- Le talent c’est d’avoir envie
- Enlevez le superflu, ne gardez que l’essentiel
- La musique est la langue des émotions. [Emmanuel Kant]
- la répétition est une forme de paresse d’un esprit sclérosé
- pour la modestie, je ne crains personne (d’Ormesson)
- "Pour aller de l'avant il faut prendre du recul car prendre du recul c'est prendre de l'élan."
- L’aurore s’est retirée pour laisser place au grand jour
- trop d'inconséquences dans ma folle jeunesse m'ont rendue vachement plus raisonnable
- on apprend sur soi uniquement en vivant...même s'il faut se tromper... parfois
- pis si c'était à refaire je ferai la même chose... en pire !
- avec le recul je changerais quelques petits trucs, mais bon c'est passé donc on peut rien y changer, autant l'accepter car c'est ça qui nous a formé
- le courage c'est juste de s'y mettre, après "ça va tout seul"
- fraîche comme la bouteille de rosé de la veille (Florence Foresti)
- pas un marrant mais un marré, pas rigolo mais bon public
- couper le cordon pour revenir au monde
- Nul ne suis ce que je n’ai jamais été et ne le saurais jamais être. Mon beau printemps et mon été ont fait le saut par la fenêtre (Dernière tentation de Krusty)
- Donne une chance au hasard
- Je n’aime pas compter sur la chance, cette fourbe inconstante
- Chaque pas de plus avec elle restera à jamais gravé dans le sable
- hier on c'est rencontré, demain on se retrouvera
- Je l’ai aimée mais encore plus détestée
- Tant que l’oignon n’a pas été consommé
- dénoyauté les olives et retrousser la peau du saucisson
- dans un couple, si tu n’avances pas tu recules
- Si tu n’as pas confiance en toi, moi si
- Aveuglé par ton bonheur tu ne voyais pas mon malheur, que tu provoquais !
- Arrête tout de suite, sinon tu vas dire un truc sérieux et je ne veux que du léger
- Homméopathie : traitement par les hommes, à petite dose
- Je te propose de ne pas dormir avec moi … toute la nuit ;-)
- Je te remercie quand même de m’avoir fait rêver
- J’ai peur de la réponse que je dois donner
- D’abord on se dispute à coup de vaisselle, ensuite on discute sur l’oreiller après s’y être réconcilié
- J’ai acheté cette guenon avec ma grosse banane
- Tu ne dis rien mais j’entends tout
- Là où une huître n’a qu’une perle, elle en a bizef
- Non mais ça va ? Non, ça ne va toujours pas !
- Non je ne souris pas, ça se voit non que c’est plutôt de la gêne
- Humour pour combler l’angoisse du vide/bide
- As-tu connu le bonheur, ta vie a-t-elle donné du bonheur aux autres ?
- Je suis assez fort pour oublier de les détester, pas assez pour leur dire « je t’aime »
- Je te croyais petit connard mais t’es un grand malade en fait
- Ça laisse songeur mais ça ne fait pas rêver
- Je suis là pour jauger, non pour juger
- On n’est pas le produit d’un sol mais de ce qu’on y fait
- La culture est plus forte que l’idéologie
- Ce qui vaut la peine n’est jamais facile
- Ordre et beauté, luxe calme et volupté
- J’ai le cafard et un ton blafard, ça farte pas, je suis sans phare
- Celui qui ne renaît pas chaque jour meurt chaque nuit
- Le pire n’est pas l’échec, c’est de ne pas essayer
- Faire d’une bière deux coups
- Brûler la chandelle par les deux bouts
- Les humains avisés ont l’esprit de contradiction
- L’anonymat est mon nom, le silence ma langue maternelle
- Le vrai le faux, le laid le beau
- T’es têtu comme une mule et deux fois plus laid
- La gouape [de l’espagnol guapo (« coupe-jarret, rufian »)] : Personne peu recommandable, voyou ; Pègre, gens de mauvaise vie.
