Magazine Humeur

Notations de carnet de conversations 14

Publié le 15 septembre 2009 par Collectif Des 12 Singes
  • Quand on plonge son regard dans l’abîme, il plonge en nous
  • L’esprit sait se faire peur quand il le veut
  • l’art c’est comprendre sans savoir
  • l’art domine l’argent, sinon c’est de la pub, de la communication, voire de la propagande
  • Un rêve sans étoiles est un rêve oublié. [Paul Eluard]
  • Le cœur n'a pas de maître, il n'est pas un esclave, et de toute contrainte il sait briser l'entrave. Adam Mickiewicz
  • Ne remet pas à demain ce que tu peux faire après-demain
  • Le sens de la vie c’est qu’elle se finit, et pas sans séquelle
  • La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible (Woody Allen)
  • toucher avec les doigts ce qu'on dévore des yeux
  • en chair et en noce
  • entre animaux et bêtes furieuses, on se comprend et s’entend
  • j’aime mon amie (bel anal-gramme)
  •  « L’esprit n’est qu’un jouet pour le corps » disait Nietzsche.
  • Il a touché le fond mais il creuse encore
  • Pour être heureux en vivant dans le monde, il y a des côtés de son âme qu'il faut entièrement paralyser. Chamfort (Sébastien Roch Nicolas, dit Nicolas de)
  • "En politique, ce qu'il ya de plus difficile à apprécier et à comprendre, c'est ce qui se passe sous nos yeux." Alexis de Tocqueville, 1835
  • Beaucoup de suicides ne sont dus qu'à une minute de lucidité. [Marcel Jouhandeau]
  • Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue. [Albert Einstein]
  • «Mieux vaut encore subir l'injure que la commettre.» [ Socrate ]
  • «Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux ; et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l’homme.»[ Socrate ]
  • «Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l’autorité et n’ont aucun respect pour l’âge. À notre époque, les enfants sont des tyrans.»
    [ Socrate ]
  • Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l'homme, mais pas assez pour assouvir son avidité. [Gandhi]
  • Chaque chose à sa place (et en son temps), une place (et un temps) pour chaque chose
  • Beh pourquoi ? Bah, pourquoi pas ???
  • On utilise 110% de son cœur et seulement 10% de son cerveau quand on aime
  • Lucy bipède vers -3,2 millions d’années, adolescent du Turkana de -1,5 millions d’années (Nariokotome Boy) avait déjà une silhouette identique à la nôtre, beaucoup moins velue que les autres singes ; IDA, notre ancêtre commun à tous les primates (avec et sans queue), avait le talus, os du pied caractéristique des primates (il n’y a pas de paturon, le talus est un petit os que l'on rencontre sous la base du tibia, juste au-dessus de l'os calcis, vers la partie postérieure du pied)
  • Les ours, mêmes les grands mâles, sont naturellement tolérants envers les humains
  • La dette est l’anesthésie qui provoque l’euthanasie
  • mange des dattes et avale les jours, avant de chier une pendule d’heures
  • Il y a des jours avec et tellement de jours sans ...
  • Des jours vides... qui nous vident.
  • Nous devons assumer toute notre vie la non-responsabilité de l’acte sexuel de nos parents qui nous a engendré, et supporter le hasard qui a fait que ce soit tel spermatozoïde sur des millions qui a rencontré tel ovule, que le rapport fécondant ait eu lieu ce mois-là, que le corps maternel n’ait pas éliminé notre corps étranger dans la matrice.
  • La seule chose fausse ici c’est toi
  • être plus radical que la réalité ne l’est déjà
  • Descendre dans les abysses, toucher le fond, sans se noyer alors que touché et coulé
  • Jeter en pâture aux lions
  • L’opposé du pire n’est pas forcément le meilleur
  • Être rosse avec : (une rosse : Cheval sans force, sans vigueur) : être dur, méchant avec quelqu’un
  • Vie délurée (de déleurré, proprement « qui ne se laisse plus prendre au leurre » : Qui a l'esprit éveillé et libéré de tous préjugés) pleine de délires
  • Le chagrin est le plus puissant aphrodisiaque
  • J’ai un coup de chaud face à cette tiédasse qui essaye de refroidir mes ardeurs (Chaleur très vive. L'ardeur du feu : Vivacité ou vigueur que l'on apporte à faire quelque chose ; Passion amoureuse, désir ; Anges occupant un certain rang dans la hiérarchie céleste)
  • Tu veux quoi ? Toi !
