J'ai envie de rendre des hommages, ce matin, juste avant de me taper les croissants et le p'tit café.
Envie de faire plaisir à moindres frais à ceux et celles que j'aime.
De leur prouver mon attachement.
Mon affection.
Voire, pour certaine, mon amour éternel.
Alors à Frida, la seule femme de Suède à savoir pratiquer la Brouette Corse sous la couette, je dédie ceci:
A Vieux Félin, parce que ce soir c'est Pessah et que je sais pas pour elle, mais moi et ma tribu on se tape le dîner de famille moitié yiddish, moitié couscous, et que dans le cas où elle
n'aurait pas à se fader cette épreuve, eh ben je l'envie, cette salope.
Dayénou, maidele!
A mon frangin, que Ghôzer veille sur sa petite personne et lui insuffle la créativité de la moufette et l'énergie du sconse, que Zoul daigne bénir chacune de ses journées en lui accordant le
pouvoir du crapaud-buffle et l'haleine du tamanoir en rut. Que Gode bénisse Chuck Bourdieu et Bernard Henri Seagal, par la même occasion.
A ma femme, que j'aime, que j'adore, que je soutiens toujours à fond, quoi qu'elle fasse.
T'en veux, chérie, du Rallye des Gazelles?
Je serai pas ton copilote, mais je te soutiendrai jusqu'au bout, jusqu'au dernier joint de culasse, jusqu'à la dernière couleuvre avalée, jusqu'à la dernière brûlure au cinquième degré que tu ne
manqueras pas de te choper.
Smack!
A toi, enfin, cher lecteur, chère lectrice, toi sans qui ce blog ne serait absolument rien.
Toi qui laisse des commentaires chaque jour.
Toi qui participes, laborieusement mais avec une énergie qui fait chaud au coeur, à la consternante putasserie ambiante, jour après jour, semaine après semaine.
Toi, surtout, qui t'abstiens avec bonheur de glisser dans tes commentaires sagaces des "kikou" et des "lol" vomitifs, des "sa va?" et des "aler touss o diable" vengeurs quand je t'énerve
vraiment.
Allez, bon ouike ainde.