Dans la vie si cruelle
Il a fallu que j’ose
M’aventurer dans les glauques ruelles
Ma vie à son apogée
Mon âme consumée de rancœur
Je brûle de sombres pensées
Mon âme brûlant de terreur
Holocauste de pétales de roses
Allant choir sur le sol givré
Tristesse et désespoir en symbiose
Mon être de se désintégrer
Il pleut des larmes de souffrance
Par mes épines élimées
Sur mon monde devenu trop rance
Désuet et désenchanté