Magazine Talents

Notations de Carnets de Conversations 60

Publié le 06 juin 2013 par Collectif Des 12 Singes
  • Crise est période de transition quand un monde meurt avant qu’un nouveau ne naisse de ses cendres
  • Une belle architecture donne toujours de belles ruines (Bernardin de Saint-Pierre)
  • Les peuples sont religieux à l’office et païens au spectacle (adapté de Voltaire)
  • La femme de mes rêves enveloppe de ses caresses l’homme endormi ; un souffle trop brusque et elle s’évapore
  • L’Amour plaît plus que le mariage par la raison que les romans sont plus amusants que l’Histoire (Chamfort)
  • Il faut juger les femmes depuis la chaussure jusqu’à la coiffure exclusivement, à peu près comme on mesure le poisson entre la queue et la tête (La Bruyère)
  • Une laide impérieuse qui veut plaire est un pauvre qui commande qu’on lui fasse la charité (Chamfort)
  • L’humain, célèbre ou inconnu, est un bon révélateur de l’époque par les ondes que ses gestes ou ses mots mettent en mouvement autour de lui (Georges Duby)
  • L’esclave n’a qu’un maître, l’ambitieux en a autant qu’il y a de gens utiles à sa fortune (La Bruyère)
  • Il n’y a au monde que deux manières de s’élever, ou par sa propre industrie ou par l’imbécilité des autres (La Bruyère)
  • Il ne faut pas se faire d’illusion : le plaisir n’est pas dans la jouissance, il est dans la poursuite (Pierre-Augustin Caron dit Beaumarchais)
  • Destin court, sans qu’il y ait eu l’apparence d’un déclin ou la furtivité interminable d’une agonie
  • Trop de gens ignorent que l’argent est un aliment et que la seule façon de s’en assimiler la force est de le manger (Paul Morand)
  • L’allégorie est une sorte de mensonge que son obscurité sauve du mépris (Diderot)
  • La renaissance se fait par le cœur, elle qui transporte les pierres et soulève les montagnes, elle qui sait offrir le vin de l’imagination
  • La réalité n’est pas aussi docile : que faire de ce qui dépasse ou de ce qui chevauche ? Nous expédions cela pêle-mêle dans des fourre-tout que nous décorons du nom de période de transition et que nous peuplons d’"attardés" et de "précurseurs", de trainards essoufflés et d’éclaireurs circonspects
  • Le Siècle des Lumières a été constitué au début de bougies et de lumignons
  • Sorti renforcé, enrichi de l’orage
  • On parle plus d’imprudences que de malversations, même si le résultat en fut équivalent
  • Certains attachent le cœur, tous provoquent l’intérêt
  • Beauté secrète, la seule qui rafraîchisse
  • En matière de plaisir, il faut calculer et peser, la sagesse devant toujours avoir à la main les jetons et la balance
  • Le triple siège de la volupté est le corps, l’intellect et la morale
  • L’eau a toujours amusé les dames et excité les messieurs : les parcs de joyeusetés, avec fontaines et jardins, sont là pour ficeler les cœurs
  • Gimblette : mot ancien pour définir le jeu, la lutinerie, la taquinerie et en argot la masturbation {Petite pâtisserie dure et sèche en forme d'anneau. Empr. au prov. gimbeleto, gimbleto [d'Albi] (MISTRAL), d'orig. obsc. : peut-être dér. du verbe langued. [toulousain] gimbla, « tordre, plier, courber », prov. gibla, d'un lat. vulg. *gibb(u)lare (v. RONJAT t. 3, p. 403), dér. du b. lat. gibbula (VÉGÈCE au sens de « excroissance, tumeur de certaines bêtes de somme »), dimin. de gibba « bosse » (FEW t. 4, p. 133a) cf. les formes b. lat. en -m- ds TLL, s.v. gibbus adj. et gibberosus Le mot est rattaché par EWFS2 au prov. gibelet « petit foret »}
  • Lutiner : Tourmenter à la manière d'un lutin. ; Agacer avec espièglerie pour jouer. titiller. Votre petit vin lutine aimablement le goût. Taquiner (une femme) en prenant des privautés sous le couvert de la plaisanterie; p. ext. caresser sensuellement. Synon. pop. Peloter. Lutin : Petit démon malicieux et facétieux taquinant les hommes et les animaux pendant la nuit (Vif, espiègle et malicieux. Synon. badin, mutin) : Du lat. Neptunus, nom du dieu de l'eau et de la mer chez les Romains, qui en b. lat. a désigné un démon païen (Neptunus a donné régulièrement netun puis nuiton probablement d'apr. nuit (ces sortes de génies étant essentiellement nocturnes), puis luiton sous l'infl. probable de l'a. fr. luitier, v. lutter, devenu luitin)
  • À mon corps défendant
  • Le phénomène Law accentue les caractéristiques des années 1720 : les riches s’appauvrissent, les pauvres s’enrichissent
  • Au début du XVIIIè siècle, Dieu n’est pas seulement mort, il est oublié : c’est un partenaire insignifiant et l’on change de "surnaturel" ! Dieu déçoit puis devient une sorte de mythe et s’efface : cette nouvelle ère croit trop en l’humain et ses usines pour faire de Dieu un "accompagnant" ! L’humain s’occupe de lui-même avec frénésie car Dieu est tellement occupé à graisser les rouages de sa grande horloge qu’on se demande s’il a encore le temps de s’occuper de l’humain !
