Au plus creux de mon esprit dément Les mots sont des images estropiéesD’où découlent mes rêves enchantésDes instants délirants M’offrant un film muet étofféQue je déguste souvent dès le levéAfin de mieux savourer le triste temps
Dans la pensée silencieuseLe vide clame son territoire défrichéDu fond des scénarios réinventésL’envie devient pernicieuseLorsque le désir de s’emporterDans ce flot de souvenances libéréesEt d’images aguicheuses