  • C’est le pompon (C'est un comble, mais aussi ça m'épate, à ne pas confondre avec "avoir le pompon" c'est-à-dire être saoul sans pour autant être complètement bourré ou dans un coma éthylique, mais simplement être gai comme on disait dans le temps jadis. A propos, il parait que toucher le pompon d'un marin porte bonheur ?, à signaler qu'avoir le pompon, c'est aussi avoir de la chance au jeu par exemple, avoir la baraka), aux petits oignons (Avec beaucoup de soins et/ou d'attention : traiter un plat avec soin que de l'accommoder et le mitonner finement avec ces petits oignons de primeur, aussi onctueux que succulents)
  • Dromomane [du grec dromos : fuir, se déplacer et le morphème -mane (habitude, manie)] : Jean-Jacques Rousseau était dromomane, c'est-à-dire toujours prêt à marcher, à aller ailleurs, à fuir aussi puisque il n'hésita pas à abandonner ses mômes
  • Guindé : Qui a l’air contraint, qui veut paraître toujours grave.
  • Tantinet : un petit peu de
  • Peu ou prou (Plus ou moins) : Ni peu ni prou. Ni peu ni beaucoup, en aucune manière
  • Salmigondis (Croisement de salemine, lui-même provenant de sel, et de condir (« assaisonner ») : Repas festif où chacun des convives apporte un plat ou une partie du repas. Conversation, discours ou écrit où sont mêlées confusément toutes sortes de choses disparates. Personnes réunies au hasard.
  • Nervi (Du provençal nervi (« nerf, tendon », puis « force, vigueur »). : Au XIXe siècle, d'abord au sens de « portefaix » (1. Personne chargée de débarquer les marchandises des bateaux ; 2. estrémaduran Homme brutal et grossier), dans l'argot marseillais ; Homme de main, individu qui exerce des violences, exécute de basses besognes pour le compte d'autrui.
  • Abjecte (rejeter) : abaissement qui attire le mépris de tous.
  • Vieille rombière : Déformation phonétique du mot rambière, terme du jargon de marine désignant autrefois la figure de proue (sirène, déesse, etc.) des grands navires du temps de la Marine à voile, d'où les premières utilisations du mot dans la raillerie ... Vieille rambière ! (Familier) Femme d'âge mûr, bonne vivante et prétentieuse (un rombier est en Arg. milit. Un soldat, homme de troupe)
  • Viens que je te réveille, belle au bois dormant
  • le prince charmant et les princesses n'existent pas, c'est une fable pour faire croire aux petites filles qu'elles ne feront pas la vaisselle !!!
