- Les nuits sont enceintes et nul ne connaît le jour qui naîtra.
- Quand tout va bien, ca ne peut qu'aller moins bien après.
- eux qui se plaignent de tout et qui ne plaignent jamais personne
- La folie est la limite de l’esprit humain, l’abyme lumineux où l’humain est confronté à lui-même, à l’animal de son fort intérieur
- Miséreux malheureux, elle n’est pas une fille de joie, où alors que pour ses clients
- Retrouver la fille perdue en la femme retrouvée
- Nue comme une BB aux fesses roses
- L’important n’est pas de vivre richement mais de bien vivre, jusqu’à ce que mort s’en suive
- J’espère me dit que j’ai fait une grosse erreur
- Que veux-tu dire ? Je ne sais pas ! Pourquoi l’as tu dit ??? J’en sais rien !!!
- Renoncer au présent, s’occuper de soi ; tout investir pour le futur, faire tout pour l’autre qu’on aime
- Le temps court, si court : je le soupçonne parfois de prendre des raccourcis
- Souligne à l’envie
- Peut-on faire plaisir sans souffrir ?
- La vie n’est qu’un jour, la mort qu’une nuit
- On apprend beaucoup, de la haine de l'autre. Des vérités sur soi, car la haine vise souvent les parties sensibles, et des vérités sur l'autre, car la haine fait tomber un masque. Mais l'on apprend quand même cent fois plus de l'amour.
- Il repart comme il est venu, les mains vides et les couilles pleines
- Désir : regret/souvenir/manque/souhait de l’étoile (de siderata)
- La vie est un tango (Le tango est une danse de bal qui se danse à deux. C'est une danse d'improvisation, au sens où les pas ne sont pas prévus à l'avance pour être répétés séquentiellement, mais où les deux partenaires marchent ensembles vers une direction impromptue à chaque instant. Un partenaire (traditionnellement l'homme) guide l'autre, qui suit en laissant aller naturellement son poids dans la marche, sans chercher à deviner les pas) et la mort un paso doble (Le Paso doble est l'une des danses les plus simples à apprendre au départ. Le pas de base est en effet un simple pas de marche (le danseur part du pied droit, la danseuse pied gauche en arrière). La tenue du couple est classique, mais il faut ensuite, pour adopter le style typique du paso, se souvenir que le danseur y joue le rôle du torero et la femme, celui de sa cape).
- Comment s’appelle cet animal ? Kangourou (je ne comprends pas en indigène australien)
- Suit celui qui fuit
- Sa mort nous sépare, la mienne ne nous réunira pas, mais c’est déjà un honneur de s’être rencontrés (Sartre)
- Ne pas chercher trop loin ce qu’on a tout près/prêt sous les yeux
- C’est une question de bon sens, critique
- Un homme n'est pas malheureux parce qu'il a de l'ambition, mais parce qu'il en est dévoré. Montesquieu (Charles de Secondat, baron de La Brède et de)
- ...et quelquefois je vis, mais c'est moins rigolo!
- Mettre dimanche avec lundi : Se tromper d’un cran en boutonnant un vêtement, de sorte qu’un côté est plus haut que l’autre. Toutes les variantes existent (boutonner lundi avec mardi, etc.). (Par plaisanterie) (Métalepse)fagoté. S’habiller mal, être mal
- S’en emparer à bon compte
- Je lui ai fait des manières
- Bon sang ne saurait mentir
- Silence de mort, religieux
- Boulimique des boules, les miennes comme ceux des femmes
- Phare dernier rempart avant naufrage
- Si la loi est injuste, c’est un devoir de citoyen que ne pas l’appliquer et de la Contester
- Puissante et vicieuse Vs petit et sage
- Elle a les menottes, j’ai le calibre
- Courir après le courant d’air d’une Alizée partie en coup de vent comme une tornade
- C’est, à peu près, tout ! Développe ton « à peu près tout » !!!
- S’il m’arrive d’aboyer je peux mordre aussi
- Me prend pas la tête avec des questions dont personne n’a la réponse
- On prend son pied avec qui et où on peut
- Comment vas-tu depuis ta dépression nerveuse ? Euh, laquelle ???