- La bonne info au bon moment pour que la bonne personne prenne la bonne décision
- Comprendre la Nature, protéger l’environnement
- L’Amour est aussi instantané qu’éphémère et inconditionnel
- Va falloir que je m’occupe de mon couple, et vice-versa
- Penser comme moi signifie penser comme toi
- Mon wonderland c’est womenland
- Cet homme-là, mes gosses l’aiment beaucoup, ma femme encore plus
- Comme on ne refuse pas un cadeau, un homme ne se refuse pas à une femme qui s’offre
- F admire DE mais ne l’aime pas, DE aime F mais ne l’admire pas
- Faut savoir frustrer son public pour le dominer
- Tout ce qui dépasse du cadre te dépasse
- L’heure est venue de brader ma vertu sur le point d’être périmée
- La vie est un jeu de dupe où il vaut mieux être du côté des tricheurs
- Pour échapper à la loi il faut être honnête (Dylan)
- De la flûte de la dérision au violoncelle de la gravité
- Les gens ont besoin de croire en quelque chose et moi je le leur donne
- Ne plus changer le monde mais le quotidien
- quand l’espoir meurt naît la déception
- Une montre arrêtée donne deux fois par jour l’heure juste
- Tu te rappelles de ce que je t’ai appris, n’essaye pas de l’utiliser
- Le succès se paye par la solitude
- Le nucléaire est ce qu’il y a de plus puissant, onéreux et dangereux pour juste faire bouillir de l’eau
- La vie n’est pas bueno mais plutôt bonto : une vaste escroquerie
- Pour aller loin il ne faut pas se précipiter et faire un faux-pas
- Course à l’échalote : Action qui consiste à forcer quelqu'un à courir ou partir en le tenant par le col et par le fond du pantalon. Se dit maintenant d'une compétition (électorale, hiérarchique...), parfois puérile, où tous les moyens sont bons pour arriver le premier. Dans le sens initial, le fait d'attraper quelqu'un par le fond du pantalon, c'est aussi le tenir par la « peau des fesses ». Or, en argot, l'oignon désigne la fesse
- C’est une chose d’être un maillon de la chaîne, c’en est une autre de recommencer une nouvelle chaîne
- le regard des autres n’a plus d’importance, seul compte mon propre point de vue
- Tu l’aimes … Non ! Tu l’aimes !!! … oui
- Je divague encore entre souhait et score
- c’est ce que dit ta bouche mais mes oreilles ne la croient pas
- tout va bien, tant que rien ne vient bouleverser cet équilibre instable
- âme seule en quête d’âme sœur
- le mot que tu cherches c’est Merci !
- En faire moins mais le faire mieux
- La drogue est un exhausteur de goût, de sensation
- Si tu ignores l’enfant en toi tu ne deviendras jamais l’adulte que tu aurais dû être
- la mode est une forme de laideur si intolérable qu’il faille en changer tous les six mois (Oscar Wilde)
- rare mix de mecs prêts à tout mais bons à rien
- la vie change souvent la musique mais on doit continuer de danser
- la culture se crée là où se cristallisent les différences entre générations
- trouver l’équilibre entre être et "penser l’être" (pensait l’être)
- introspection et extrospection
- j’ai plus peur du vide que du trop-plein
- pire qu’un bon à rien, un moins que rien
- tu ne ressembles pas à Robert Redford, mais t’es au moins aussi gentil que lui
- ne jamais commencer une phrase sans savoir comment la finir
- je répugne à mentir, mais quand c’est nécessaire je sais feindre
- si on fait ces choses-là, on ne les dit pas
- 60 000 suicides de retour du Vietnam, plus que morts/drogués sur le champ/la jungle de bataille
- Quel est l’objectif, le but inavoué, de ta gentillesse ?
- Ce n’est pas toute notre relation qui est basée sur un mensonge, juste ce que j’ai dit qui est invalide/caduque
- ET, touche-moi de ton doigt
- Puceron égaré sur épines d’une vieille rose fanée
- L’Apenzell est le dernier canton suisse à avoir autorisé le vote des femmes, en 1991
- quand on ne sait plus choisir, on n’est plus humain
- Envoie-moi dans les vapes rejoindre Alice, au pays des merveilles
- Au fond t’es quelqu’un de bien mais tu ne le sais pas
- Le rhum ne s’est pas distillé et bonifié en un jour
- Je ne suis pas croyant, sauf en l’existence du Père Noël, mais là j’ai plus le choix : SuperMan, au secours !
