Posted on 18 octobre 2010
Samedi prochain je suis de mariage à la campagne.
Comme je suis complétement flipée à l’idée de tomber en panne sèche en pleine nuit en banlieue campagnarde – sachant que ce ne sont pas les mots « panne sèche » ni « pleine nuit » qui m’effraie le plus dans cette phrase – hier j’étais partie pour faire le plein.
Mais il semblerait que pour trouver de l’essence dans le sud de la capitale, il faille faire la queue des heures devant les 2 seules pompes ouvertes le dimanche où il n’y a pas encore pénurie.
Et je n’aime pas trop faire la queue, surtout lorsque cela suppose d’être stationnée environ 10mn au milieu des rails du tramway.
Comme je suis pleine de ressources, je suis rentrée et j’ai demandé à mon père d’aller faire le plein pour moi en milieu de semaine.
T’inquiète qu’il m’a dit. T’as besoin de combien? 10 litres? Pas de problèmes, je vais siphoner la Mercedes. Au pire j’ai un bidon de 20 litres dans le garage.
Faudrait juste que je pense à lui rappeler que ma voiture elle marche au sans plomb, sinon tu vois pas qu’il va me refiler du super de 1968…