- Soit mon instinct a raison, soit mon cerveau me manipule pour me protéger
- C’est la vérité qui te fait peur puisque tu t’enfuis
- Depuis un an qu’on se pratique
- Elle est maligne, quelle guigne
- La solitude est un sentiment universel, partagé par beaucoup de gens en même temps
- C’est quand on ose affronter les difficultés qu’on devient le héros de soi
- Tu es de la merde dans un bas de soie (Napo à Talleyrand)
- Seule femme qui accepte de coucher avec toi sans avoir bu
- Que me vaut cette horreur ???
- On fait du sexe pour avoir un bébé ou pour avoir une revanche, jamais avec un homme qu’on respecte
- Hormis toi qui, mâle, y pense
- Il n’est jamais trop tard pour changer le cours des choses en les remuant, les agitant au shaker, pas à la cuillère
- Poisson-clown demande hébergement à l’anémone venimeuse, qui désactive ou non son poison pour lui
- Que dieu bénisse dieu
- Ça t’apprendra à vouloir m’apprendre
- Si on est plus heureux, on est moins injuste
- C’est encore plus triste que « la vie est belle »
- Mon cher argent, tu es tout pour moi
- Aimé partout par tous, et encore plus par toutes
- Darkwarrior darkwador darkcore
- S’aliéner, rendre étranger, un amour aliénant, étrange et fou [Du latin alienare (sens identique) dérivé de alienus (« étranger »), lui-même de alius (« autre ») : (Droit) Transférer à un autre la propriété d’un fonds ; s'aliéner (Pronominal) Perdre l’affection, la sympathie de quelqu’un, Perdre sa volonté, sa liberté]
- Les larmes sont la meilleure des sauces au grand buffet de la faim/vie
- La souffrance purifie
- Adultère : double peine pour tout le monde
- Je suis contre les gens qui prennent des drogues, par principe, surtout les douaniers
- Je l’ai rêvé si fort, les draps s’en souviennent encore
- Avoir la mémoire du cœur
- Le sexe est le pilier et un sacré tronc de mon existence
- L’immédiateté est la myopie à courte vue
- Point de désir d’avenir sans plaisirs à venir
- Quand je change de ville, je change de passé au passage
- Jamais de coupure, de blanc, en pleine montée, de son comme de prod
- Ne te crois jamais plus fort que le prod, car c’est là qu’il te prendre en défaut, juste quand il ne faut pas
- Là où un drogué passe, la drogue très y passe
- La réalité nous incite à un état de légitime défonce
- Des chiées d'œuvres inconnues
- Je te demande, et t’es poli tu dis oui
- J’ai trouvé le problème : il était sous mes yeux, il venait de toi
- Si on se connaissait mieux je ferai pourquoi pas des efforts ; là on se connait à peine alors pourquoi s’emmerder ? Si tu fais pas l’effort au début, c’est pas après, trop tard, qu’il faut en faire !!!
- Si c’est pas du rhum de Cuba j’en veux pas : je suis fidèle à Fidel
- Une drogue en appelle une autre : « tu fumes beaucoup ! », « ouais, parce que je bois encore plus !!! »
- Pas sirène, plutôt baleine
- Comme on peut pas toujours être à 200%, au moins être à 100%
- Tous concernés, tous cernés par des cons
- Ça ne se fait pas car ile ne faut pas … et c’est comme ça
- Je le savais, je le constate
- C’est le mieux … enfin c’est le plus cher
- Qu’est-ce qu’il se passe ??? Rien du tout, c’est bien ça le problème !!!
- Directeur des ressources inhumaines
- Un bon ouvrier se tue au travail tout comme un bon client est un client mort
- J’aime me retenir, c’est encore meilleur après
- Popole emmène les jumelles orphelines au cirque, sous le chapiteau
- Plait-il ? Au temps pour moi
- Combat KO d’avance
- Être sur le qui-vive : Cette expression date de la fin du XVIIe siècle sous cette forme, mais c'est à partir du début du XVe qu'elle est utilisés sous sa forme latine "qui vivat ?" pour demander à une autre personne de quel parti (au sens de "groupe organisé, association de personnes unies pour la défense d'intérêts, de buts communs") elle était. Plus tard, une sentinelle qui entendait un bruit à proximité de son lieu de garde demandait "qui vive ?" ou sous une forme un peu moins concise "qui est vivant ici ? faites-vous connaître !"Mais l'interjection s'employait aussi pour demander à quelqu'un approchant, parfaitement visible, de décliner son identité. C'est au début du XVIIe siècle qu'elle s'est substantivée en 'qui-vive', mot qu'on ne trouve presque plus maintenant que dans notre expression dont le sens est aisément compréhensible, puisque le rôle de la sentinelle est justement d'être vigilante, de parer à tout danger pouvant survenir.