  • Un temps pour planter, un éclair pour s’arracher
  • Quand c’est parti, il faut aller jusqu’au bout
  • Une fois qu’on y a goûté, qu’on a posé ses lèvres dessus, il est déjà trop tard
  • L’action, le sexe, est en moi : j’ai une dépendance à vie pour le vice, que j’ai dans la peau
  • Les hommes veulent avoir la virginité, mais moi je suis loin de l’avoir encore
  • moucher la chandelle c'est souffler la bougie du désir, éteindre ce désir : "se masturber" (pour un homme)
  • tu m’as trop chauffé, j’étouffe de chaud dans ta touffe
  • cochonou coquinou, le bon saucisson comme on l'aime chez nous, pas mou du bout, qu’on mange même avec la peau
  • En s’unissant, qui plus est à l’unisson, les être font un voyage horizontal à deux
  • Curé d’Uruffe en 1956 et ses bâtards de l’église : Prêtre actif et plutôt apprécié de ses paroissiens, il s'illustre notamment en montant avec les jeunes garçons du coin une équipe de football. Mais parallèlement, Guy Desnoyers a des relations avec plusieurs femmes de la région et, en 1953, conçoit un enfant avec une adolescente âgée de quinze ans, Michèle L. Il persuade Michèle d'accoucher clandestinement et d'abandonner son enfant. En 1956, il a une relation avec Régine Fays, jeune fille d'Uruffe, âgée de 19 ans, séduite au cours de l'activité théâtrale qu'il avait créée, et qui tombe également enceinte. Desnoyers persuade le père de Régine que l'amant de Régine est un jeune homme du cru, parti pour la Guerre d'Algérie. Régine promet de garder le secret de la paternité de l'enfant mais refuse d'accoucher clandestinement. Le 3 décembre 1956, peu avant la date prévue pour l'accouchement, Guy Desnoyers prend peur et, sur une route, tire une balle dans la tête de sa jeune maîtresse. Après avoir tué Régine, il l'éventre pour pratiquer une césarienne et sortir l'enfant, de sexe féminin, qu’elle portait. Après avoir baptisé, puis tué le bébé, le curé lui taillade le visage afin de se prémunir contre une éventuelle ressemblance. Il organise le lendemain les recherches pour retrouver Régine mais, le 5 décembre, il finit par avouer son crime. Le 26 janvier 1958, il est condamné, par la Cour d'assises de Nancy, aux travaux forcés à perpétuité. Il est libéré en août 1978.
  • Le célibat des prêtres fut instauré après le 8è/9è siècle en Occident uniquement, pour faire en sorte que leur héritage revienne à l’église et pas à des enfants
  • Si je suis torride c’est pour combler ma peur du vide et des rides
  • Infusion de clous de girofle pour pimenter la soirée (et pour avoir meilleure haleine) : excitant, et un tonique utérin utilisé pendant l'accouchement. Fabriquer des diablotins appelés aussi pastilles aphrodisiaques de Naples. Il vous faut : 500 parties de sucre, 12 de mastic, 8 de safran, 1 de musc, 2 de gingembre, 2 de girofle, 4 d'ambre gris, et une quantité suffisante d'infusé de marum. Faites en des pastilles de 0,50 à 1 g, et prenez-en 4 à 5 fois par jour.
  • Drogues douces, bite dure ; drogues dures, bite molle
  • Soirée restera gravée dans les annales de ces dames
  • jouer des flûtes : s'enfuir rapidement (flûtes sont des jambes maigres)
  • jouer la fille de l'air : synonyme de fuir, s'esquiver, en souvenir de la Fille de l'Air, féerie en trois actes de MM.. Gogniard frères et Raymond, jouée aux Folies-Dramatiques le 3 août 1837. Une loi fatale, inscrite au livre des Destins, veut que la fille du roi des génies, parvenue à l'âge adulte, descende sur la terre pour y passer une année d'épreuve. Ce temps expiré, elle doit retourner dans le royaume des airs, à moins qu'un mortel n'ait su s'emparer de son cœur. Dans la féerie de MM. Cogniard, la jeune Azurine, pour s'être montrée trop sensible aux soupirs d'un villageois nommé Rutland, voit ses ailes tomber et est condamnée à achever sa vie sur la terre. Il peut paraître singulier qu'on ait dit « jouer la fille de l'air » par allusion à l'héroïne qui fait exactement le contraire de ce que ces mots expriment. Mais il faut admettre, si cette origine est réelle, que le public a été surtout frappé de la particularité qui caractérise le sort des filles de l'air. Et l'on rencontre plus d'un cas de ce genre dans l'histoire des expressions proverbiales. Il faut ajouter aussi que, le 21 décembre suivant, les Folies-Dramatiques donnaient un vaudeville de MM. Honoré et Michel Delaporte, intitulé la Fille de l'air dans son ménage, sorte d'épilogue de la féerie. La pauvre Azurine y faisait fort mauvais ménage avec Rutland, et, grâce à un talisman retrouvé par son compagnon aérien Aquilonnet, finissait par remonter au ciel, ce qui, cette fois, pouvait servir de justification au proverbe.
