- Un de ces voyages qui commence en fin de piste
- L’esprit trépasse là où la télé passe trop
- Elle a bu ? Non, elle nous en sort/fait une comme ça par jour, et encore là elle est soft !
- Quand je regarde X, je vois qu’on a peu ou plus de point commun
- Il est mignon, dommage qu’il soit idéaliste
- Seule différence : l’argent a remplacé les idéologies
- Dans mon jardin secret les mauvaises fleurs ont toutes fanées
- Pas peureux comme crevette, courageux comme crabe
- Je ne suis pas tombé dans les pommes, mais j’étais aux fraises, au raz des pâquerettes en m’évanouissant dans le fruit de la passion
- Il est mort avant même d’avoir eu le temps de devenir un légume
- Quand t’es blessé, faut évoluer et/ou se renforcer pour continuer tout en étant soulagé
- Mort tu seras plus utile que tout ce que tu aurais pu faire de toute ton existence
- On tue et meurt pour des bouts de terrain
- Que puis-je faire face à cet enfer qu’est la loi ?
- Nouvelle recrue indocile mais excellente
- Aussi obstiné qu’incontrôlable
- C’est tendre toute cette tendresse attendrissante
- Là où X était une fin, Y sera un nouveau commencement
- N’attache jamais mes ailes car je m’envolerais de toute façon mais pour sûr je ne reviendrai plus sur mon perchoir
- C’est normal qu’il y ait toujours quelques petits défauts
- Il en faut peu pour te faire changer
- Je m’incline devant la logique implacable de tes arguments
- Si ce soir on discute, demain on aura des regrets
- Est guérisseur celui qui a pu/su surmonter son propre handicap
- Tombe de Caïn : œil qui regarde, bouche qui punit
- Qui me jugera ? Moi, le seul brave !
- Grand poisson dans une petite mare aux connards
- Plutôt que big-brother il préfère être little-sister
- Combien de Libertés individuelles sommes-nous prêts à sacrifier pour la sécurité collective ?
- Gloomy Sunday : Szomorú Vasárnap (Sombre Dimanche) est un morceau de jazz écrit en 1933 par l'artiste hongrois Rezső Seress, en mémoire des êtres défunts aimés du compositeur. Ce morceau, très triste et mélancolique, est devenu célèbre, principalement parce qu'il a été interdit dans la plupart des établissements de Budapest qui craignaient de pousser leurs clients au suicide. La version de Billie Holliday a été interdite par la BBC en 1941, sans doute à cause du contexte de la seconde guerre mondiale où les censeurs avaient tendance à interdire les chansons considérées comme déprimantes[2]. L'ironie du sort veut que le compositeur se soit lui-même suicidé en 1968. Le morceau est devenu une musique de fond courante durant la fin des années 1930 aux États-Unis, pendant la grande Dépression.
- Ça a fini par arriver, t’as perdu la boule
- La page blanche est le seul espace où tout est possible
- Je suis plus malin que je n’en ai pas l’air
- Voilà voilà, je suis là
- Ce n’est qu’une petite part qui reste du moi d’autrefois
- Étrange combinaison de curiosité sans perversion
- C’est arrivé qu’une seule fois mais je me prends quand même pour un salaud
- Dormir près de toi et te Respecter suffit à mon bonheur
- Baisse le capot, on voit le bonheur
- Calme toi ! J’ai jamais été aussi calme
- Je l’ai traité de vieux con … alors qu’il n’est pas si vieux que ça
- Après moi, le foutoir
- Le temps n’est jamais aussi long que quand on l’observe s’écouler
- Tes rares cheveux gris sont signe d’une sagesse exquise
- Ça va, je connais la personne, le personnage
- Qui ne la connaît pas ?
- Toujours sur les gros coups à ce que je vois ma belle ?
- Greluche pour une femme, alors que greluchon est l’amant de cœur d'une femme entretenue par un autre homme (« saint fabuleux du Berry qui guérit la stérilité », cf. le dicton aller au pèlerinage à Saint-Greluchon pour avoir des enfants frisés. Le nom de ce saint de fantaisie est issu d'un calembour obscène sur greluchon et grelot (proprement « clochette » d'où « testicules » p. anal. de forme ; cf. ses autres dénominations : saint Génitour, saint Phallien en Berry)
- Pistolet à délice sorti du holster
- Je transforme les ah ! en oh !!!
