Semblable au son d'une nuit sombre.
Des oiseaux entament leurs dance,
Qui mènera loin d'ici leurs ombres.
Une promeneuse déambule, l’esprit hagard
Seule dans une solitude pesante.
Ressassant le désir d'un été qui part,
Emportant le parfum des fleurs odorantes.
Les feuilles continuent lentement de choir,
Laissant leurs hôtes nus et mélancoliques.
Les oiseaux sont partis sur d'autres territoires,
Où le soleil réchauffe leurs vies utopiques.
La promeneuse continue sa route, morne,
Et sa solitude est devenue oppressante.
L'été est loin, et dans ses cieux, de noirs nuages se forment,
Pour annoncer la fin des quelques fleurs restantes.
La dernière feuille se pose délicatement sur le sol,
Les oiseaux de passage ont oublié ce triste pays.
La promeneuse noie sa solitude dans ce qui lui reste de rêves frivoles,
Et l'hiver, et le froid doucement l’envahit.