- Il n’y a pas que des teuffeurs qui écoutent/dansent/ sur du son de teuffeurs
- N’oublie jamais car elle ne t’oubliera pas de si tôt
- « Les belles nuits font les beaux jours ! »
- Essayer, vous verrez c’est l’adopter
- Je vais lui fumer sa gueule un jour à celui-là
- Tu m’incommodes, je vais te mettre dans la commode pas commode … au placard quoi
- T’es bien mon chienchien à sa mémère, tu reviens la queue entre les jambes avec des roses dans la gueule du loup
- Moi je dis ça, c’est pour toi, ni pour moi ni pour nous
- Oui ça va ! t’es content ? Laisse-moi tranquille maintenant !!!
- Maintenant qu’il n’y a plus de X, je suis bien obligé d’arriver à me contrôler
- Les choses de l’amour, moi je m’assois dessus, au sens propre comme au figuré
- L’amour c’est trop compliqué à utiliser comme machin : il faudrait une notice pour les no-vices
- Nouvel entrant qui pénètre le cœur de cible pour avoir un bon score sur cet open-market
- Cours de verbe, verve, et verge si affinité
- Par définition un ex. ne va pas revenir
- Je n’ai rien mais j’ai tout car je t’ai toi
- Ne jamais subir, toujours agir
- "Ce qu'on te reproche, cultive le, c'est toi."
- La séduction est un acte violent envers soi, pas d’amour pour l’autre
- J’ai été chat perché tellement haut que je suis tombé d’autant plus bas, sur le cul et sans parachute
- Quitter cette réalité terre-à-terre pour voyager vers des mondes meilleurs où tout le monde il est beau/gentil/bon, vers une utopie des tout est possible en ce bas-monde : Just do it !!!
- Plutôt que de se fracasser le crâne contre les murs, il fallait que je me défonce la tête pour arriver à supporter la réalité
- Les drogues sont nos amies, mais pas des béquilles au mal-être
- Les humains (se) perdent (sur) le chemin de la réalité pour la conquête d’un monde fait d’illusions et de désillusions
- Ne jamais voyager à vide, mais pas trop chargé non plus
- Adieu monde cruel, bonjour ironie du sort
- On ne peut pas changer les gens avec des lois
- tout le monde n'est pas parfait
- Tu veux ? Pourquoi, toi tu ne veux pas ???
- L’important c’est la miette qui traîne
- Soit je fais ma valise en carton soit on se jette la vaisselle, tout en carton sinon ça fait mal quand ça vole
- Sans vous ce n'est plus moi
- " Toute vérité franchit trois étapes. D'abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence. " Schopenhauer Arthur
- Donnez-moi la beauté de l'âme pour que l'intérieur et l'extérieur soient en harmonie. Socrate
- Il est plus facile de briser le noyau atomique qu’un préjugé. Albert Einstein
- Ce n’est pas la force, mais la persévérance, qui fait les grandes œuvres.
- Beaucoup parler de soi peut aussi être un moyen de se cacher. Friedrich Nietzsche
- Qu'est-ce qu'on ne voit pas quand on voit et qu'on voit quand on ne voit pas ? Réponse : L'obscurité.
- Chut ! J’ai rien dit !! Qu’est-ce que t’as entendu ?? Non rien !!!
- Être aux fraises, marron complet, au ras des pâquerettes avant de manger les pissenlits par la racine
- y a des jours il passait des nuits blanches entières jusqu'à la nouvelle aube du petit matin
- le handicap est un luxe que tout e monde ne peut pas se payer
- pardon mon amour mais je t'aime
- “Plus grande est la difficulté, plus grande est la gloire.”
- Ils se jettent comme un seul homme à l’amer !