- Tu es séduisante, je suis un homme, on a le droit d’avoir des pulsions
- J’aime tout ce que je suis, elle-même à l’air de l’aimer encore plus
- Eh beh, tu parles d’un bonheur
- Y en a qui le disent avec des fleurs, d’autres avec des gants, moi je suis cash-direct
- Femme surprise à moitié prise
- C’est pas trop court/provoquant ? Tu es déjà trop habillé à mon goût !
- Tu as des yeux à faire tourner le manège avant de faire la bête
- Tu peux m’ôter un doute pénible ?
- Réponse courte oui avec si, réponse longue non avec mais
- Tu dois être très riche ? Non, juste très dépensier !
- Un chef a bien le droit de se laisser faire lécher le cul
- Elle est pas belle la vie avec une carte de police ?
- Excuse-moi de te demander pardon ! On dit « je vous prie de bien vouloir m’excuser … » !!!
- Les cafards ça s’écrase
- Dans un match gagnant Vs perdant, l’important est d’être gagnant
- Sois con en silence
- l’amitié est une sorte d’amour
- Te garder près de moi, un ami pour la vie au risque de franchir l’irréparable un jour et te perdre ? Te vivre en moi au risque que les sentiments se ternissent un jour et te perdre là aussi ?
- Je n’ai rien à dire, tout à écrire
- Je doute de tout et de tout le monde
- Prises écouteurs : guys and dolls
- Le temps est pour certains une catastrophe ; pour d'autres, comme toi, il est une apothéose
- chercher des réponses alors que je ne me questionne pas encore
- les mots sur les maux
- mes yeux se seront fermés sur tes frasques et auront coulé devant toi
- il ne faut pas… mais bourrés comme nous serons… nous ne serons pas aptes à réfléchir…alors nous ferons l’amour maladroitement, ça sera fort (à défaut d’être beau, n’oublions pas que nous serons ivres !)
- Au petit matin, outre le fait d’avoir la gueule de bois, j’aurai un sentiment de malaise certain… parce que nous deux c’est autre chose, que je n’ai jamais envisagé un « nous »
- alors je partirai sans bruit, je t’éviterai quelques jours ou plus encore… incapable de savoir où j’en suis… je te reverrai mais il n’y aura plus les danses et les ballades la nuit… parce que je n’aurai plus confiance en nous
- Si je fais de toi mon amour je te regarderai avec des yeux qui brillent, des yeux qui te veulent et des yeux qui te tueront … parfois
- Je déploierai une énergie folle à faire en sorte que tes chutes soient les moins brutales possibles, même s’il faut morfler un peu au passage… çà sera le prix à payer pour ne pas te voir te perdre quand tu es tout en bas.
- Tu ne sauras pas tout de moi, je te laisserai des morceaux du puzzle… il te restera la lourde tâche de les trouver et d’y mettre du sens… et à la longue un jour je te reprocherai de ne pas bien me connaître (en vraie fille que je suis)…
- Tu auras le pouvoir de me briser d’un mot ou d’un regard.
- Je t’aimerai au point de me laisser apprivoiser le cœur et le corps, m’abandonner à toi.
- Je crèverai par tes absences tout en disant que je veux être libre, que je préfère la torture du manque plutôt que la lassitude de la routine, parce que nous valons mieux qu’une liste de courses en commun sur la porte du frigo.
- Et si un jour nous nous perdons dans le quotidien, j’en oublierai pourquoi je suis là avec toi, je finirai par haïr tout ce que j’ai aimé chez toi, parce qu’il me sera plus facile d’en passer par la colère que d’admettre que je me suis perdue en chemin… Tu tomberas dans mes pièges et nous roulerons dans une vague de mépris… sans trop boire de tasses… je l’espère.
- je ne crois pas une seconde en l’amitié garçon-fille, du moins je n’y crois plus… ou disons plutôt, pas l’amitié telle que je la conçois
- Au mieux, faire parti de la bande de potes qui fait marrer, avec un simulacre de bons sentiments… avec beaucoup de « rien à secouer » dedans…parce que les potes çà sert à çà, s’attacher sans aimer.
