A la découverte de l’exposition Babar au musée des arts décoratifs

La semaine dernière j’étais en vacances et comme à chaque fois je me suis octroyée une journée pour moi, une pour ma fille et une pour mon fils.

Ma journée a été un peu naze, je suis tombée nez à nez avec une pile de papiers que je ne voyais plus bien qu’elle trône dans mon salon depuis plusieurs mois: des courriers sécu, mutuel, des trucs à classer… Et là je ne sais pas pourquoi je n’ai pu fuir. J’ai commencé à trier, à jeter, à ranger… des mots que je ne connais quasiment pas la plupart du temps. J’ai quand même été déjeuner en ville avec une amie histoire de ne pas virer frapadingue par un excès de maniaquerie!

Avec mon 5 ans, nous avons commencé notre sortie par un petit resto mère fils!

Puis métro, direction le musée des arts décoratifs à la découverte de l’exposition Babar.

J’y ai appris l’origine de ce personnage.

Une mère a inventé une histoire un soir pour ses deux garçons dans laquelle un petit éléphant était le héros. Les enfants apprécient tellement cette histoire qu’ils la racontent à leur père, artiste peintre. Ce dernier le dessine alors et en fait même un petit livre pour ses fils. Puis dans la famille demandez moi l’oncle, éditeur qui le publient en grand format en 1931.

Babar commence son envolée et connaitra alors le succès qu’on lui connait en livre et en dessins animés.

L’exposition présente ces premiers dessins animés ou non. Des écrans tactiles permettent à l’enfant de partir à la rencontre des différents personnages ou encore d’en savoir un peu plus sur les techniques d’animation.

Je n’ai pas été complètement emballée par cette présentation mais le musée est magnifique et rien que pour ça, ça vaut le détour.

Nous avons poursuivi notre journée par une balade dans les jardins des tuileries à la découverte du grand crayon plus connu sous le nom de la Concorde! Le temps était maussade mais Paris me séduit toujours autant même sous un crachin et un ciel grisonnant!

Le temps passé avec ma fille a consisté à la regarder dessiner, l’écouter chanter et affiner son langage qui s’enrichit de jour en jour de préférence de la syllabe finale des mots. Elle a passé un temps fou avec de la pâte à modeler à la couper, la triturer, la malaxer.

Quelques sorties à la boulangerie lui ont aussi permis de s’enthousiasmer devant les foufous et les tuituis!

Les jours ont défilé à vitesse grand V mais je me suis tout de même reposée et j’ai bien profité de mes poussins!