Un jeune homme parti loin chercher un vrai-faux rêve qui se dissipa en quelques mois, les temps sont dures, et sa malchance lui accusera un dernier coup… finalement revenu brou douille, trainant derrière lui ses rêves déchus d’un nouveau soi et le gout amère d’un illusion inachevé.
Quelques kilomètres loin de là, un autre jeune homme reçoit un courrier inattendu, de la part d’un ex-amour qu’il croyait faux, malhonnête et sans avenir, il été pourtant sure que c’était fini, et à passé ses derniers mois en essayant de l’oublier toutes les conneries qu’un cœur amoureux pour nous infliger, comme le faite qu’elle est la seule a pouvoir terminer ses phrases, a apprécier ses gouts, et a qu’elle n’est pas comme les autres, bref qu’ils sont fais l’un pour l’autre ( oui oui… la fameuse phrase-super-cliché de l’amoureux-frustré en mode je ne trouverais-personne-comme-elle).
Pourtant il a fini par s’en sortir…du moins il le croyait, mais n’avais pas prévus ça ! Personne ne l’aurait prévu ! Son courrier été humble, sincère et bourré de regrets, ceux de gâcher une histoire qui aurais pu changer leurs vies…et les deux se demandais :
et si c’était possible ? Et si l’amour été toujours d’actualité dans un monde ou on amalgame liberté individuelle et individualisme egocentrique ?
Au bout d’une ruelle sans nom (je fais mon de palmas) j’ai croisé un amour déchus que j’ai tant désiré, aimé Peut être?! Pour être sincère je ne le sais pas, tout ce que je pourrais dire c’est que je rêvais d’elle chaque soir que dieu fais, qu’elle a hante toujours mes jours et mes nuits, une vrais Mary Jane.
Elle été la, le regard vide, qui laissais rien passer, comme si qu’elle disait : « je t’ai oublié » ou bien… « Ta jamais vraiment compté », je déteste ça, je me déteste dans cette putaine de situation super pathétique ou tu te rends compte que tout a changé, que tu te force a parler normalement en évitant de faire allusion au passé, je suis nul dans ce genre de situations !,
ca m’énerve quand j’arrive plus a lire dans ses yeux, ca m’énerve dès qu’on joue aux faux-semblants. Mais ce que je déteste le plus, c’est ce goût amer d’un travail inachevé, je suis maudit ! C’est ce que je fais de mieux (pire) pourtant, je déteste quand je ne termine pas ce que j’écris, ou que j y perd l’envie…et pire, quand je ne peux pas embrasser une bouche que j’ai tant désiré, particulièrement quand je sais que cette fois-ci…c’est vraiment fini.