  • La beauté est la santé parfaite de la Nature (Renouvier)
  • Plus, toujours plus, mieux et mieux même
  • Le plaisir est la vertu sous un nom plus gai (Young)
  • Le plaisir est un instant intermédiaire entre le repos et le mouvement
  • Le plaisir est un oxygène qui anime le repos de l’âme
  • Le plaisir n’est pas une catégorie morale mais un art de vivre
  • La vertu ne peut être sans quelque plaisir (Trublet)
  • Une italienne : répétition
  • La décence en fut été silence
  • Baiser de l’araignée : l’un tente de sauver l’autre mais les deux meurent au final
  • Avoir voix au chapitre : Être consulté, avoir le droit d'exprimer une opinion, de participer à une délibération. Par extension : avoir de l'influence, avoir autorité pour se mêler d'une affaire. Le nôtre remonte au Moyen Âge. Il concerne le clergé dans lequel le chapitre désigne à la fois le corps des chanoines d'une cathédrale ou d'une église importante, l'assemblée des moines et chanoines qui traite des affaires de leur communauté et le lieu dans lequel se tient cette assemblée. Celui qui avait voix au chapitre était celui qui pouvait participer aux prises de décisions, celui qui avait une voix lors des délibérations aux cours des assemblées, droit qui était ouvert aux chanoines et à leurs supérieurs comme les évêques, mais pas aux serviteurs et moinillons également présents.
  • Abonder dans le sens de
  • Le professionnalisme de la forme gène le fond
  • Depuis belles lurettes : L'expression telle que nous la connaissons aujourd'hui est attestée dès 1877. Le pseudo-mot 'lurette' vient de la contraction de la fin de 'belle' avec le mot 'heurette' ou 'hurette', dans une expression qui est utilisée avec des petites variantes dans les dialectes de plusieurs régions : "il y a belle heurette". Dans cette dernière, on trouve le diminutif '-ette' accolé à l'heure qui voudrait normalement dire "une petite heure", sauf qu'elle est précédée de l'intensif "belle" qui donne au tout une échelle autrement plus vaste (comme dans "un sacré bout de temps", par exemple, où le "bout de temps" se trouve d'un coup sacrément démultiplié).
  • Terme galvaudé : Compromettre par un mauvais usage
  • Chemin de crête : chemin le moins fatigant pour le marcheur, à défaut d'être le plus court
  • Comportement ordalique : (du vieil anglais ordal (qui a donné ordeal, l’épreuve, et du germanique urthel, « jugement » qui donne « jugement de Dieu ») est un comportement à haut risque, motivé par un besoin de jouer avec la mort ou de revitaliser son existence[1]. En psychologie, on parle d’une « appétence traumatophilique », qui est un fort désir de valider son existence en la risquant, comme dans le cas des sports dits « de l’extrême » ou des conduites à risque. On parle également en psychologie d’« ordalisme », néologisme ayant le même sens que comportement ordalique ou encore conduite à risque. L’ordalisme évoque Dionysos et son culte orgiaque. C’est vivre à cent à l’heure, jouer à la roulette russe avec sa vie. Ce qui compte, c’est la recherche de l’intensité de la vie, du plaisir sans frein et non une vie économe qui dure longtemps, ascétique et apollinienne.
