- La Liberté se prend comme se donne la vie : dans le bruit, la douleur et le sang
- Il était une fois quatre individus qu'on appelait "Tout le monde" - "Quelqu'un" - "Chacun" - et "Personne" … Il y avait un important travail à faire, et on a demandé à Tout le monde de le faire. Tout le monde était persuadé que Quelqu'un le ferait. Chacun pouvait l'avoir fait, mais en réalité Personne ne le fit. Quelqu'un se fâcha car c'était le travail de Tout le monde ! Tout le monde pensa que Chacun pouvait le faire et Personne ne doutait que Quelqu'un le ferait. En fin de compte, Tout le monde fit des reproches à Chacun parce que Personne n'avait fait ce que Quelqu'un aurait pu faire. MORALITÉ : Sans vouloir le reprocher à Tout le monde, il serait bon que Chacun fasse ce qu'il doit sans nourrir l'espoir que Quelqu'un le fera à sa place car l'expérience montre que là où on attend Quelqu'un, généralement on ne trouve Personne !
- Elle est morte, à vie
- Nous sommes victimes de notre propre société et en même temps nous en sommes des acteurs imposés de celle-ci
- le silence est l'égal de l'indifférence ?
- ton boulet est plus petit mais encore plus présent
- Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'expliquer. William Shakespeare
- Construire des ponts c’est relier les Peuples, leur créer un abri quand on les a pillé, leur faire un sautoir au suicide
- Ces crétins sont de plus en plus idiots ou bruyants ?
- Nous nous sommes tant aimés, et si souvent fâchés
- vision trop carrée d'un monde qui ne tourne pas rond dans le triangle des Bermudes
- the strongest of the strange
- la vaticination : Prédiction des choses futures, prophétie. Délire verbal, comme si on était habité par un dieu
- guerre pleine de petits calculs sur de grosses sommes
- le plaisir d’un secret est quand il est connu
- connu ou reconnu ?
- si tu as l’air désemparé, l’autre a l’air désespéré
- à la rencontre de l'inquiétante étrangeté de l'autre
- les femmes d'aujourd'hui sont le reflet de tout ce qu'elles reprochaient aux hommes
- le présent n’est que le prolongement d’un passé très dense
- est-ce que tu peux lui parler et lui dire de se taire
- ce qui est important n’est pas ce que tu fais mais comment tu le fais
- donner le petit coup de main que le destin tardait à donner
- c’est pas ce que je voulais dire … enfin pas comme ça en tout cas
- La pensée est un vin dont les rêveurs sont ivres
- la musique et l’amour sont les deux ailes de l’âme
- Le hasard a des intuitions qu'il ne faut pas prendre pour des coïncidences
- Il s’est fait plus de blé que ma moissonneuse-batteuse
- "Puisque dans les nuages on ne peut changer la direction du vent, il faut apprendre à orienter la voilure"
- En roots pour la joie
- il a cette innocence des gens de bien, qui lorsqu'elle se fracasse aux duretés des X, peut flancher
- la réalité aime moins les clichés que la télé
- le réel n'est qu'un trou dans la vérité
- "l'Utopie n'est pas l'irréalisable mais l'irréalisé" Théodore Monod
- que c'est compliqué l'actualité, je préfère rester dans la fiction
- la critique est une des dernières manières de corriger, à la marge, la pression du marché
- il propose un armistice alors qu'il est le seul à être en guerre
- Le boulot c'est bien. Le maquis c'est mieux
- les bons sentiments finissent par fasciser les consciences
- Le manteau de la vérité est souvent doublé du mensonge, voilà pourquoi certains retournent leur veste
- Spécialiste de rien, curieux de tout
- utiliser d'autres formes de protection que le protectionnisme qui ne protège pas
- le spectacle du bonheur de certains permet d’oublier les malheurs du reste du monde
- Je suis capable du meilleur comme du pire mais c'est dans le pire que je suis le meilleur
- Usure : ton intérêt à moyen terme est mes taux d’intérêts à long terme
- C'est quand l'individu est sorti des mains des professeurs et libéré des examens et des concours, qu'il peut commencer son éducation intellectuelle. [Alexis Carrel]
- Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui le regardent sans rien faire (Albert Einstein)
- Celui qui sait écouter deviendra celui qu'on écoute
- nos libertés partent en fumée, pour une soi-disant morale qui se soucie moins des individus que de leur contrôle
- Souvenons-nous de la puissance de l’Eau quand les gouttes se rassemblent
- La perception est une hallucination vraie (Hippolyte Taine)
- Tous les mecs (sauf les pd) sont des enculés
- "On ne peut pas prier pour la pluie et se plaindre quand on est mouillé" Simon Collins
- y'a qu'un seul amour mais y'en a 1000 différentes variantes
- chaque seconde de vie en plus est une seconde de plus à mourir
- fantasmes comme rêves, seuls remparts contre la souffrance
- l’amour nous montre qui on n’est pas et nous enseigne à l’être (à vérifier, de Molière)
- Ce n’est pas la vache qui remue le plus la queue qui fait le plus de lait
- Tant de choses ont été dites que l'essentiel est presque oublié
- "don't ask, don't tell" (ne rien demander, ne rien dire) qui imposait le silence aux homosexuels dans l'armée américaine sous peine d'être radiés
- Ce n’est pas parce qu’ils ne savent rien de nous qu’on ne veut pas tout savoir d’eux
- Fais à autrui ce que tu n’as pas aimé qu’on te fasse
- Le maso est plus dominateur que le dominant
- Le sado peut se satisfaire d’auto-sadomasochisme alors que le maso a besoin de l’autre pour affirmer sa domination
- Je me suis blessé dans les prolongations d’une bataille de polochons
- Je t’ai pas piqué ta copine, c’est elle qui m’a sauté dessus
- Je suis pas plus vieux car je suis plus ensoleillé/radieux que toi
- Je me couche, pas la peine d’être aussi cash-direct dans la relance
- J’ai rien compris là ! T’inquiète, je ne fais que suivre à pas cher là
- C’était le couchage de trop
- Non, tu peux pas te découcher
- C’est un truc de folie ! Euh, on n’a pas la même définition de la folie
- Il paye trop cher, je me couche !
