Ma politique I.
Elle surtout apolitique. Non pas que je manque d'idées, mais comment adhérer à un parti? Je suis écœurée à chaque fois que je regarde la chaine parlementaire, de voir tous ces élus se battent comme dans une cours d'école et de ne pas assumer leur responsabilités d'élus du peuple. C'est un spectacle pitoyable que la politique française. A part l'enrichissement personnel qui compte, le peuple ne compte pas. Combien d'élus connaissent le prix d'une baguette de pain? Ils sont trop loin de nos préoccupations quotidiennes, pour s'en soucier, alors que c'est leur rôle. Et puis trop de promesses pour se faire élire, et berner les citoyens. Je suis contente que maintenant des hommes politiques passent en justice. Mais il faut aussi peut-être y voir une manœuvre politique, pour abattre les concurrents, avant les élections
Elle est destinée à tous les ceux qui se sentent démunis face au monde de la santé.
Elle est basée sur une réelle entraide entre victimes du système de santé, et les soignants interdit de travail par une mafia médicale. Un corporatisme, équivalent à un super lobby, ultra-puissant.
Nous cotisons tous à la sécurité sociale, mais l'égalité des chances pour bien se faire soigner n'est pas respectée.
Dans le pays des Droits de L'homme et du Citoyen , vos droits sont peu respectés.
Je souhaite créer un mouvement, où les usagers de la santé auraient le droit à la parole. Parole citoyenne, entendue et non pas bradée et ignorée. La première difficulté est d'obtenir son dossier médical. Alors que vous y avez droit. POURQUOI?
Vous devez souvent, dans les cas graves faire appel à un avocat. Cela, n'est pas normal.
Si je me réfère au texte, les droits et les devoirs du patient, vous devriez y avoir accès, quand vous le souhaitez, car c'est de VOUS qu'il s'agit. Pas de la santé de votre médecin.
Et puis, c'est malheureux à dire, mais plus votre mutuelle est « forte », mieux vous êtes soignés.
Avec votre aide, nous pourrions bâtir un monde de la santé plus respectueux, des patients.
Je dis cela, car avant de sombrer dans la déchéance, j'ai postulé à des emplois, des dizaines d'offres d'emplois.
Mais à 45 ans, soit j'ai trop d'expérience et cela fait peur aux recruteurs, soit , ils ne peuvent pas me payer à ma juste valeur.
Déjà que les salaires sont pas mirobolants et que les infirmières sont « des pauvres en devenir », on va en arriver à une désaffection complète pour ces métiers. Idem pour les médecins. Depuis deux ans, il y a moins d'inscrits à la fac, et peu de jeunes médecins hésitent à se lancer dans le libéral, dans une zone sinistrée.
Cette profession a tellement changée, que la médecine n'est plus un apostolat et que l'on veut la maladie à 35 heures par semaine.
Et puis, sans être une féministe, il est vrai qu'il commence à y avoir trop de femmes médecins, qui refusent les gardes, qui veulent faire de la médecine, comme on fait du tourisme. Certains de leurs jeunes confrères masculins, idem.
Et puis, surtout, ils ont perdu le respect du au savoir des infirmières et appris par la pratique.
Tout de suite, ils se sentent agressés.
Or nous sommes, ce couple »médecins-infirmières », le premier réseau, collecteurs d'informations sur le patient. Et ce premier réseau, aujourd'hui, ne fonctionne plus.
Dû à l'incompétence des uns et des autres, où à une autre forme d'enseignements qui a détruit le serment d'Hippocrate.?
J'attends vos réactions.
Gwen Santé