Parce que les jours se suivent et ne se ressemblent pas.
Parce que ma vie n'a jamais été un long fleuve tranquille.
Parce que j'aime tout et son contraire.
Après un week-end fait d'effervescence, de bruits, de trajets à droite à gauche, de sorties, de câlins, d'applaudissements, de repas à deux, à quatre, à cinq, le week-end qui va commencer devrait se faire en comité restreint dans le cocooning, la douceur, avec une escale dans un bar à vins... et toujours beaucoup de thé !
Pour le reste, je ne sais pas et, finalement, ça n'a pas d'importance.
Je sais juste que je vais l'aimer comme j'ai aimé le week-end d'avant et comme j'aimerai (je pense et je l'espère !) le suivant...
J'aime l'idée que les week-end se suivent mais ne se ressemblent pas, qu'ils passent d'un extrême à l'autre.
La semaine dernière, je rêvais de pâte à sel, de plastique fou, de batailles de chatouilles, de balades à vélo...
Là, je sens déjà la chaleur du plaid, j'aspire à plonger dans un sommeil léger de milieu d'après-midi devant un match de rugby, je sens déjà la rêverie m'attraper le nez plongé dans un guide de Rome...
J'aime ces mille et une vies qui se croisent, s'ajustent, se rencontrent, s'entrechoquent et m'emportent avec elles...
A bientôt !
La Papote