  • Il faut laisser les choses viles mourir de leur propre poison
  • Les gens meurent à cause de la plus stupide des choses : l’argent
  • Zitrone : Cruel avec les faibles, obséquieux avec les puissants (Qui porte à l'excès les marques de politesse, les égards, le respect ou l'empressement envers quelqu'un. Synon. adulateur (littér.), caudataire (littér.), flatteur. Courtisan : Empr. au lat. obsequiosus «plein de complaisance», de obsequium, v. obsèques)
  • Ce qui ne peut être évité, il faut l’embrasser (Shakespeare)
  • Tout est dans tout et inversement
  • La folie des glandeurs
  • Je rêve d’un souvenir d’enfance que je n’aurai pas besoin de refouler à l’âge adulte
  • Les temps changent mais le soleil restera toujours le même
  • L’humain est émotif comme le chimpanzé, retient ses pulsions comme l’orang-outang, est organisé socialement comme le gorille (les séparations temporaires pour la recherche de nourriture sont fréquentes. Contrairement à beaucoup d'autres genres de primates ce sont le plus souvent les femelles qui quittent le groupe pour en trouver un autre. Les groupes durent généralement longtemps, parfois surviennent des luttes entre mâles pour savoir qui dirigera le groupe. L'instinct territorial est peu développé, plusieurs groupes cherchent leur nourriture aux mêmes endroits et s'évitent les uns les autres) et fait du sexe comme les bonobos (les seuls à pouvoir aussi s’accoupler en face à face)
  • On joue pour apprendre, mais seuls les humains, les singes et les chiens continuent à l’âge adulte car ils aiment ça
  • Orang-outang séparé depuis le plus longtemps, il y a 14 millions d’années, de la branche qui donnera les humains, utilise aussi des outils, le gorille non alors qu’il en est capable (séparé il y a 12 millions d’années)
  • Ça va pas encore mieux, mais au moins de mieux en mieux et c’est déjà ça
  • Il y a ce que la vie t’as donné et ce que tu en fais : deux force qui font ce que tu es
  • In vivo veritas
  • C’est le genre de fille à qui tu parles avec la langue
  • Les trois frères brasseurs et les trois grâces grasses suisses
  • St Valentin n’est pas une date du calendrier
  • Y a pas harcèlement si je ne bande pas
  • J’en ai assez fait pour cette trop fée
  • Je ne le pensais pas ! C’est quand même sorti très naturellement de ta bouche !!!
  • Dent dure, cœur tendre
  • Je ne veux me souvenir que de la prochaine histoire d’Amour
  • Un homme fait toujours l’amour comme il mange (avec les doigts, avec le dos de la couillière, gloutonnement, en mastiquant longtemps, en se délectant de chaque bouchée, avec de grands slurps, sans faire de bruit)
  • Physiquement intelligente
  • Passer de copiés (Ctrl + c) à collés (Ctrl + v), puis coupés (Ctrl + x), plus tard rétablis (Ctrl + y) en gras (Ctrl + g) et enregistrés (Ctrl + s), finalement annulés (Ctrl + z), effacés (Suppr) et nouveau document (Ctrl + n)
  • Belle planche à repasser … belles hanches
  • Sourire ultra-bright
  • Tout ce que je veux ?! Euh … c’est pas exactement ce que je voulais dire !!!
  • Y en a beaucoup des comme lui ici ? Un, y en a qu’un, voire deux avec toi
  • Tu me corriges si je me trompe … enfin, pas physiquement
  • C’est une question de bonne volonté ! Et ça consiste en quoi cette bonne volonté ???
  • Notre Amour est une chanson à doux refrain et sans fin, qui dure à l’infini, en boucle et non en lecture qui saute
  • Question de lune, de dunes
  • Tu me feras X, tu seras un ange mon ours
  • T’es sûr que tu ne veux pas ? Oui et non !
  • Joli prénom pour beau visage
  • Esthétiquement nocive pour un novice pas no vice
  • Je suis bouleversé que tu sois bouleversifiée
  • Xavier Naidoo - Ich kenne nichts : Love is more than just a kiss. We will take you to that step. We will do more than just connect.
