Les autres impies m’étouffent de plus en plus, au comble de leurs étreintes pourries. Je m’éloigne de plus en plus, de ces êtres non voulus. Ma survie guide ma vie, mes peurs surpassent mes envies. Ma solitude voulue agace, mais sociabilité est fugace et je profite du rythme de mes angoisses pour déposer mes mots en masse.
Toujours ce trop plein de maladresse et ce manque de tendresse, très loin de Disney et ses contes de princesses. Dans la vie on cesse de rêver, pour constater la désarmante réalité. Les bras tendus vers le vide comme un arbre mort, au bout du chemin de mon existence, mes rêves perchés sur des branches négligées des rayons lumineux du soleil d’or.