Magazine Journal intime

Météo automnale en chansons

Publié le 09 octobre 2010 par Papote

C'est de saison et ils ont prévu tout ça ce week-end alors, il n'y a pas de raison que le blog ne se mette pas à la couleur du temps !

I'm gonna love you, like nobody's loved you
Come rain or come shine
High as a mountain and deep as a river
Come rain or come shine
I guess when you met me
It was just one of those things
But don't ever bet me
Cause I'm gonna be true if you let me
You're gonna love me, like nobody's loved me
Rain or shine
Happy together, unhappy together
And won't it be fine
Days may be cloudy or sunny
We're in or we're out of the money
I'm with you always
I'm with you rain or shine
You're gonna love me, like nobody's loved me
Come rain or come shine
Happy together, unhappy together
And won't it be fine
Days may be cloudy or sunny
We're in or we're out of the money
But I'm with you always
I'm with you, I'm with you rain or shine
I'm with you, I'm with you rain or shine

Johnny Mercer - Harold Arlen

PS : Et, en plus, dans cette version, c'est la fille du grand Clint qui chante...

Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis.
En ce temps-là la vie était plus belle,
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle.
Tu vois, je n'ai pas oublié...
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli.
Tu vois, je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais.
C'est une chanson qui nous ressemble.
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle,
Les souvenirs et les regrets aussi
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie.
Je t'aimais tant, tu étais si jolie.
Comment veux-tu que je t'oublie ?
En ce temps-là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui.
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n'ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais,
Toujours, toujours je l'entendrai !
C'est une chanson qui nous ressemble.
Toi, tu m'aimais et je t'aimais
Et nous vivions tous deux ensemble,
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais.
Mais la vie sépare ceux qui s'aiment,
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis.

Jacques Prévert

PS : Aucun sous-entendu : je vais bien mais je trouve que la chanson est de saison (plus que les paroles) et puis je l'aime et d'ailleurs, début octobre l'an dernier, je crois bien que je vous en avais mis une autre version, anglaise celle-là...

A bientôt !

La Papote


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Papote 9759 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte