Donc j’ai un iPhone. Comme beaucoup de gens au final. Cela fait un peu plus d’un an que je possède ce smartphone qui plante quand je passe des appels téléphoniques, et mes points de fidélité s’accumulant je songe à changer de mobile.
Mais voilà, l’iPhone a fait de moi son esclave. Je suis condamnée et dépendante à l’iPhone… ou pas.
Parce que j’aime plus les applications développées pour iPhone que le smartphone lui-même.
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C’est simple. J’ai toujours pensé qu’un smartphone ne servait à rien. D’ailleurs, je pense toujours que ce n’est absolument pas indispensable à ma survie. Finalement j’ai changé d’avis lorsque je me suis rendue compte que j’avais une sérieuse addiction pathologique à mes mails, etc.
Et un jour banal (en fait c’était mon anniversaire), j’ai acquis un iPhone.
Je m’y habitue, je m’adapte à son utilisation, je m’en sers très régulièrement. On peut dire que cette bête fait parti de mon quotidien : je lis de temps en temps lemonde.fr via l’appli correspondante, je mate ma timeline Twitter, j’administre ce blog et lis les commentaires dans les transports…
Et maintenant que je serai bien tentée par un autre type de smartphone : du type HTC ou Nokia ; je me rends compte avec douleur que j’aurai du mal à me séparer de mon jeu où je lance une vache dans l’espace.
Idiot hein.
Alors on me dit “oui mais ça commence à bien se développer sur les autres plateformes”. Oui mais… Mes petites mains et mes nerfs de geekette névrosée ne pourront peut-être pas survivre à la transition.