Je fonds de colère, face à l’indifférence volontaire de mes pairs. Entraînée dans un tourbillon de solitude qui me laisse amère et me torture. J’avance à reculons dans une vie obligatoire, où chaque pas me mène à la misère, d’une vie de calvaire.
Je fonds de rage, à ne jamais pouvoir tourner la page, sur ceux qui minent mon existence, me mènent à la démence. À jamais les mains liées, face à cette malsaine société.