- T’as pas envie de suivre ? Tu te couches ??? Oui, je t’ai dis que j’ai pas envie, tu vas pas me forcer à le suivre ?!?!?!
- C’est un peu trop chaud pour toi à suivre
- Qu’est-ce qu’il faut que je fasse ? Là, tu te couches
- Je me couche car ta donne est trop petite
- Ça roule ça roule mais ça joue pas
- On boit pour oublier qu’on perd, au poker comme dans la vie
- Perdre comme ça, sur une bonne main, ça fait autant mal au cul qu’au cœur
- T’as une proposition après ?, parce ce que moi j’en ai la preuve par 3
- Il fait tapis en misant sur la recave, c’est ça le capitalisme
- Je me suis emphatisé par emphase
- Qui rira bien pleurera à la fin
- Tu feras tirer une petite latte, pour l’hygiène
- Il t’a bien niqué, c’était mérité
- Je touche du bois parce que c’est tendu
- Je veux vous voir sur une seule tête, pas un cheveu qui dépasse, les bras dans le dos, les mains croisées
- Y a pas de ça chez nous/moi ! Si tu peux pas autrement, va voir ailleurs si ça se passe mieux que chez tes vieux
- Tu es le top, le caviar sur la truffe
- Les banquiers sont toujours blindés, autant que les châteaux et les coffres sont forts
- carabistouilles, calembredaine, galéjade : Propos extravagant, ridicule ou trompeur ; action un peu folle
- je ferai rien pour, mais rien contre non plus
- un robinet qui fuit l’eau est pire qu’une horloge qui tic-tac et sonne les heures
- je la mets (la chanson), c’est mon petit plaisir
- les traversins sont de travers, les travestis-seurs sont traversés
- t’es maladroit toi quand même ce soir
- vaut mieux partir bas et arriver haut que l’inverse
- une odeur qui te prend au nez et te provoque une crise d’asthme
- ceux qui n’avaient pas grand-chose avant ont encore moins maintenant … sauf les glandes
- les communicants sont des agents d’ambiance, souvent puants
- cris toutes les couleurs, de la joie à la souffrance en passant par la colère
- on récolte ce qu’on s’aime
- droit aux bites/aux putes
- il mord mais n’est pas méchant, il est méchant mais ne mord pas
- ça change la vie d’avoir un sale air
- le croque-mort est un service après-vie
- quand on est vieux à chaque fois c’est la première fois car on a oublié ses débuts
- on ne sait jamais ce qu’on veut jusqu’à ce qu’on soit en face, la distance éloigne du but
- en apparence faut respecter la loi, encore plus quand on la viole
- d’abord vous réglez vos comptes avec moi, ensuite entre vous
- il n’y a pas de grillage capable de palier à la montée des eaux
- le blaireau te détrousse pendant que tu trousses la catin qu’il t’a présentée
- quelques sous en poche et beaucoup d’espoir dans les yeux
- il faut laisser/remettre l’église au milieu du village
- de la peur à la méfiance à la haine
- partager le monde n’a jamais été la vocation de l’humain
- si c’était ma meuf j’aurai pas à te dire de pas t’en approcher trop près
- nous sommes amis, pas ennemis, nos passions peuvent éprouver nos liens mais pas les briser
- il n’était pas coupable, mais aujourd’hui il n’est pas innocent
- il ne faut pas assurer la continuité des minorités mais leur suprématie par l’amoindrissement de la majorité
- la colère permet parfois de survivre
- mais, on nous a dit de … ! Tu fais toujours ce qu’on te dit ???
