- "Si vous fermez la porte à toutes les erreurs, la vérité restera dehors." Rabindranath TAGORE
- Différence entre pute et banquier : les deux vous pompent mais avec le banquier ça fait mal aux couilles et au cul
- Je suis plus passionné qu’intéressé
- "L'Homme est une prison où l'âme reste libre" Victor Hugo
- des lois dont nous ne maitrisons pas les codes
- J'ai jamais eu l'impression de t'avoir manqué, et je crois qu'à force t'as arrêté de me manquer aussi !
- Je savais que le sexe servait à la reproduction mais pas que c’était agréable et apportait tant de plaisir
- Et on fait quoi tous les 3 ? Vous je sais pas mais je vous laisse tous les 2
- Le hasard a merdé sur ce coup-là
- Critique du hasard, pas de ma réaction
- Au hasard je préfère le fair-play {conduite honnête dans un jeu, puis dans toutes circonstances. Utilisé couramment dans le monde du sport, ce terme recouvre à la fois le respect de l'adversaire, des règles, des décisions de l'arbitre, du public et de l'esprit du jeu, mais aussi la loyauté, la maîtrise de soi et la dignité dans la victoire comme dans la défaite. Le terme fair play est une expression anglaise composée de fair (« clair, franc, honnête, sans tricherie ») et de play (« jeu »)}.
- Dans le cornichon je mange que le nichon, le cor je te le laisse
- C’était pas ma question ! C’était quand même ma réponse
- Libère-moi et après tu fais ce que tu veux
- Je suis pas énervé mais ça va quoi, merde
- Tu étais un peu sec, tu m’as froissé
- L’argent ne se compte pas, pas comme les amis
- Elle a des ressources/talents caché(e)s, peu de gens le savent, t’imagines même pas tellement c’est énorme
- Le temps passe vite en bonne compagnie … je parle de la musique là
- C’est marrant, toi ça te fait rire, moi ça me fait pas rigoler
- T’inquiète, j’attendrai qu’on soit rentré pour que tu te fasses engueuler
- À une carte près j’avais une paire de 3
- En sexe comme dans la vie, des fois t’es devant, des fois t’es derrière
- Ce que je n’ai pas en taille je le compense en étant odieux
- Maintenant que j’ai x, y va tomber comme un domino
- Presque pleine même si à moitié vide
- Reine des princesses qui court sur ton corps
- Pas assez de ture dans ma culture
- Je suis un homme qui n’aime pas les hommes qui n’aiment pas les hommes qui aiment les hommes (anti-homophobe quoi)
- À l’intelligence, car la santé on l’a
- Le boudin, y a que ça de bien
- Sans vin, c’est moins bien
- Sans préchauffage y a claquage
- Elle parle beaucoup et moi je dis rien
- Monique au pique-nique, pas de panique, y a pas de hic, 2 qui la tiennent 3 qui la niquent mais je préfère la tenir et m’abstenir, je laisse ma place aux copains qui passent
- l'utopie comme une belle éjaculation de millions de solutions
- pourvu que le faux-pas ne devienne pas une rechute
- j’ai bien compris que t’avais compris, mais t’as compris quoi exactement ?
- toucher le fond de l’abjection
- je préfère le vin d'ici que l'eau de là
- ce que je vois d’elle flatte son allure, mais ce que je ne vois pas d’elle alimente mon obsession
- je craignais de savoir d’où venait cet argent louche, mais tant qu’il continuait de couler à flot je préférais ne pas savoir
- aujourd’hui, demain et à jamais
- artiste : artilleur-artificier d’artificiel
- créacteur : créateur pour l'angoisse de qui créé (cf. film de Dupontel) et acteur pour la participation active et avant tout orientée vers le don de soi et de l' "œuvre" au public et l'engagement dans la vie intellectuelle/émotionnelle de la société ! créacteur >> enjeux humains/enjeux de territoire >> plus largement, enjeux de société >> recréer la société en reliant les choses aux êtres ou les êtres entre eux et en eux
- Je me désigne moi-même en tant que juge, jury et bourreau
- Cœur d’enfant dans corps d’homme
- lâcher un poisson rouge dans un bocal de piranhas
- dur est un mot faible dans ce cas
- commence pas l’intro si tu sais pas faire la suite
- les femmes veulent changer l’homme mais non, les hommes veulent garder les femmes pareilles mais elles changent
- t’as les surpiqûres du pont Levis qui pètent
- les coïncidences se produisent d’autant plus qu’on y prête attention
