Magazine Humeur

Notations de carnet de conversations 15

Publié le 23 septembre 2009 par Collectif Des 12 Singes
  • En vivant des deux côtés de la barrière l’herbe est toujours verte
  • La passion outrepasse la raison
  • L’amour c’est comme les drogues : après en avoir trop abusé et/ou en avoir été déçu, on se dit plus jamais … et on recommence à consommer à la première occasion en disant que cette fois-ci ce n’est pas pareil, qu’on a appris de ses erreurs/excès
  • Vivre par, pour, dans la drogue (ça marche aussi avec l’amour)
  • Doutez, si vous voulez, de celui qui vous aime, D'une femme ou d'un chien, mais non de l'amour même. [Alfred de Musset]
  • Un artiste, comme un amoureux, ne peut être rassuré sur ses doutes que par le regard de l’autre
  • Les livres restent papier, les auteurs passent au numérique
  • C’est pas tout ça mais c’est déjà ça, c’est pas rien et ça fait du bien
  • je bosse pour ma gueule par le biais d'un travail pour les autres : c'est ça le Collectivisme (ce que n'ont jamais compris les affreux cocos, voulant à tout prix croire que l'humain est philanthrope par nature, qu'il est près à tout pour les autres)
  • Ça sert à (tout un) chacun, ça sert à tout le monde
  • Militant de la juste cause, la mienne
  • Rien n’est éternel, même pas la pierre : massive montagne fixe deviendra minuscule grain de sable mobile par le simple fait du vent invisible, ce n’est qu’une question de temps, le seul élément immortel/immuable
  • suicide ou déprime, j'ai choisi la dépression c'est moins morbide
  • À chaque anniversaire on se rapproche un peu plus de la mort !
  • Si Alice déconne, je reste connecté grâce à mon tel et garde ainsi une vie cyber-sociale
  • ça donne du "beau mot cœur"
  • l'amitié multiplie les joies et divise les peines !
  • La rancune, voila bien une des ennemies de la Paix.
  • À question simple réponse compliquée
  • J’aime pas le côté intello tête d'ampoule à la Malcolm, je suis pas comme ça, j'aime pas trop briller (ds le sens me la jouer) en société mais si je peux apporter mes lumières je le fais avec plais'
  • Le secret du bonheur en amour, ce n'est pas d'être aveugle mais de savoir fermer les yeux quand il le faut." [Simone Signoret]
  • Il y a dans la jalousie plus d'amour-propre que d'amour.La Rochefoucauld
  • On gagne sa vie avec ce que l'on reçoit, mais on la bâtit avec ce que l'on donne. Winston CHURCHILL
  • trop jeune pour être vieux
  • Va t'en, cours et ne revient plus
  • Rire sardonique (spéciale dédicace à Edith du Dico des gros mots cachés dans les mots) : qui désigne une sorte de rire qui donne au visage une expression de moquerie acerbe et qui se traduit par une contraction dans les muscles du visage.
  • je te jure et t'en conjure, que là, t'es pas sorti de l'auberge … et comme on n'y est pas encore rentré dans l'auberge
  • je m'évade dans l'écriture pas la lecture (ou sinon avec le son, en fermant les yeux, ou avec les docus ou films ou pièces de théâtre en ouvrant grand les mirettes)
  • j'adore cette heure là ! Les fêtards, sont couchés et les lève-tôt sont pas levés...)
  • Y a un grand silence qui brille sous la lune !
  • conscient des coïncidences qui l'entourent
  • fini le n'importe quoi, je n'aimerai plus que moi
  • Comme Wahrol : profondément superficiel !
  • pas le temps de perdre du temps sur des malentendus !
  • moi parano ? non pas du tout, mais y a complot je le sais !!!!
  • Bonne soirée zen (moi aussi zen beaucoup)
  • Les bruits sont angoissants, le silence est suspect
  • La route se construit par celui qui y chemine
  • Seul le vainqueur ne croit pas au hasard
  • Vous pouvez vous désoler que les roses aient des épines mais vous pouvez aussi vous réjouir que les épines aient des roses ! Tom Wilson
  • Il y a autant de vrais Français de pure souche que d’Américains en Amérique, et c’est ironique !
  • Entre le rêve et la rivalité
  • L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.
  • Je vous en prie, je vous en prends dix à la douzaine (à la douzaine : commun, de peu de considération)
  • Je ne suis pas né avec une cuillère en argent dans la bouche (ou une poire à lavement dorée dans le cul selon South Park) : Si les cuillères ont d'abord été en bois [d'ailleurs, 'spoon' (cuillère en anglais) est une déformation de 'spon' (autre forme de 'span') qui désignait un copeau de bois, la cuillère étant taillée dans un gros éclat de bois], elles ont ensuite été principalement fabriquées en étain. Mais, dans les familles riches, il était de tradition que le parrain offre à son filleul une cuillère en argent au moment de son baptême, ce métal étant bien sûr une matière beaucoup plus noble et chère que l'étain.
    Cet objet était donc un symbole prouvant à la fois que le bébé était né dans une famille très aisée et qu'il n'aurait donc probablement pas de soucis financiers dans le futur.