- plutôt que de faire semblant d’être comme tous les autres, je préfère affirmer mon choix d’être moi, n’en déplaise à beaucoup
- je ne me nomme pas x ! Mais comment t’appelle-t-on ? On me surnomme y
- je croyais t’avoir perdu ! C’était le cas, mais je suis revenu pour te retrouver
- je ne suis pas seul, je suis toujours en la bonne compagnie de ma solitude
- il était là sur le/las du rivage de l’incertitude, puis il a plongé
- les pierres n’ont jamais peur, du coup elles coulent
- la peur c’est pour les proies, pas pour les prédateurs
- il n’y a qu’en se détachant des pesanteurs du passé qu’on sera assez léger pour affronter l’avenir
- l’éducation se fait à deux et j’ai déjà dit non
- avoir le cul assorti d’épines
- les œufs ne doivent pas danser avec une pierre dans le même panier
- enzyme tryptophane hydroxylase : quand on est énervé cela diminue le QI
- pourquoi c’est toujours après que je sais ce que j’aurai dû dire avant
- je sais où tu habites … chez moi
- pourquoi j’aurai envie de Canigou, quand j’ai du Ronron à la maison
- j’avais des seins en orange, maintenant c’est des melons
- regarde un peu la taille de ses perles
- tes faux-jumeaux contre mes deux orphelines
- ma maman m’a interdit de te regarder droit dans tes œufs d’autruche
- j’ai toujours été le faire-valoir, jamais la vedette
- ce plat servi aux chandelles est aussi froid et fade que mon amour pour toi
- c’est toujours pour les mêmes raisons et le même type de personne qui s’intéresse à moi
- je ne suis pas arrivé là en renonçant mais en dénonçant et en jouant des coudes/couilles
- si elle mord je suis foutu, si elle avale je suis mort
- je peux t’aider à choisir quelque chose parmi les lambeaux de ma vie que j’expose ici ?
- c’est l’odeur la plus insupportable que j’ai jamais senti, et je viens du tiers-monde
- pas question ! Si, … question !!!
- trop fou pour me sociabiliser, pas assez pour avoir un ami imaginaire
- j’aurai dû m’en douter … eh bin non
- calmos Carlos le terroriste
- du bouton d’or du printemps je suis devenu bouton rouillé d’hiver
- quand tu dis « on verra », ça veut juste dire non en fait
- rentre ici pochetron, t’es en retard pour ta dose
- le sport est ma bibine
- je me sens tellement bien, c’est ma gueule de bois à moi
- on a rendez-vous chez x dans il y a 15 mn
- je demande le divorce ! Ah cool, tu m’as rendue si heureuse :-s
- j’en ai assez d’être ta bonne à rien
- si je veux t’étouffer, c’est seulement en te couvrant de baisers
- une femme qui a tellement fait pour moi, sans rien recevoir en retour
- je suis tellement bien rempli que j’en ai fait péter l’élastique de mon slip
- la démocratie permet au faible de répondre à l’insulte des forts, permet de s’exprimer (même si à tort) face à la prise de position des forts
- coup de Jarnac : Un coup de Jarnac est un coup violent, habile et imprévu. Il a pris une connotation de coup déloyal ou pernicieux, qui n'existait pas à l'origine. Dans son sens premier et d’escrime, il s’agit d’un coup à l’arrière du genou ou de la cuisse, rendu célèbre par Gui Chabot de Jarnac, qui le porta lors d'un duel en 1547
- plus qu’une chance, un privilège
- la joie des vainqueurs dans l’extase aussi est démesurée que le désarroi des perdants est abyssal
- je ne veux pas que tu restes avec moi par devoir et/ou pitié
- j’ai décidé de partir … pour nous retrouver
- coup de foudre à w, rupture à x, rabibochage à y, divorce à z
- les souvenirs sont devant nous, on les construits à petit pas en allant de l’avant plein d’élan
- choc à l’arrière : coup de la pine
- t’es où la ? Beh là ! Non, t’es ailleurs, pas avec moi en tout cas
- tes doigts me connaissent par cœur et par cul, trop peut-être d’ailleurs
- tromper c’est le vil du vit (1195 « membre viril » : du latin vectis « levier, barre »)
- moi qui pensais que tu m’avais suivie, tu vois on est toujours trop romantique
- tu veux du champagne ? Quelle délicate et pétillante attention
- il est plus facile de rêver sa vie que de la construire en dur(e)
- un pervers où Poly morfle
- à force de me comparer avec les autres j’en suis venu à me demander si c’était pas moi qui étais anormal plutôt que les autres
- l’Amour c’est comprendre l’incompréhensible
- en pensant « qu’il aille se faire foutre » on pense à lui, si on pense à soi c’est « qu’est-ce que/comment je vais faire sans lui »
- sans paradis ni enfer, les humains se dévoreraient comme des chiens