C’est une publicité sur la parution du second tome (L’espérance du Cardinal) qui m’a incité à lire d’abord le premier.
Il m’a secouée, entre autres parce que le dernier tiers du livre a été écrit en 2005 dans un centre pour enfants sidéens thaïlandais que je connais bien puisqu’il est situé dans le village où j’ai vécu 8 ans et que j’y passais au moins chaque semaine pour y livrer une commande du Rayong Bakery Project. Ce qui veut dire que j’ai forcément croisé ce cardinal, sans le savoir. C’est dire s’il était discret.
J’ai beaucoup aimé son analyse historique dé-culpabilisante et son prêche pour un retour à l’essentiel.
Et s’il n’y avait qu’une seule phrase à retenir :
Je pose comme principe premier que nous autres chrétiens devons d’abord manifester Dieu avant de songer à convertir ou à convaincre de la justesse de notre foi.