  • Bordel de Bordeaux (même origine) : les prostituées étaient à la fois exclues, vouées à l'errance surveillée et à la clandestinité, et parfaitement insérées dans l'économie générale de la sexualité et des échanges (Moyen Âge, VIIè siècle), autant comme une ressource pour les cités que pour l'accompagnement obligé des cours et des armées. Cette contradiction essentielle qui les définit a été en quelque sorte traduite dans l'espace avec les projets de cantonnements de leurs activités sur les bords de la ville (d’où le terme de bordel) et dans des quartiers réservés !
  • au bord d'elle je me suis allongé
  • "nous n'irons plus aux bois, les lauriers tcetera, hé bé ça vient de là... Plus de putes au bois, ni en bord'eau ! Rouvrons les maisons closes !
  • "Avant d'être aimé pas les autres il faut s'aimer soi-même. " [Tunisiano]
  • En se conformant à la coutume on passera toujours pour un honnête homme. On appelle gens de bien ceux qui font comme les autres. [Anatole France]
  • "La chance ne favorise que les esprits préparés." (Louis Pasteur)
  • Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a...
  • Grasseyer (grasseyant) : parler gras, prononcer de la gorge
  • Les filles mouillent sans même me toucher ou que je les touche, c’est fou comme je suis un trempeur du maillot en V
  • La chatte chaste est ouverte
  • Sésame ouvre-toi ; César lève-toi, Pompée redresse-toi !
  • Cette BCBG me jette un regard genre salope polie
  • Baise-en-ville : Petit nécessaire de voyage (sac, petite valise) qui contient ce qu'il faut pour passer la nuit hors de chez soi (donc strict nécessaire pour une petite virée hors du champ matrimonial)
  • « suivez-moi-jeune-homme » : nom qu’on donne aux longs rubans de certains chapeaux de femme qui flottent sur la nuque, romanesque à souhait…suivez la guide…
  • Un cinq à sept (en pipotant un truc, cinq heures on peut partir plus tôt du boulot, sept heures on peut arriver plus tard à la maison : ça laisse deux heures de marge pour se faire Marge)
  • Mariés 20 ans, fidèles 2 ans
  • Sucer les mamelles du pouvoir, juste pour voir
  • Je la colle et la marque à la culotte avant de la plaquer au sol
  • Je veux l’avoir à la régulière
  • Avoir ses orifices sans artifice
  • Un jouisseur, une terreur, nocturne
  • Je suis fan, Morgane de toi
  • Recharger les batteries pour remettre le compteur à 0
  • Je crois que je t’aime ! Cache ta joie !!!
  • Amourette, pas grand Amour
  • Ravissant ravisseur de mon cœur
  • On va être super heureux ensemble ! Pardon ? Je t’aime !!! Oups, boulette !
