Vous n’aimez pas Modern Talking ? Moi non plus. Et les films de Wim Wenders ? Très peu pour moi.
Surtout n’allez pas croire que je débute un plaidoyer germanophobe, ces deux « références » sont prises au hasard.
Notre univers confiné du métro qui est vidéo-audio-média-connecté, bref, peuplé de smartphones et de tablettes, incite l’individu lambda à nous faire largement partager sa passion pour des musiques et des films de son goût.
Et, devinez quoi ? Ça n’est jamais à mon goût ; j’aurais même tendance à penser que c’est systématiquement à l’opposé.
Et pourtant, je suis capable d’apprécier à la fois Rachmaninov et Abba ou encore American Pie et Le Pianiste. Bon alors, on fait quoi avec ceux qui écoutent la musique à fond où qui regardent un film sans écouteurs ? On subit.
Les livres, au moins, ne font pas de bruit.
Revenons 20 ans en arrière où nous pouvions zyeuter tranquillou l’Équipe, le Canard Enchaîné ou Voici au-dessus de l’épaule du voyageur d’à côté qui faisait semblant de ne pas trop vous remarquer.
Le partage a ses limites, le partage forcé et obligatoire encore plus.
Désolé, je ne m’entends plus écrire…