Sac sur le dos, poussières de Paris sur les chaussures, j’arrive à Dieppe. L’objectif ? Aucun, seulement la promenade et le repos. La gare est calme et je reconnais là d’autres Parisiens en quête de repos ou seulement à la recherche de l’horizon de la manche pour s’évader et oublier les mauvais côtés du métro.
En attendant de pouvoir déposer mes affaires à l’hôtel, je décide de déjeuner au centre ville. J’avance alors, pas à pas, et je commence à découvrir un toit de cerfs-volants. Je suis tombée en plein Festival International du Cerf-Volant de Dieppe.
Excellente surprise. Je peux admirer les pièces de tissus suspendues par la terre (ouais je sais, ça ne se dit pas). Certains sont même particulièrement impressionnant ou même intimidant. C’est alors la chance de pouvoir admirer les… pilotes… les cerfs-volantistes qui font faire des figures à leur engin.D’autres sont même d’immenses colliers flottant dans les airs pour former des anneaux gigantesque. Mais le plus époustouflant demeure le nombre important d’objets volants. J’ai l’impression de marcher sous un toit formé par ces morceaux de couleurs au-dessus de ma tête.
Le monde afflue, les barraques à frites sont débordées, et les hôtels complets. La seule solution pour se déplacer lorsqu’on est hébergé un peu en périphérie et qu’on arrive par le train est alors la location de vélo. Un beau petit vélo hollandais bleu. Mais attention, les dynamos sont défaillantes alors ne rentrons pas trop tard !Je vous laisse, je vais continuer d’admirer la mer et de respirer l’iode. Peut-être aurais-je d’autres petites choses à vous montrer. Ne doutez pas que j’ai amené mon carnet de croquis et mes appareils photographiques. ;-)
Pour ceux qui connaissent le coin, un endroit à me conseiller ?