  • Très peu de mains restent dans les poches
  • Ça ne me plaît pas, ça me ravi
  • Il me redresse l’allure et me fortifie les yeux
  • Un tiers des "célibataires" sur Meetic sont en couple
  • Cantharide : viagra du XIXè siècle : La cantharide officinale, est un coléoptère de 12 à 21 mm de longueur, au corps allongé, et d'une couleur vert brillant. On l'appelle aussi mouche cantharide ou mouche espagnole ou encore mouche de Milan, bien que ce ne soit absolument pas une mouche d'un point de vue scientifique (diptère). Lytta vesicatoria dégage à distance une odeur forte assez désagréable, rappelant une odeur de souris et si cela n'est pas suffisant pour décourager les prédateurs, elle a une arme redoutable, la cantharidine, substance très toxique, vésicatoire, qu'elle sécrète par tous les pores de son corps. Ce poison violent provoque des brûlures sur la peau et est très dangereux pour les yeux. Depuis l'Antiquité, une poudre faite avec l'insecte est reconnue comme étant un stimulateur de l'érection. Cette réputation est surfaite mais surtout dangereuse. L'absorption de poudre de cantharide provoque une inflammation des voies urinaires. L'érection, pathologique, en est une conséquence parmi d'autres : émissions d'urines sanglantes, vomissements, douleurs abdominales. La surdose peut être mortelle (50 à 100 mg suffisent). D'après le spécialiste Yves Cambefort, « Son action principale est d'irriter l'urètre, ce qui peut en effet provoquer une forte érection et un gonflement du gland, par une excitation réflexe dont le point de départ se trouve dans les muqueuses urinaires enflammées. » (Le Scarabée et les Dieux, Paris, 1994). On retrouvait notamment de petites quantités de cette poudre dans les « dragées d'Hercule ». Le marquis de Sade utilisait à l'occasion des bonbons d'anis enrobés de poudre de cantharide qu'il offrait à ses partenaires[1]. Il fut embastillé pour empoisonnement pour avoir offert des bonbons à la cantharide à quatre femmes lors d'une soirée, les effets n'étant pas ceux espérés. Le président Félix Faure, décédé à l'Elysée durant un rapport sexuel avec sa maîtresse en aurait été consommateur (ce qui expliquerait son décès). La cantharide est aussi un des ingrédients possibles du ras el hanout[2] (dont la composition est très variable), un ensemble de 25 à 50 épices utilisé dans la cuisine marocaine, en particulier dans les traditionnels tajines et couscous.
  • Le bromure est un puissant anaphrodisiaque, c'est-à-dire qu'il ôte l'envie d'avoir des rapports sexuels ou même de se masturber. Une légende tenace prétend qu'il fut longtemps incorporé au vin distribué aux soldats[2]
  • L’indignation contre la violence de la Nature a donné sa "maîtrise", qui a alors transformé ce sentiment en admiration devant sa "perfection"
  • 1852 : Napoléon III annule le vote blanc et l’abstention pour imposer un choix obligatoire
  • Je ne te laisserai même pas l’honneur de la reddition
  • Il est facile d’avoir des papiers d’importation pour les choses étrangères mais pas des passeports alors que les humains veulent bouger et les choses n’ont rien demandé
  • L’Élysée était le lupanar du Directoire
  • Grille du coq : entrée/sortie discrète
  • Premiers petits pas d’une longue marche
  • La plume d’oie est plus forte que la marche au pas de l’oie (manière dont défilent certains corps d'armées. Le soldat marche alors, le buste droit, les jambes tendues qu'il lève à presque 90° du corps et fait claquer en les laissant retomber au sol. Son usage, dont le but est celui de montrer la discipline la plus rigide, a été critiqué et ridiculisé par George Orwell. Son essai Le Lion et la Licorne en propose une interprétation métaphorique : « là, le pas de l'oie est vu comme le mouvement d'un botte en train de frapper le visage d'un homme. » Au rugby à XV, il s'agit d'un jeu de jambe particulier inventé par l'Australien David Campese qui permet de ralentir sa course puis de faire un départ rapide, déstabilisant pour la défense adverse et qui permet en plus de prendre dès le départ une petite longueur d'avance. Pour cela, on procède en donnant une impulsion à sa jambe d'appui grâce à l'autre jambe que l'on fait aller de haut en bas devant soi.