- " Je ne connais pas la clé du succès, mais la clé de l'échec est d'essayer de plaire à tout le monde. " Bill Cosby
- Enfin, je me comprends ! T’as de la chance, t’es bien la seule
- Ce soir ça va être choucard (bien, plaisant, agréable), ce sera la fête à mon trou noir
- Faut de l’exercice et du temps pour que la saucisse rougisse, grandisse et grossisse
- Nous promettons selon nos espérances et nous tenons selon nos craintes.
- "Un homme est bien fort quand il s'avoue sa faiblesse." Honoré de Balzac
- Si j'avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi." Henri de La Rochejaquelein
- rêves riches, soyeux, fruités et doux, qui troublent les sens et éveillent les passions : mes papilles frétillent, et mes sens s'élancent
- Le verbe aimer est difficile à conjuguer : son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif, et son futur est toujours conditionnel.(Cocteau)
- La parole nous a été donnée pour déguiser notre pensée
- Il est plus aisé d'être sage pour les autres que pour soi-même.
- Tu vas brûler d’ardeur avec ma bûche, un pyromane membré avec une lance de pompier à la black draft, mais attention au retour de flamme
- Le candaulisme est une pratique sexuelle liée à l'excitation de voir son (sa) partenaire avoir des relations sexuelles avec une autre personne. C'est une sorte de voyeurisme. Le candaulisme se distingue du cuckoldinghumiliation du partenaire voyeur. Le candaulisme n'implique pas non plus la réciprocité de la pratique de l'échangisme. Le terme vient de la légende du roi de Lydie (Asie Mineure, antiquité), Candaule, dont il existe plusieurs versions. Une première version rapporte que Candaule tua sa femme après que celle-ci eut refusé de marcher nue devant ses soldats. Une autre version, rapportée par Hérodote, diffère sensiblement : selon Hérodote, le roi Candaule trouvait sa femme plus belle que toutes les autres. Sans cesse, il vantait à Gygès, officier de sa garde du corps, les charmes de son épouse et un jour, il l'invita à se convaincre, de visu, de la beauté de celle-ci. Gygès refusa l'offre mais le roi insista. Dissimulé derrière la porte de la chambre nuptiale, Gygès assista au coucher de la reine. Mais, au moment où il s'esquivait, la souveraine l'aperçut. Feignant de n'avoir rien remarqué et persuadée que son mari avait voulu l'humilier, elle jura de se venger. Le lendemain matin, elle convoqua Gygès et lui offrit l'alternative d'être exécuté ou de tuer Candaule, de s'emparer du trône et de l'épouser. Gygès refusa l'offre de la reine, puis, devant l'inutilité de ses efforts, il résolut de tuer Candaule. La reine le cacha à l'endroit où il s'était dissimulé la veille ; Candaule mourut, poignardé par Gygès durant son sommeil. Quand il fut installé sur le trône, Gygès se heurta à des adversaires. Ceux-ci acceptèrent de soumettre le cas à l'oracle de Delphes. L'oracle confirma Gygès dans sa royauté. Le recours à l'oracle delphien est historique : on sait qu'en témoignage de reconnaissance Gygès fit don au sanctuaire de Delphes d'objets d'or et d'argent. par l'absence de besoin d'
- Logorrhée accusatrice : diarrhée verbale, ou incontinence verbale. Trouble du langage caractérisé par un besoin irrésistible et morbide de parler. (Littéraire) Long discours creux ; verbiage. Flux de paroles inutiles et incohérentes. Blabla prétentieux pour présenter des banalités ou une analyse plus ou moins cohérente et fondée. Synonyme Incontinence verbale : verbigération
- cabotin : Comédien ambulant ; Tout comédien sans talent. (Figuré) Celui qui affecte dans la vie privée des attitudes de théâtre.
- bigarré : Se dit d’un ensemble d’éléments disparates et tranchants qui manque d’harmonie.
- Pine à colada
- sagouin : (Zoologie) Genre de singe omnivore de petite taille, répandu dans l’Amérique du Sud, tamarin. 2. (Figuré) (Familier) Homme malpropre, peu soigneux, cochon. 3. (Par extension) (Injurieux) Homme au comportement méprisable, salaud, salopard.