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Parce que tu es un beau livre…je t’écris!

Publié le 27 mai 2011 par Docteurho

Parce que tu es un beau livre…je t’écris!Encore une fois, je t'écris, sans raisons, sans penser, sans réfléchir…Je suis l'esclave de ta passion et la proie de tes vagues qui m'emmènent sur leur écume, voguer dans des flots sans horizons, comme l'immensité de ton être qui se dresse devant moi remplissant le zénith…
Six lettres qui se sont formées en deux syllabes pour faire le bonheur de ma langue, ainsi je chante tous les jours, rien qu'à les prononcer, et mes chants se font sérénades dans les méandres de mon âme qui traverse une nouvelle vie depuis qu'elle sait qu'elle t'appartient comme les rivières, naissant dans les cimes des montagnes, appartiennent à l'océan…Les rivières courent, grondent mais se calment dans le sein de la mer, et moi bien que je sois un torrent qui rugit dans son antre céleste, quand que je chute entre tes bras ou regarde simplement dans les profondeurs de tes mirettes, je me sens aussi fragile qu'une pétale de rose, aussi vulnérable qu'un nouveau né…tu es mon havre, tu es mon salut, tu es mon âme sœur!

Et je t'aime, tout au long de mes journées où je dessine ton visage dans tous mes regards, où je prononce ton prénom dans tous mes cris tus par connivence mais qu'entendent les anges comme un tonnerre dans l'immensité de leur ciel, où j'écris tes louanges dans mes pensées les plus folles…Puis quand vient le soir, je rêve de toi, je m'envole vers toi voyageant dans le temps, outrant les distances, car mon esprit ne connait pas les limites de mon corps, car mon âme est un électron libre qui t'aime sans réserves et qui ne recule ni ne reculera jamais devant rien pour être au près de toi, là où tu distilles ton odeur comme les senteurs du paradis…

Je viens de terminer mon appel avec toi, et il me semble qu'il s'est passé déjà une éternité… Quel est cet amour que je te porte? Quelle est cette magie qui fait que je te désire tout le temps et au delà de ces distances qui nous séparent? Quelle est cette force qui fait couler mes larmes dans le bonheur que tu me fais vivre, avant la tristesse de cette séparation que je suis obligé de consommer tous les jours, au moment où tu me dis au revoir?!

Je suis perdu! Je suis comme un chevalier qui ne sait plus user de son épée laquelle est son seul signe de valeur. Je suis si faible en ton amour, que je ne me bats même plus, car la force qui me fait face me protège, car le feu que tu es me réchauffe et ne me brule pas, car le sein doucereux que tu me donnes m'abreuve et ne m'intimide pas.

Tu es la belle des belle, une merveille signée de la main du grand des cieux, une véhémence auréolée par cette bonté qui se distille dans ton regard comme le sourire édenté de ce nouveau né qui ne sait pas encore être vil… Tu es une fée, car tu exhausses tous mes vœux et tu berces mes rêves de gamin…ce même gamin dont je revis les nuits enchantées, si je ne l'ai pas été pleinement avant. Tu es une muse, car tu me taquines l'esprit et tu m'inspires des phrases toutes faites, folles, orageuses, pulpeuses, sensuelles, et surtout parsemées d'un sentiment suave, lequel est comme le nectar qui nait dans la racine de tes cheveux, puis se distille dans l'odeur de ton corps et que je hume à en atteindre cette ivresse titanesque, où je m'abandonne comme un blessé à mort se laisse aller aux dernières effluves qui traversent sa gorge pour se rappeler de l'odeur de la terre qu'il quitte…

Or moi je ne te quitte que des yeux ou de mes autres sens, jamais de l'esprit qui aussi libre qu'il est, rode autour de toi dans ton sommeil angélique et se glisse entre tes vêtements et ta peau pour être au contact de ta chaleur qu'il ne quittera un jour que quand il sera rappelé par la mort…Et là, je te promets que même outre tombe, je t'aimerai encore comme je t'aime aujourd'hui et comme je t'ai aimée hier…


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