors d'un savoir, qui l'enrichit et qui à l'avenir lui servira beaucoup.Elle n'a que sa propre pratique apprise au cours des stages, pour s'y retrouver. Et c'est là que l'infirmière devient dans toutes les formes d'exercice de cette profession, le PIVOT CENTRAL DE LA SANTE, BIEN PEU ECOUTEE.
Que veut une medecin pendant la visite, il mange, il boit, il va à la selle, qu'elle est sa temperature, sa rension? Quant au reste, la souffrance du patient que l'infirmièrea en tendu, n'est pas prise en compte sous le pretexte fallacieux, flux tendu, on a pas le temps, il y en en d'autres à hospitaliser.
Elle ne peut que rapidement se trouver isolée, écouerée et quitte le métier, face à cet immense savoir dictactique qu'on les medecins. C'est pour cela qu'il se sentent agressés, et deviennent agresseurs.
Le medecin du haut de ces 8 ou 10 ans d'études voire plus, ne peut supporter cette approche.
Ils ont la « tête » farcie d'un savoir, mais ne savent pas le faire évoluer.
La communication est rompue et si à l'avenir, on peut se debarrasser des infirmières on le fera.
Une infirmière n'est pas là pour penser, elle est l'executante du medecin, son petit soldat; Celle qui doit dire oui avec toujours le sourire;
Je ne me retrouve plus dans ce métier, et j'aimerai que l'on puisse en débattre.J'éspere que cet article fera reagir tout les medecins qui doivent se reconnaître dans cette définition.
Cordialement
GRENDA