  • Dulcinée : Femme inspirant une passion romanesque sur laquelle on plaisante, par allusion à la dame des pensées de Don Quichotte (Dulcinée du Toboso)
  • Égérie [nymphe par qui le roi romain Numa Pompilius (deuxième roi légendaire de Rome (-715, -673), après la disparition de Romulus, le fondateur de Rome, et un interrègne de plus d'un an, les Romains appelèrent au pouvoir le gendre du roi Titus Tatius, un Sabin réputé pour ses vertus : Numa Pompilius. Ce faisant, ils se dotaient d'un roi qui serait loyal aux deux tribus qui habitaient maintenant Rome ; fondateur du temple de Vesta et de ses Vestales, vierges au feu du foyer du temple et de la maison) se prétendait inspiré lorsqu'il mit en place les institutions religieuses romaines. Pour l'historien Tite-Live, « ce stratagème est une tromperie pure et simple destinée à impressionner un peuple fruste et crédule ». Égérie, camène (nymphe : En leur qualité de prophétesses et de magiciennes, les nymphes pouvaient être doublement utiles lors des accouchements. On leur demandait de hâter la délivrance par leurs charmes et de fixer par leur science divinatoire la destinée de l'enfant. Les Camènes ont laissé ce rôle à Carmenta ou Carmentis, et à leur compagne Égérie ; Hyménée (dieu du mariage) était fils d'une Camène, on ne pouvait penser aux compagnes d'Égérie mais fils d’une Muse, camènes latines et muses grecques étant assimilées) révérée des Romains comme déesse des sources, habitait le bois d'Aricie, voisin de Rome. Numa Pompilius s'enfonçait dans ce bois sous prétexte de consulter cette nymphe, afin de donner à ses desseins l'autorité de la religion. Selon Ovide, Égérie était une jeune femme que Numa épousa, et avec laquelle il partagea les soins du gouvernement] : Femme qui est l’inspiratrice d’un homme politique, d’un littérateur, etc ; (Publicité) (Relation publique) Personne représentative (expert, célébrité, leader d’opinion, consommateur type) dont l’image et le témoignage est associé à une cause ou à un produit pour en renforcer sa crédibilité.
  • petit canaillou : Enfant facétieux, coquin, espiègle, malicieux
  • Gnian-gnian : personne qui craint de faire ou de dire quelque chose, personne molle, sans énergie, agissant avec peine et se plaignant toujours
  • Faire des frasques avec son froc : (frasques : Action extravagante, imprévue, soudain écart de conduite)
  • Flirt (Fleureter) : Relations affectives entre personnes de sexe opposé, dénuées de sentiment profond et pouvant servir, mais pas nécessairement, de prélude à l'amour ou aux relations sexuelles. Avoir un flirt; être en flirt avec qqn. Faire la cour sans but précis. Empr. à l'angl. to flirt (d'orig. onomatopéique) attesté dep. le XVIe s. au sens de « jeter brusquement; voleter, folâtrer; passer rapidement d'un objet à un autre, avec inconstance » (v. NED); p. ext. de cette dernière acception, to flirt a pris au XVIIIe s. le sens spéc. de « entretenir des relations de coquetterie; badiner; faire la cour » (ibid.).
  • conter fleurette [prénom d’une jeune fille rencontré par Henri IV lors d’un tournoi de tir à l’arc : à court de cible d’orange, le duc de Guise se saisit d’une rose qui brillait au sein d’une des jeunes filles qui assistait au spectacle, et la met en lieu et place de l’orange manquante. Le duc tire le premier, rate la fleur, mais la flèche d’Henri, qui lui succède, atteint son but. Henriot se saisit alors galamment de la fleur par la flèche qui lui sert de tige, et court la rendre à la jolie villageoise, sans la détacher : c’est le coup de foudre ! {dérivé par la suite en anglais sous le mot de flirt}] : Aspect platonique de l'amour mêlé de sentimentalité et de mièvrerie, tenir des propos galants à une femme
  • Garçonnière : petit logement loué par un homme qui le destine à des rendez-vous galants
  • Graveleux (mots hardis, les gauloiseries, les allusions graveleuses) : Qui est d'un caractère licencieux, proche de l'obscénité (de gravier, gravelle : # Affection caractérisée par la formation dans les reins ou dans l’urine de concrétions plus ou moins grosses, analogues à de petites pierres ; # Lie de vin passée ; # Marc séparé de la lie du vinaigre).
  • Déniaiser (du lat. *nidax, -acis, dér. de nidus «nid», proprement «pris au nid (en parlant du faucon)» : CHASSE. [En parlant d'un rapace, en partic. d'un faucon] Qui est encore au nid, qui ne sait pas voler ; Qui est sans expérience, qui est sot) : Faire perdre à quelqu'un son innocence dans les choses de l'amour, Faire perdre sa virginité à un jeune homme ou à une jeune fille.
  • Inverti (Renversé symétriquement) : Personne qui est attirée par une personne de son sexe

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