- ce n’est pas le manche qui n’est pas accroché, c’est toi qui n’es pas accordé
- gratter la vie, sucer le moment
- tu subodores mes sentiments en l’instant
- la vie est une vaste plaisanterie : un voyage trop solitaire et mélancolique pour être pris au sérieux
- Ris et tout le monde rira avec toi, pleure et tu seras le seul à pleurer
- « J'ai tellement besoin de temps pour ne rien faire, qu'il ne m'en reste plus assez pour travailler » [Pierre Reverdy]
- Pistes d’aujourd’hui sont les sentiers d’hier et routes de demain
- L’eau et la terre délimite les pays et les communautés
- L’eau qui stagne finit par croupir
- accroche-cœur : petite mèche de cheveux en forme de boucle, collée sur la tempe
- jamais surpris jamais déçu
- l’union fait plus souvent la farce que la force
- les vacances, on devrait en faire une profession
- une baleine produit 11 m3 d’huile et Hubble fonctionne grâce à elle
- "On n'est pas artiste sans qu'un grand malheur s'en soit mêlé ". Jean Genet ; on peut s'emmêler dans les malheurs sans devenir artiste. Jean Genet a pour moi raison, mais condition nécessaire et pas forcément suffisante
- Tu seras aimé lorsque tu pourras montrer ta faiblesse sans que l’autre s’en serve pour montrer sa force. Adorno
- aussi confit qu’une cerise dans une bouteille d’eau-de-vie
- "La vérité de demain se nourrit de l'erreur d'hier..." Antoine de Saint-Exupéry
- on veut tous la mort du travail mais c'est lui qui nous tue
- L'égo, un Je de construction
- "Les femmes préfèrent être belles, plutôt qu'intelligentes parce que, chez les hommes, il y a plus d'idiots que d'aveugles."
- Le refus d'assumer n'est pas toujours du côté où on l'attend (contrairement à l'hypocrisie)
- l’apogée est déjà le début d’une chute.
- une inquiétude bien plus forte que la déception
- L'alcool comme seul médicament trouvé pour éteindre quelque chose qui brûle en soi, un liquide inflammable qui, au bout du compte, continue de le consumer
- "Le péché est la seule note de couleur vive qui subsiste dans le monde moderne (terne)" Oscar Wilde
- moqueries des uns vite balayées par les encouragements des autres
- tiraillé entre mes intérêts et mes convictions
- si tu veux la prendre faut s’attendre à quelques tourments au tournant
- ma frite envoie toujours la sauce blanche dans la salade de son kebave
- c’est excessivement énervant
- chaude du cul mais pas sexperte
- on peut être bon parce que c’est le cas ou parce qu’on a un esprit critique limité
- il est tout saoul tout fou
- il n’y a pas d’imposition dans les positions
- quand tu te fous à poil d’entrée de jeu c’est que t’as rien d’autre à montrer
- vous chantiez, et bien gogo-dansez à présent
- j’entends les beaux parleurs alors qu’il n’y a pas de hauts parleurs
- les paroles nous portent, suffit d’écouter plutôt que de se contenter d’entendre
- soirée coke au vin
- souvent les lentilles desservent le contact
- dolce folia in la vida
- ce qu’on ne sait pas par soi-même on ne le sait pas
- bois un coup avant de lui mettre un coup
- bon cul, bon coup, bon plan
- tant que t’es dans le même état d’esprit y a pas de souci
- beaucoup de gens savent, mais encore plus oublient
- y a pas plus triste que ça mais c’est la vie
- contrairement aux femmes, quand j’ai mal à la tête j’aime qu’on me suce : l’orgasme fait passer la douleur
- qu’est-ce que je peux lui apporter à part mes 22 cm ? Euh non, 17, j’ai vérifié, mais ce que tu lui apportes c’est juste toi
- le sexe avec elle c’est d’abord Disneyland, puis Space Mountain et finalement Waterworld
- comme nous tous je suis fou, mais moi j’hallucine pas sur la réalité
- de l’affection avant l’affliction
- plus t’es amoureux moins tu kiffes
- la vérité c’est quand tu jouis et après tu te demandes ce qu’elle fout là
- elle me fait profondément frétiller
- elle est hyper ouverte sur tous les autres que moi
- nomadisme sexuel
- couple = monopole du propre corps de l’autre
- il n’y a pas de plaisir sans désir, sauf avec la drogue
- on ne peut pas assortir des balles de ping-pong avec des boules de pétanque ; on ne peut pas jouer à la pétanque avec une raquette de ping-pong
- poker : il tire sa dame du jeu
- il n’a pas eu beaucoup de trèfle dans sa vie : faut dire qu’il a du cœur mais surtout du pique et se tient rarement à carreau
