Les parents et futurs parents doivent être informés à quoi ils exposent leurs enfants avant de les faire vacciner. Quand un vaccin est capable de tuer ou rendre infirme à vie, comment peut-il, par ailleurs, donner la santé ? Une vaccination constitue toujours une agression qui laisse des séquelles même si elles ne sont pas visibles dans l’immédiat. Toutes les découvertes de l’immunologie moderne démontrent la supercherie vaccinale. Les anticorps magiques engendrés par les vaccins ne sont pas synonymes de protection. Par contre, l’empoisonnement du corps par le vaccin est certain.
La plupart des accidents post-vaccinaux n’est pas reconnue. La majorité des médecins ne fait pas (ou plutôt évite) de faire le lien avec le vaccin. Souvent, après avoir admis le lien avec le vaccin, ils se rebiffent par la suite comme s’ils subissaient des pressions. La pharmacovigilance ne prend pas en considération les effets indésirables survenant les trois mois suivant la vaccination alors que les symptômes visibles peuvent apparaître à plus long terme. Depuis plus d’un siècle, le dogme vaccinal se maintient par le mensonge et la corruption.
Les laboratoires pharmaceutiques financent les principaux partis politiques. Les médias se contentent de faire scandale sur le dérisoire financement d’un parti politique avec l’affaire Bettencourt.
Voici un témoignage reçu récemment.
Hélas, un cas parmi tant d’autres Bonjour Nous voudrions vous parler d’un enfant qui nous est cher, Adrien, 11 mois, qui était un bébé tonique, sautant sans arrêt sur ses jambes, allant d’un bout à l’autre de la maison dans son youpala. Il y a 8 semaines, Adrien a eu son vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) Une dizaine de jours après, il a commencé à être fiévreux, très abattu. Le premier diagnostic a été : état grippal traité par doliprane (nous étions en pleine épidémie de grippe !) Deux jours après il a commencé à présenter une incontinence en continu visible quand on le changeait. L’urine coulait en goutte à goutte ce qui a été pris pour une cystite et traité aux antibiotiques pendant 5 jours qui n’ont pas réussi à endiguer cette soi-disant cystite. Le plus inquiétant était cet état de fatigue extrême. Adrien ne tenait plus sur ses jambes, ne tenait plus assis, n’avait même plus la force de se retourner dans son lit. Deux consultations en service pédiatrique hospitalier ont été nécessaires pour arriver, après IRM et ponction lombaire, au diagnostic de MYÉLITE CERVICALE rarissime chez des nourrissons (aux dires du service neuro pédiatrie de l’hôpital de la Timone à Marseille dirigé par le Professeur CHABROL, neuro pédiatre) En fait, ce qui a été pris à l’origine pour une grippe et une cystite, 10 jours après la vaccination ROR, étaient déjà les symptômes de cette myélite infectieuse. De là, hospitalisation pendant 7 jours en service neuro pédiatrique de l’Hôpital de la Timone à Marseille avec corticothérapie à fortes doses par voie intraveineuse. Un électro myogramme au niveau des membres inférieurs n’a pas révélé de maladie sous jacente. Adrien est donc sorti pour un retour à domicile avec corticothérapie par voie buccale et 30 séances de kinésithérapie. Aujourd’hui, malgré ce traitement, aucune évolution ; nous en sommes à près de 5 semaines de paralysie. Une visite de contrôle a été effectuée le lundi 12 mars 2012 à l’hôpital de la Timone qui a confirmé la “non évolution”. L’enfant a été à nouveau hospitalisé pour 48 heures pour transfusion d’immunoglobulines. Deux jours après une nouvelle IRM a été pratiquée : les résultats aujourd’hui montrent qu’il n’y a plus d’inflammation au niveau de la moelle épinière et la pédiatre nous a répété que suite à cet épisode il ne devrait pas avoir de séquelles (la grande question est maintenant de savoir si il continue ou non à fabriquer des anticorps qui s’attaquent à sa moelle épinière…ce qui serait considéré comme un nouvel épisode…) Nous avons évoqué clairement la relation de cause à effet du vaccin ROR mais il nous a été dit que « rien n’était prouvé scientifiquement ! » Il est vrai aussi que lorsqu’on été soulevés les effets indésirables des hormones de croissance, du Médiator et j’en passe…. Les personnes ont du avoir la même réponse avec les conséquences que nous connaissons tous maintenant !! Adrien, à l’âge de 2 mois,a été vacciné le même jour contre : INFECTION PNEUMOCOQUE, HÉPATITE B, TÉTANOS, POLIO, COQUELUCHE, HAEMOPHILIUS INFLUENZA B, soit 7 souches ! Nous avons informé la pédiatre de l’hôpital qui nous a reçus le 12 mars dernier que nous allions faire un « signalement patient » à l’AFSSAPS dans le cadre de la pharmacovigilance, en mettant en cause le vaccin ROR. Nous les avons sollicités pour que le service pédiatrie fasse de même afin que les informations soient remontées mais avons senti une nette réticence. A ce jour, ADRIEN 11 mois est paralysé Ses jambes ne le supportent plus, Il ne peut plus se relever, il ne tient plus assis ne peut plus se retourner dans son lit. Seuls ses bras et sa tête sont mobiles. Ses intestins fonctionnent mal stimulés par des laxatifs et suppositoires glycérinés. Nous vous remercions du temps pris à la lecture de ce mail et vous prions de croire, Messieurs, à l’assurance de notre considération distinguée. Cordialement Yolande Guéganton 355 chemin des Vannières 83740 – LA CADIERE D’AZUR Tél. 04 94 98 21 76 Mail : [email protected] Ce courrier a été envoyé à : • Mesdames Messieurs les députés du groupe d’étude sur la vaccination Assemblée Nationale • Docteur Anne CASTOT Responsable du service des risques du médicament à l’AFSSAPS • Mr le Professeur GHERARDI chef du service d’histologie de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil • Mr le Docteur LE HOUEZEC Pédiatre à CAEN Calvados et médecin référent de l’association REVAHB des victimes du vaccin de l’hépatite B
Lecture conseillée :
Vaccination; la grande illusion. (disponible sur ce blog)
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