Angela die Große, appelée ainsi en référence à Charlemagne - Karl der Große en allemand - s'est portée garante de l'orthodoxie économique, bancaire et bancale de son vassal, Nicolas Sarkozy.
En s'engageant ainsi vis à vis des sujets de son féal , l'impératrice a montré qu'elle ne tolérera jamais la moindre rébellion de la part d'une population ingrate qui ne comprend évidemment pas la profondeur des problèmes européens auxquels leur seigneur est confronté.Les Français sont un peuple volage et superficiel : il est bon que de temps à autre les dirigeants européens ou même mondiaux leur montrent la voie à suivre pour se conformer à un ordre mondial immuable, dont la finance est un des piliers.
En 1815 après l'épopée napoléonienne et en 1872 après la défaite de Napoléon III et les épisodes de la Commune, rappelons que les Uhlans campaient aux portes de Paris pour remettre ce peuple rebelle dans le droit chemin.
Le Roy des Français, devenu après sa soumission, Seigneur de l'Empire germanique, haut dignitaire de la Toison d'or, prince de l'ordre de Wall Street, duc de la City, grand poussah des iles Caïman, et chevalier du Luxembourg s'est déclaré soulagé par ce soutien qui pourrait se révéler plus brutal si la population française persistait dans le choix iconoclaste de renverser ce souverain.On apprend selon de très bonnes sources que le tsar Vladimir Poutine, la Reine d'Angleterre, le Roi d'Espagne, le technocrate en chef d'Italie et l'émir du Qatar opteraient également pour la réélection de sa Majesté Nicolas Sarkozy envers et contre tout.Fasse que le Dieu chrétien, les adorateurs du veau d'or, les réactionnaires qui préfèrent toujours choisir les forces étrangères à celles leur pays quand la France prend des teintes rouges, parviennent à maintenir un Roy impopulaire mais d'une lucidité implacable, et de surcroit, soutenu par l'unanimité des forces dirigeantes du monde.
Vive notre impératrice, vive son vassal roi des Français, vive l'ordre mondial, vive les valeurs chrétiennes, vive le travail, la famille, la Patrie, vive l'Argent, source de joie et de prospérité, vive la BCE telle qu'elle est conçue, vecteur de la mainmise financière des banques sur les nations.Vive l' Occident, vive l'âme franque ! Vive la reconstruction de l'empire de Charlemagne, vive le grand Saint Empire Germanique de l'Atlantique à l'Oural !
Longue vie à notre impératrice ! Gott mit uns !
Dieu est allemand.
Amen.
À après..
NB : Ce billet n'est surtout pas germanophobe, je ne stigmatise jamais les peuples mais leurs dirigeants médiocres, poussés et aidés par les forces médiatico-politiques qui régissent le pays : Mme Angela Merkel et M. Nicolas Sarkozy en sont les exemples types.Ce texte écrit sur le ton de la plaisanterie cherche à suggérer que seule une Europe équilibrée peut satisfaire ses populations et que l'intrusion dans la politique du voisin est un acte idéologique déplacé à la limite de l'arrogance.
Ce ralliement coutera très cher au président français.
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