Sur les murailles de ton être
Perdus dans le néant
De ton indifférence
Les mots que je te hurle
Aux portes de ton esprit
Ne font que frôler
Ton manteau d’insensibilité
Les mots muets
Comme les murmures
D’un arbre tombant en forêt
Tu n’entends rien
Les mots que je te cris
Que je te souffle et te supplie
N’ont aucun pouvoir
Sur ton être froid