- comme au poker et dans la vie : je ne suis pas
- tout dans la gueule, rien entre les mains
- tu peux pas gagner plus que tu ne mises/devises
- qu’est-ce qui se passe ?, ça ne passe pas, je ne suis pas dans la place
- elle a pris un coup de chaud en plein hiver
- qué calor dans mon corps senior
- pas de pion, ni roi ni reine, que des fous qui avancent en diagonale jusqu’au Math’
- c’est quand tu es au plus profond de la mélancolie que tu (te) touches le plus [à] toi-même
- après le gros rouge et le pétard, c’est le champagne et la c
- le héros désabusé est rentré dans le moule, il est tombé amoureux ce con
- ricochet d’énergie sur la mare de la vie : grosses vibes puis encéphalogramme calme plat
- chat : c’est toujours intéressant d’avoir une boule de poil à caresser à défaut d’un humain
- aérer le smog du smoke
- tout ce qui est liquide, comme les enfants malléables, si tu ne mets pas de barrage ça se répand tout partout
- si je puis me permettre pour ne pas me faire mettre
- trop de sorcières pas assez de fées, trop de surréalisme et pas assez de magie
- cet état-là, tu vois c’était ça
- je croyais que tu m’aimais assez pour accepter que je t’aide
- belle à regarder, dangereuse à fréquenter
- les contraintes que l’on se fixe sont plus faciles à supporter, même si elles sont imposées par des influences extérieures
- moins t’as d’espace plus tu entasses
- la jaquette se finit en queue de pie
- je suis pas loin de l’avoir, si je positionne bien mes doigts
- y a pas de vague dans leur couple mais beaucoup de roulis puis des déferlantes
- je veux bien un verre vide, pour mieux le remplir
- ça part en couille, je relève le des filles
- ça s’enflamme et ça déclame
- je lui ai tout donné alors qu’elle n’avait rien
- tel mépris qui croyait prendre
- si t’es un homo refoulé, soit défoulé et ça ira mieux
- y en a qui changent de paradis, d’autres de paradigmes
- un nostalgique du futur est quelqu’un plein d’espoir
- j’en ai embrassé des princes, mais que qui crapotent
- ils se sont connus à 300€ par mois
- c’est comme les cerises, je ne partage pas
- intrusif chez les autres, exclusif chez lui
- j’ai perdu la tête quand elle m’a fait une sucette, j’ai perdu la raison chaque fois que j’ai vu son fion
- je la suis partout, pire qu’un toutou à sa mémère
- tout ça après, tout ça à près
- un soir de fondue tu me raconteras tout ça
- je suis bourré mais faut pas déconner avec moué
- des fois, vaut mieux le vomi
- si t’as pas connu l’Anfer, t’as encore rien vu/entendu
- mets-nous du silence
- je ne sais plus où donner de la tête du nœud, je suis au bout du bout
- non, un tant soit peu, rien du tout, ça dépend
- L'atrazine est l'un des herbicides les plus largement diffusé aux États-Unis, avec 76 millions de livres répandues chaque année[13]. C'est probablement l’herbicide le plus répandu dans le monde. Il a été démontré dans certaines expériences par le biologiste Tyrone Hayes de l’Université de Berkeley que l'atrazine était une substance tératogène, et que, même à des concentrations très faibles de l’ordre de 0,1 partie par milliard, elle pouvait féminiser les grenouilles mâles en induisant la production d’œufs par leurs gonades, ce qui transformait effectivement les mâles en hermaphrodites[14]. Hayes a également constaté que l'atrazine pouvait faire baisser le taux de testostérone des grenouilles mâles à des niveaux inférieurs à celui des femelles[12].
- Distance ano-génitale deux fois plus grande chez l’homme que chez la femme
- la question n’est plus « quelle Terre allons-nous laisser à nos enfants ? », mais « quels enfants allons-nous laisser à cette Terre »
- l’avantage de l’autodérision est que tu casses toi-même ton image, ça fait moins mal au final que si les autres le font
- elle se dérobe quand je la dé-robe
- si tout le monde est couché, c’est toi qui prends
- c’est forcément malgré toi que t’es un tricheur
- fait durer le suspense dans la montée en puissance
- avec elle, c’est soit moi soit elle
- emballé c’est pesé, couché c’est gagné
- c’est dur … et c’est bon comme ça
- je te suis autant que je peux
- c’est vrai ou c’est pas vrai ? C’est pas faux !
