Depuis que je suis une utilisatrice de Blackberry, j’ai l’impression d’être un peu plus… concentrée et ouverte au monde. Oui c’est totalement paradoxal.
Mais maintenant je regarde les panneaux de la SNCF, je parle à des guichetiers pour demander des renseignements et je consulte une carte papier de Paris. Pas si étonnant, depuis que je n’ai plus un terminal mobile qui veut TOUT faire, et bien je ne cherche plus à tout faire avec.
Ma vie avec Blackberry ? Le bonheur complet. J’ai tout ce qui me faut, quand il me le faut. Et en plus, même avec l’appli gtalk connectée en permanence (alors que je ne l’utilise pas), ce petit pavé de plastique m’épate par son autonomie.
Je suis tombée sur cette vidéo. Horrible, le traumatisme.
Blackberry dans ses gammes “grand public” veut ouvrir sa clientèle. On le remarque notamment par les offres mobiles au moindre coût qui permettent de se payer un blackberry sans trop de difficultés.
Le fossé se creuse entre smartphone “usage moyen, fonctionnels et accessible” et “iPhone qui fait tout et surtout ce qui ne sert à rien, en étant très chèr”.
Not just for office guys.
Oui d’accord, mais les gens sur la vidéo, on dirait une secte de fanatiques aux sourires sociopathes. Les gens souriants comme ça, trop souriant, ça me fait peur. On dirait qu’ils sont drogués.
Peut-être que demain, sans m’en rendre compte, moi aussi je chanterai cette chanson.