- Il y a la bonne manière, la mauvais manière et la mienne
- Il y a les choix choisis et les choix subis
- Le pétard colle à ma peau et décolle mon cerveau
- Pourquoi se contenter d’un seul endroit quand le monde vous appartient
- T’es la 5è roue d’une bicyclette branlante à petites roues sur le côté
- Mis à l’écart pour ce que je suis, pas pour ce que je prétends être
- Le destin est le nom qu’on utilise quand on ne connaît pas le nom de la personne à l’origine de nos malheurs
- T’en fais des tonnes et après tu t’étonnes que ça détonne
- En clair, j’ai pas vraiment tout compris ni tout bien
- Malgré la controverse, ou plutôt grâce à elle
- Triomphe Collectif, échec/drame personnel
- Pile, enfin face … euh, sur la tranche
- Parfois de droite, toujours de gauche : de raison à droite, de cœur à gauche
- Apathie dans l’appétit du gain
- Esclave de rien, prisonnier de tout
- Avoir les rênes plus ou moins courtes selon les aspects vers lesquels on veut diriger
- Je n’en appelle à dieu quand que je suis au lit ou au désespoir, des fois les deux combinés
- Prier le pécheur, sermonner le prieur
- J’ai pas quitté le nid, juste sauté dans celui d’à côté
- Laisse-moi rire … enfin, pleurer dans mon cas/coin
- On va se régaler … enfin surtout moi après le repas
- C’est une broutille qu’il soit allé brouter une autre grosse vache
- Raide is dead, désolé
- Qu’est-ce que t’en dis ? J’en dis que tu ne me dis pas tout
- Que tu ne me dises pas tout n’est pas grave, mais ne me mens pas
- Je ne veux pas te mentir, mais je ne peux pas te dire la vérité
- Ça va bientôt être à toi ! Ouais je sais, merci de me le rappeler !! Nerveux ? Non, juste pas envie de le faire !!!
- Ce n’est pas de trop, voire même pas assez
- Garder l’élan de la jeunesse, sans ses illusions
- Venu de loin mais arrivé à temps
- Femme qui rit à moitié dans ton lit, mais c’est la dernière moitié que j’ai du mal à concrétiser
- Dans mon entourage il y a des nuages mais pas d’orage
- Une multitude de détails, de petits riens, qui font un grand tout
- J’entends tout ce que tu ne dis pas
- La flamme brillera moins mais scintillera plus longtemps
- J’ai besoin de toi, pas d’une leçon de moral
- Je ne dirai rien temps que tu ne t’engageras pas
- Aussi heureux qu’Adam et Ève avant que le serpent ne nous envoie tous en enfer, sur terre
- T’étais censé X … puis t’es devenu amoureux
- Qu’on s’occupe de moi mais qu’on me laisse vivre Libre
- Ton odeur est mon oxygène parfumé
- Un rocher auquel tu peux t’accrocher, pas te ventouser
- Ô l’écœure
- Quoi de neuf ? Toujours la moitié de dis-y (dix-huit)
- La tolérance commence quand elle met en cause quelque chose chez soi
- Faire taire le silence
- Tout de go (expression apparue au milieu du XVIIe siècle. Elle est une déformation de l'expression 'tout de gob', gob étant un substantif tiré du verbe gober. 'Avaler tout de gob' voulait dire "avaler d'un trait"), la tête sur le billot (bloc de bois sur lequel on appuyait la tête d’une personne condamnée à la décapitation)
- La danse est de la géométrie physique dans l’espace
- Comme les autres, mais d’une manière différente
- J’ai fait le tour par tous les détours
- Dominé peut-être, soumis sûrement pas
- C’est facile à dire quand on sait faire, c’est "facile à faire" quand on ne sait que dire
- Mi-dieu mi-maître
- Mieux vaut régner en enfer que servir au paradis
- Incapacité de créer entraîne le besoin de détruire
- Plus on contrôle les choses plus on évite que les autres nous empêchent de bien les faire
- Ça ne garantit pas les résultats mais ça évite qu’on soit déstabilisé
- Ça va, ça boume, ça baigne
- Toute petit pièce, unicolore, d’un énorme puzzle de merde
- Les gens prennent ce qui les arrange dans la religion et pour ce qui ne les arrange pas ils disent que c’est la tradition
- Guerre civile entre ceux qui s’inquiètent des dérives du système et ceux qui font avec/ne voient rien
- Poser des questions mais ne rien remettre en question
- Jamais où on l’attend, toujours où on ne l’attend pas
- Le maître du système est celui qui peut détruire le système
- Ton culot/cul haut compense ton talent
- Faudrait une nouvelle guerre pour éclaircir leurs rangs
- Une pauvre paix est supérieure à une riche/puissante guerre
- En t’offrant beaucoup de paradis je cours vers l’enfer
- À quoi tu penses ? C’est secret défense !