  • Louis XI : en politique il faut donner ce qu’on n’a pas et promettre ce qu’on ne peut donner
  • Je suis peut-être mort mais je ne suis pas fini
  • Il faut écouter les gens puis n’en faire qu’à sa tête
  • Le devoir m’appelle, faut que G.I.
  • Prend ton âne et passe les remparts !
  • On finit par payer pour ses bêtises et là la facture vient d’arriver, salée !
  • Je bois tellement que je vois les toiles impressionnistes nettes
  • Les bulles alcoolisées font remonter les choses enfouies
  • Se pâme, se fissure, explose
  • Sans rage de vaincre, Pasteur serait resté pharmacien
  • Se faire happer par les illusions/perspectives et devenir petit rabougri (Qui manque de force, d'envergure. Synon. desséché, mesquin, racorni)
  • Je ne veux pas qu’on vote ma mort
  • Un suicide laisse toujours un mystère en plus du goût amer de n’avoir su que faire
  • Par acquit de conscience
  • Fou mais pas idiot
  • Quand on meurt, les pupilles s’élargissent, on regarde la Mort avec de grands yeux écarquillés
  • S’il te mort, t’es mort
  • Faire les choses sérieusement, mais sans se prendre au sérieux
  • Sans la savoir, et même sans le vouloir
  • Quand le destin ferme une porte il ouvre une fenêtre
  • Acteur, metteur en scène, critique
  • Le diable est dans les détails
  • Une petite déprime que je ne laisserai pas partir en grosse dépression
  • Je suis le meilleur pour me casser le moral et l’ego, en une sortie/erreur de ma nature
  • Mon cœur est trop petit pour gérer tant de joie
  • La prière est le dernier refuge d’une canaille aux abois
  • Pour qui tu travailles ? L’argent !
  • X €, c’est pas l’argent de la petite souris caché sous le sommier
  • T’as deux pieds-bots … euh pieds beaux
  • Dès que c’est beau ça ronge l’intérieur
  • La réalité est de l’Art mal copié
  • Une merde devenue merveille par le jugement public
  • J’adorerais avoir ce tableau, mais à l’entrée … de chez toi !
  • C’est bizarre comme art ! Pourquoi, s’il aime !!!
  • Le goût est ce qu’il y a de meilleur en nous
  • À bas la Nature, vive l’Art et la Culture
  • Voltaire plaçait son argent chez les négriers alors qu’il prônait la Liberté
  • C’est en restant ensemble qu’on reste égaux
  • Je n’aime pas dire du bien de moi donc je dis du mal des autres (Beigbeder)
  • Pas étonnant que ce soit toujours les mêmes réponses, stupéfiant que ce soit toujours les mêmes questions
  • Je suis compris ? Comme le service !
  • Histoire de cornecul : histoire opposant des abrutis {« Cornecul n'est pas son maître », se disait d'une personne fière, qui se “caractérisait”, expression qu'on connaît mieux sous la forme : «Le roi n'est pas son cousin» ; Il est plus heureux (ou plus fier) qu'un roi. Il est bien connu qu' "être heureux comme un roi", c'est la félicité suprême. Cette expression indique une notion de plénitude, de satisfaction, pour avoir obtenu quelque chose que l'on a souhaité très fort et/ou attendu très longtemps. Mais elle contient aussi parfois une notion de fierté excessive, proche de la prétention. Elle s'emploie, par exemple, quand on désigne un père lors de la naissance de son premier enfant, ou un lauréat d'un concours, les deux étant à la fois extrêmement heureux et fiers.)
  • Un monde nous sépare mais nous arrivons quand même à communiquer
  • Ce sont les femmes qui emmènent les hommes au spectacle
  • Tu as exactement 30 jours de 24 heures
  • Petite phrase pour vérité énorme
  • Pour la droite, quand l’individu va bien la société aussi ; pour la Gauche c’est quand la société va bien que l’individu aussi
  • T’es caustique comme la soude qui brûle les tuyaux

Retour à La Une de Logo Paperblog

Magazine