D’une ondée nébuleuses
Je ne reconnais plus ma race audacieuse
Que des ombres ténébreuses
Brouillard
Dans mon âme un poignard
Sous l’effet d’un regard
Il est trop tard
Mouvement incohérent
D’un pas nonchalant
De mon prochain assaillant
Vers mon être défaillant
Brouillard
Dans mon cœur le cafard
Je m’offre à ces charognards
Au fruit du besoin d'une présence, au fruit du hasard...