Après le passage remarqué de Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa au sommet de l’Europe, souhaitant poursuivre son infâmante politique visant à expulser, parmi les gens du voyage des camps illégaux, « en priorité les roms », après les couaks entre un Sarkozy qui entend des voix allemandes ou une Angela Merkel qui n’assume pas publiquement ses propos, depuis ce matin, on se lève tous avec une nouvelle qui tombe comme un cheveu dans la soupe : nous sommes visés par le terrorisme.