- même pas étonné, ahuri
- éteindre la femme qui nous habite
- femme-homme : après un moment faut pas que recevoir, faut aussi se donner
- faut en faire assez sans en faire trop
- le bonheur va vers les gens qui savent rire/jouir
- autant plein d’amour que de colère
- pour ne pas te faire le déshonneur de dénigrer/railler tes dires, on n’écoutait pas
- quand on est à l’aise avec l’autre, pas besoin de faire style on est normal, on peut rester naturel, soi-même
- j’ai pas bouffé de Schtroumpf en gélatine, j’ai sucé des Bleus
- elle est non seulement hautaine mais en plus teigne
- c’est dommage que ce prince charmant soit avec la sorcière Carabosse
- j’en avais une vague idée, j’en ai confirmation
- oublie ce que je viens de dire ! J’ai pas entendu !! Oublie ce que t’as pas entendu !!!
- ne demande pas, je ne répondrai pas car je ne sais pas, j’ai oublié
- on aimerait bien mais l’alcool n’excuse pas tout
- la carte n’est pas le territoire
- profiter des bonnes résolutions d’autrui
- je suis le premier à dire que la drogue n’est pas un médicament, mais je ne suis pas le dernier à le faire
- la transition doit être de courte durée pour ne pas écœurer
- jeu du chat et de la souris … plus le chien
- libre mais pas forcément disponible
- bouge seulement et je t’en roule une
- assume ce que tu ressens dans ton cœur
- j’annonce la couleur du string avant le strike
- je me demande si je ne suis pas homo, ou au minimum bi
- tout le monde prend, personne ne donne
- du pochon pour les ex-pochetrons
- je ne veux pas une femme, juste une meuf
- soit tu l’abordes puis tu la bordes, soit tu te sabordes
- t’en vendras moins, t’en prendras plus
- voici un tir à faire pâlir d’envie la Nasa
- faut que je me lave la bite et change de slip
- raveuse rêveuse ravageuse
- tu n’as pas vu le jour, vois au moins la nuit
- même si je suis fou, je m’en fous
- cueillir la pomme du péché, bien mûre, juste tombée de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, ni trop verte ni flétrie, encore moins toute pourrite
- je ne fais rien et je me repose de mon inactivité intense
- le jour où tu ôteras ma bite de ta tête, quand je la sortirais de mon slip ça ira encore mieux
- je n’ai rien dit ni fait, j’y ai même pas pensé
- depuis le temps que je la pratique, je la connais un peu
- je ne la reconnais pas, je ne la connais plus
- ah ça, pour ça il envoie le bois
- le pâté est pas top
- je suis tombé amoureux, mais mal tombé
- des millions de grains de sable minuscules ne sont jamais que l’érosion d’un bloc de pierre massif et dur
- sourires entendus entre nous mais sourds aux autres
- n’ayez pas peur du bonheur
- les paradoxes ont la vie dure
- ride the fire
- disette de nourriture affective : moi j’étais un crève la dalle mais elle n’avait pas faim de mon buffet en acier
- j’ai même pas le temps de me trouver une femme pour me reprocher mon emploi du temps trop chargé
- vas t’en vite si tu veux bien
- je suis vivant, je ne le sais que trop bien
- qui a bu fumeras, qui a fumé boira, c’est le mouvement perpétuel des drogués
- je finis toujours mon verre avant de le renverser
- ça fait un peu mal au cœur, mais encore plus au cul
- j’avais une meilleure main mais je n’avais pas confiance en elle
- c’est à toi de parler, mais t’es tout seul, tout le monde s’est couché
- bon allé, je paye sans conviction, juste pour voir
- c’est mon ass qui me sauve
- la bise, avec la langue, puis la turlutte
- il est aussi profond que sa dépression
- la personnalité est comme un diamant, multi-facette et quand une moitié est à la lumière, l’autre est dans l’ombre ! Un diamant que l’on taille puis poli pour perdre un peu en carat mais gagner beaucoup en éclat
- attirances et dépendances de la vie
- il faut une théorie pour voir le monde (Cyrulnik)
- peut importe l’exemple, l’argument est là
- le clip est meilleur que la musique
- c’est quoi ce que tu notes ? Si seulement je m’en rappelais !
- les drogués sont des pyromanes du cerveau cramé, des têtes brûlées
- intégrité dans l’intégralité
- in extenso, ex nihilo
- c’est ce que je voulais dire ! Oui, mais tu ne l’as pas dit !!!
- petit moineau deviendra grand corbeau
- la légèreté ne fait pas la licence
- tu prendras bien un coup sain
- la conception est bonne, c’est la finition qui est mauvaise
- sans dire de mal, mais quand même pas bizef, nib, peau d’zob, makach walou, de bien
- pour moi c’est navrant, pour toi c’est dégradant
- On le vante beaucoup pour peu de chose