- je rêve de l’alter-égo qui me ferait croire en tout ce que j’ai toujours douté
- Vivre c’est se mettre en danger, prendre le risque de se faire mal, de perdre… se perdre … la vie est courte… à chacun de choisir s’il faut la vivre ou la subir
- il ne faut jamais regretter ses choix, si "mauvais" eussent-ils été
- si on savait tout ce que l'avenir nous réserve on ne ferait plus grand-chose
- y a rien de plus chiant que de suivre le cours du destin
- Une faconde : grande facilité de parole
- l’eau n’était pas bien profonde mais j’ai bu la tasse quand même
- la liste des choses que je connais mal tiendrait sur un timbre
- la curiosité est souvent plus forte que la prudence, et des fois tant mieux
- Faut demander un tonneau pour avoir une bouteille
- Gratter le passé pour y peindre l’avenir
- Tout reconstruire à partir d’une base saine
- « Tout le monde savait que c'était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas. Et il l'a fait » (Pagnol Vs Twain)
- ça tu le sais après, ça peut être le nirvana comme la grosse cata
- c'est pas tout ou rien, ça peut être moyen moins
- je m’en tâte les tétons
- morigéner : Former les mœurs de quelqu'un, instruire quelqu'un aux bonnes mœurs
- trouve la star du X en toi
- sans un minimum d’hypocrisie on ne pourrait pas se fréquenter
- je te rembourse par mes bourses, en liquide, cash-direct
- si je t’envoie sur les roses, ensuite j’en sucerais les épines une par une.
- tu me suis ? Je te précède oui !
- ne m’oblige pas à réduire les moyens de tes ambitions, ce serait dommage pour tous les deux
- faire de toi ceci, en plus de moi, est une bonne raison pour plus de nous
- tu crois qu’elle va me pardonner ? T’en as vraiment envie ???
- je me sens tout étourdi, c’est la chaleur de sa moiteur/son humidificateur
- j’ai souvent pensé à toi, mais un jour je t’oublierai pour recommencer à vivre
- T’es méchant, tu n’aimes personne ? Comme qui ??? Ça c’est à toi de trouver !
- Même si t’es mort de faim, n’attends rien et c’est là où tu seras servi
- Tu me dois au moins la fureur de jouir
- De deux choses l’une : soit nous ruminons notre échec, soit nous essayons de le comprendre, voire de clôturer l’affaire
- C’est même pas de baise dont je te parle, ça je peux me débrouiller toute seule, mais d’Amour et sentiments
- Tu regardes mais ne vois rien
- Au son de sa voix … ouahou
- Tu es plein de surprises ! Encore plus que ce que tu crois
- Comment pensais-tu que j’étais ? Différent !
- Je lui ai dit que c’était non ! Non, dis-lui que c’est oui !!!
- J’avais vraiment besoin d’une bonne petite catin
- Émouvante et éprouvante
- Je préfère plus rien maintenant que trop peu après
- Mon slip ne parle pas, il hurle
- Je veux un grand lit double, le plein du minibar et un « Do not disturb »
- D’abord on fait l’amour, ensuite on voit si on a bien fait … de le faire
- J’ai une flasque dans ma poche ! C’est ça ? Non, mais continue de dévisser !!!
- Tu te faisais passer pour meilleur que tu n’étais, t’es encore pire que ce que je n’imaginais même pas
- Ne dis pas des choses qui seraient définitives
- Je hais l’amour des autres couples
- Il faut que je casse ce mariage tant que je suis encore jeune et beau
- Je pleurais intérieurement tellement j’avais mal
- "grâce" à toi, je me suis surpris à devenir égoïste
- Je ne suis pas que ça, même si je suis beaucoup ça
- Pas fâché, juste profondément déçu
- Couple improbable mais conjoints complémentaires
- Partagé entre crainte et curiosité, je pointe quand même le bout de mon nez
- Dans sa quête de pouvoir, sur le piédestal de sa tour d’ivoire, il a perdu pied avec la réalité
- Ma tâche est dure et pénible mais je dois l’exécuter
- Toujours prêt à tout mais à jamais bon à rien
- Qui ose, gagne
- Je sais ce qui m’attend et pourtant je vais de l’avant
- Les grands rêves s’atteignent par petits pas
- Tu peux faire ça pour lui, c’est ton ami
- Je préfère mourir que haïr
- Devenir adulte c’est éprouver la solitude, notamment dans ses choix
- Les cicatrices nous rappellent que le passé n’a pas été que "rêvé"
- Ce trou, c’est là où je t’ai conçu
- Jusqu’à la fin, si y en a une
- Comme tous les joueurs imprudents, je sais quand arrêter : jamais
- Foucade : Impulsion vive et passagère, comportement capricieux. Synon. caprice, coup-de-tête, lubie, toquade
- Fanfaron : Qui affecte la bravoure; qui cherche à s'imposer par le verbe ou l'attitude en exagérant son mérite et son courage. (Quasi-)synon. bravache, hâbleur, vaniteux.