  • C’est couru d’avance, mais pas comme le lièvre et la tortue
  • l'avenir appartient aux lèves tôt, le jouir appartient aux couches tard
  • de l’ombre à la lumière, des néons au néant
  • Ataraxie (du grec ancien ataraxía, « absence de troubles ») : (Philosophie ancienne) État du sage affranchi de toute émotion, de toute passion, ou bien sans troubles de l’âme, étranger aux préoccupations extérieures ; (Neurologie, psychiatrie psychologie) Calme d'esprit. État d'une personne qui ne se laisse troubler par rien. État d'indifférence émotionnelle.
  • Le vent passe et détruit sans laisser de trace si ce n’est qu’une bise légère qui brise les derniers fétus de paille
  • Où va le vent, nul ne le sait
  • Je ferai n’importe quoi n’importe quand n’importe comment avec n’importe qui, tout un programme quoi !
  • Arrête d’être gentille, c’est insupportable
  • Pas friendship (amitié) mais friend shit (merde d’ami)
  • On découvrira peut-être le sens de notre vie à notre mort
  • Quelques choses doivent changer pour que beaucoup restent pareilles
  • Naviguer à vue, chanter à tue-tête (vers 1150, si "tuer" signifiait bien "occire quelqu'un", comme maintenant, "soi tuer" voulait simplement dire "s'évanouir". Au moment où cette expression est apparue, 'tuer' avait aussi le sens de 'frapper', la plupart du temps à la tête ; et, par extension, il voulait aussi dire 'fatiguer' ou 'exténuer'. Et là, on comprend bien qu'une personne qui chante trop fort à proximité fatigue)
  • C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière. [Edmond Rostand]
  • tu as raison de te lancer des fleurs parce que si c’est un autre qui te jette des fleurs ce sont des roses mais sans les pétales
  • J’ai pas d’ordre à recevoir ! Je m’en fous : je t’en donne, tu obéis, c’est simple
  • Soldatesque pour les sots, commandement pour les nobles
  • quand je bosse, ça bosse fort comme un Turc (d'ailleurs turc veut dire fort en turc)
  • Vieux caciques (de cacichi « chefs, rois, chez certains indigènes d'Amérique ») : désigne les élèves reçus premiers au concours de l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm. Le cacique des Lettres se voyait décerner une mention spéciale l’appelant à représenter sa promotion. Aujourd'hui, ce jeune homme ou cette jeune femme n’a le plaisir que de pouvoir contempler le reste de sa promotion en pensant : "de ces têtes, je suis la plus grosse…"
  • truculent : Qui est violent, excessif, haut en couleur.
  • foire d'empoigne : Conflit où chacun défend ses intérêts, Lieu de luttes, de rivalités où l'on essaie par tous les moyens d'obtenir ce que l'on désire
  • tailler des croupières : la croupière est une longe qui est reliée à la selle d'un cheval, qui passe sur sa croupe (d'où le nom), puis sous sa queue et qui est destinée à empêcher la selle de remonter vers le garrot. Au XVIIe siècle, à une époque où les blindés n'existaient pas encore et où le cheval était le seul 'véhicule' de combat, tailler des croupières, c'était "combattre rudement" et "mettre en fuite", par allusion aux cavaliers qui galopaient à la suite et suffisamment près des ennemis en fuite pour, de coups d'épée ou de lance, couper leurs croupières et, ainsi, les déstabiliser et provoquer leur chute. C'est des difficultés ainsi occasionnées à l'ennemi que, par extension, l'expression à pris son sens actuel.
  • Faire des ronds de jambe : Datant du XXe siècle, cette expression signifie qu'une personne se montre excessivement polie, dans le but de plaire à quelqu'un. Il s'agit d'une référence au "rond de jambe" qui est une figure de danse rappelant les révérences.
  • Yeux aimés, regard aimant qui attire
  • Avant toi je n’aimais que moi, après toi je n’aimerai que toi
  • Tu es vraiment sincère ou juste sincère ça sert ?