- Réponse futée à une question idiote
- Je Kill et Mystère Hide (je tue et le mystère se cache)
- Ne cafte que si on te demande de cafter
- On est toujours l’idiot d’un autre
- Vaut mieux se planter avec panache que réussir sans gloire comme les autres
- X que j’aime contre prières que dieu aime tant
- La peur naît de ce qu’on ne peut pas contrôler
- Refuser le Savoir c’est lâcher le contrôle
- La Mort ne nous facilite pas la vie, elle qui est la fin de notre entité biologique
- À chaque action une réaction (Newton)
- T’encombre pas la tête, y a pas la place
- Quand on contemple son avenir il faut être clair sur son passé
- Toujours penser, jamais agir
- Je n’ai même pas le bleu, ni du ciel ni de l’océan, comme limite
- L’hiver n’est pas éternel, au printemps la neige fond
- À l’agonie le serpent mord plus fort
- On va faire une expérience : toi tu vis ta vie moi je vis la mienne
- Le corps en aventure, elle s’abandonne puis s’endort
- L’homme est le seul animal avec la queue devant et qui court après elle (F-O Giesbert)
- L’amitié c’est l’Amour sans le sexe
- Voir si le gazon est plus frais et maudit chez la voisine/girl next door
- Avec elle, j’ai juste fait du lèche-vitrine, je ne suis même pas entré dans le magasin, encore moins visité l’arrière-boutique
- Tu crois que c’est raisonnable ? Tu m’as déjà vu raisonner ???
- Si c’est elle la guide, je suis bien d’accord pour la suivre et jouer
- Au bénéfice du doute, mais quel doute ?
- Tu ne gères ni ta raison ni ta parole
- Effleure le petit bourgeon et elle s’ouvrira comme une fleur
- Passons vite du monologue interne au dialogue externe
- Les souvenirs se bonifient avec le temps, comme le bon vin
- Montre-moi ce que tu as et dis-moi ensuite ce que tu veux
- on devrait peut-être s’embrasser, ce serait plus détendu après
- grands yeux de chien battu et petite voix d’innocent
- j’essaie de passer un jour pas trop dur en attendant le soir où je me coucherai à tes côtés
- Le tourisme est une arme pour faire la Paix
- T’es politiquement de quel bord ? Extrême-centre !
- Ce qu’il reste est ce qu’on dit ou fait, pas ce qu’on pense
- «Sacrifie un lapin blanc à Spes » (déesse de l'espérance : Spes est habituellement représentée sous la forme d'une femme debout, ou marchant, tenant dans sa main droite une fleur, car là où une fleur apparaît il y a l'espoir d'un fruit à venir. Sa main droite est habituellement employée à relever un pan de sa robe translucide. Quelquefois elle tient dans sa main gauche une corne d'abondance avec d'autres symboles.)
- L’image du souvenir est floue, imparfaite, pas nette
- Je veux voir plus de Laurel que de Hardy (dans la vie, Stan Laurel est l’inverse de son personnage à l’écran, dans le duo, c’est lui le cerveau face au petit gros)
- Je pleure dans l’océan, il n’y a que là que mes larmes paraissent petites
- Seul mon propre succès peut m’arrêter
- La folie c’est répéter les mêmes choses en s’attendant à des résultats différents
- J’étais entré là pour savoir où était la sortie
- entre réalité et désir, entre besoin et ce qu’on veut
- le plus de X dans le moins de Y
- Si t’as besoin d’aide tu ne m’appelles pas, si t’as besoin de rien je suis là pour toi !
- Toute cellule crée son propre tueur et protecteur, et ne survit que si l’interaction est idéale avec son milieu et les autres cellules
- Récit de chacun pour aventure de tous les autres
- ne regarde pas ce que je montre
- situation grave et presque désespérée : les prieurs picolent, les picoleurs prient
- on dit « piégés comme des rats », mais les rats ne se laissent pas piéger si facilement
- mégère (femme méchante, acariâtre, qui s'emporte facilement : nom d'une des trois Furies, déesses symboliques de la vengeance) pas apprivoisée
- se la secouer plus de deux secondes c’est se la tripoter
- j’ai perdu ma crédibilité, j’emprunte donc la tienne
- tes défauts ? Faut prendre du recul pour apprécier une œuvre d’art
- je suis la mascotte d’une entreprise malfaisante