- Juste avant de connaître le bonheur, une petite voix m’a dit que je ne le méritais pas, une autre voix m’a dit que c’était bien vrai
- La vie change souvent de musique/mélodie/tempo, mais faut toujours continuer de danser/chanter
- Les meilleurs conseils d’éducation viennent des poivrots sans enfant
- Mon innocence est morte avec/dans les douleurs de la vie
- Il n’a jamais franchi la ligne jaune même s’il a souvent attiré l’attention
- Les nonnes ont les voies aussi impénétrables que celles du seigneur
- Le hasard est pour les gens qui se croisent, nous on s’est rencontrés
- Cette fille je l’aime, je ne te la prends pas, c’est elle qui te quitte
- T’es peut-être pas celle/celui qu’il me faut, mais t’es celle/celui que j’attendais
- C’est fou ce qu’on peut oublier quand on est amoureux
- Pour te voir sourire, je te suivrais en enfer
- Elle m’avait sauvé, mais je n’ai pas su la protéger de moi-même
- Je vous salue bien las
- La fleur au fusil et la capote au couteau
- T’es à l’abri des tentations et moi des emmerdes
- Je ne suis pas homo, juste bi yourself comme pas tout le monde
- Ce n’est pas que les milieux de la haute qui sont les plus fermés, ceux de la hot aussi
- Si belle, si fragile
- Elle a des courbes aussi généreuses que celle de Lombard street à San Francisco
- L’orgueil masculin plaide la mauvaise foi
- Je vais entrer dans le guiness book des records comme l’homme le plus heureux du monde
- Dans la vie il y a des choses qui méritent un plan de secours, mais l’amour n’en fait pas partie
- On est sans censure et surtout on a des choses à dire
- Le silence est le bruit que fait le temps en passant
- L’ennui est le sang qui s’écoule de la blessure du temps
- Quitter la pièce enfumée : suicide comme l’appelait les stoïciens
- On vise le livre des records, pas la rubrique nécro
- Le jour où t’as plus peur, tu meurs
- Le seul intérêt de l’enfer c’est d’y retrouver ses amis
- Il faut le vivre pour pouvoir raconter et ne rien trahir/travestir
- Les pulsions humaines sont le plaisir et le désir, sans oublier la connaissance
- Ressentir la dépendance avant l’effet
- Un plan médian sur les médiums, les médias et les messages
- Souvent on se rend compte trop tard de ses limites
- Il y a plein de dangers dans les milieux extrêmes
- On ne peut prendre un départ sans risque, mais on peut les calculer à la louche
- La puissance du rêve m’a confirmé la dangerosité de la réalité
- Nous vivons comme un volcan : quand nous respirons nous crachons du feu
- On n’emmène pas des saucisses quand on va à Strasbourg
- Ne rêve pas mon petit chat
- Je suis piètre avocat de mes propres intérêts
- Plus dangereux qu’utile
- Faut pas plaisanter avec l’humour, des gens en sont morts … de rire
- Voici que s’ouvre le grand livre du temps, avec ses pages blanches à noircir d’expériences de la vie
- L’impossible s’est produit, et même reproduit
- Dysnomie est une fille d'Éris (déesse de la Discorde) et la personnification de l'Anarchie. Elle est généralement accompagnée d'Adicie (l'Injustice), d'Até (la Fatalité) et d'Hybris (la Démesure). Son opposée est Eunomie (l'Ordre civil).
- Si tu veux accéder au château, il faut franchir les douves, à pied par le pont-levis ou à la nage
- Son carburant est nos rêves, son pouvoir est notre imagination
- Espion : corbeau, pigeon et hirondelle (belle espionne)
- Discipliné comme un militaire, incorruptible comme un banquier
- On ne connaît que ce qui échoue
- Je ne pouvais pas ne pas l’interdire, mais son rôle était du coup de désobéir afin de servir mon intérêt caché
- Tant attendu par les uns, tant redouté par les autres
- Branquignol (Dérivé de branque, « individu qui se laisse berner », sans doute de l'argot piémontais branci, « âne », avec suffixe plaisant -ignol ou selon Pierre Guiraud, croisement avec guignol) : Personne excentrique, qui se met dans des situations tragi-comiques ou se plait à les provoquer ; Homme qui n'inspire pas confiance, soit par manque de sérieux, soit par manque d'intelligence.
- Punk = souffre douleur en prison
- Dad is dead