  • Dis-moi que tu m’aimes, d’abord ! Je t’aime d’abord
  • Je ne peux pas, ne veux pas, ne vais pas le faire
  • Quand on a dit oui on ne peut plus dire non
  • Les émotions ça m’épuise
  • Ta peur me fait peur
  • Dit ça à un unijambiste, ça lui fera une belle jambe en bois
  • Elle n’était pas la meilleure, juste la seule
  • jobard [Dérivé de job, jobe (« niais, sot »), sans doute de Job, personnage biblique, d'après l'aventure de Jobsur son tas de fumier] : qui est simple d’esprit, crédule, niais [Possible Liaison avec "l'affaire Jobard" ( Fouquier Armand -Causes célèbres de tous les peuples, éditeur Lebrun, Paris (en huit volumes, 1858-1867) : Dans un amphithéâtre de Lyon en 1851, une femme assise auprès de son mari, reçut dans le sein gauche un coup de couteau qui lui transperça le cœur. Le coup lui avait été porté par un homme, installé derrière elle. La jeune femme après avoir poussé un cri de douleur et retiré elle-même le couteau s'affaissa sur son siège et succomba cinq minutes plus tard; elle était enceinte de six mois...  La pièce fut interrompue, mais le rideau se releva quand même quarante cinq minutes plus tard devant les trois spectateurs restés sur place, qui en voulaient pour leur argent, et désiraient connaître la fin de vie de la tragédienne Adrienne Lecouvreur ! L'assassin avait été transféré à l'Hôtel de Ville et enfermé dans un cachot. Le juge d'instruction venu l'interroger le trouva calme, agenouillé en prière. Antoine Emanuel Jobard, était un fils de paysans, élevé à Dijon par "les Frères de la Doctrine Chrétienne". Il avoua que très religieux, il se laissait aller quand même à des pratiques honteuses, s'abandonnant sans frein à la débauche auprès de femmes les plus abjectes. Le dégoût de lui le conduisit à vouloir abréger sa vie, mais il ne pouvait pas songer au suicide, car cela aurait été manquer de religion....Donc, il avait d'abord envisagé de tuer une fille publique, et aussi de tuer celui qui était encore président de la république lors de son déplacement à Dijon. Puis, il partit de Dijon pour se rendre à Lyon. Il avait acheté un couteau et s'était rendu dans une maison de prostitution de la rue de la Cage, dans le but de tuer une de ces femmes. Il avait passé là une demi heure avec une fille nommée Rachel, mais la trouvant trop jolie et voulant la revoir après s'être rendu au spectacle, il remit à plus tard l'exécution de son projet. Étant allé au théâtre des Céléstins, il s'aperçut qu'il avait perdu cinq francs, et qu'il ne lui restait pas assez d'argent pour retrouver Rachel. Au deuxième acte, il changea de place et jeta les yeux sur des petites filles de dix à quinze ans, mais elles n'étaient pas à sa portée. Il décida donc de frapper la femme qui était assise devant lui. Il déclara au juge d'instruction : "Cette femme a succombé dites vous ? Cela vaut mieux...puisque je voulais qu'on me fit mourir. Je ne songe plus qu'à me repentir. Je regrette ma victime: mais il fallait qu'il  en fut ainsi pour que je pusse faire pénitence". Jobard fut condamné aux travaux forcés à perpétuité. Le président du tribunal lui demanda ce qu'il avait à dire sur l'application de la peine ? Sa réponse fut : "Rien, c'est Dieu qui l'a voulu ainsi" ..
  • s’enticher [entiché « qui commence à se gâter (d'un fruit) » ; « corrompu par (un vice, de mauvaises opinions) »] : S'éprendre fortement de, éprouver un attachement, une admiration sans bornes pour
  • Sein : Du lat. sinus « courbure, sinuosité, pli; plis d'une voile de navire; concavité; golfe, anse; pli de la toge en travers sur la poitrine (servant de poche, de bourse) »; fig. « la partie du corps couverte par ce pli de la toge: sein, poitrine; poitrine (en tant que siège des pensées et des émotions); partie intérieure, cœur (d'une ville) »
  • J’ai toujours deux coups d’avance
  • Énormes, extras tes pépites du slip
  • Je te laisse le choix entre âme immortelle ou bourses plus pleines (vides)
  • Prendre à brûle/burn(es) pour point(er) : Lorsqu'on tirait un coup de feu sur quelqu'un de très près, à bout portant, on lui brûlait le pourpoint (vêtement masculin qui couvrait le torse, utilisé entre le XIIIe et le XVIIe siècle). Cette métaphore utilise d'abord l'idée d'efficacité (pour tuer quelqu'un, plus on est près, plus on a de chances de réussir) puis de soudaineté, de surprise (pour pouvoir tirer à brûle-pourpoint sur quelqu'un, il faut le surprendre).
  • Câline mutine lutine
  • Visiter la sale au trésor, farfouiller (Fouiller dans quelque chose avec désordre et en brouillant tout ce qui s’y trouve) dans le mystère de sa chambre rose qui abrite mon œuvre dard
  • Garde-moi ton trésor bien au chaud ! Il n’est jamais froid pour toi !!!
  • Pulsion scopique : besoin de mâter
  • Qu’est- ce que t’en sais, t’es pédé ? T’as couché avec pour savoir ???
  • Une large fermeture qui se dilate
  • Enfilé, c'est gagné
  • Périr par là où j’ai péché
  • Pécher n’est pas péché quand c’est bien caché
  • T’es assurée ?, car je vais assurer !
  • Je les allume en mettant le feu aux poutres, et c’est parti pour les feux d’arti-fesses
  • si on te prend ton beurre, dis-toi que c'est ce qui empêche le poil d'attacher
  • eh oui, t’es jaune cocu mon connard, euh, mon poussin
  • Le retour des films érotiques au cinéma - Controverse autour d'une programmation - Actualités - Room : Après la large diffusion des films érotiques et pornographiques qu'avait apporté la révolution de Mai 68, la loi de 1974 avait obligé ce genre à se retrancher dans des salles spécialisées. Cette exclusion des salles publiques sonnera la mort du cinéma pornographique de la voie publique. ...(Publié par Christophe Geoffroy)

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