- Le coup du chantage affectif : je ne peux pas te supporter mais je t’aime !
- Profite car ça va pas être la fête tous les jours
- Quand ça marche que dans un sens ça ne peut pas marcher longtemps
- Holà ma belle, n’emballe pas la jument (Kaamelott)
- Faire attention de là où on met les pieds de ne pas aller trop loin
- C’est parce que tu ne le connais pas que tu l’aimes tant
- Je veux bien donner de ma personne pour faire les saloperies ordinaires car faut bien faire des gosses
- L’égoïsme c’est quand les autres ne passent pas à moi mais qu’à eux
- Non non tout mais pas ça, tais-toi tais-toi, non ne raconte pas ça ! Elle fera un malheur Elle tuera mon bonheur Elle m'arrachera le cœur Elle criera sur les toits tout ce qu'elle sait de moi {Tout mais pas ça, L'Affaire Louis Trio}
- Tu crois que tu vas casser mon rêve, mais j’en ai pas qu’un seul là où toi tu n’en as même pas un !
- Ça m’ouvre d’autres possibilités mais ça m’en contraint d’autres (contraintes ouvrant elles aussi d’autres possibilités)
- Conclure à coups dans le mur
- La bonne stratégie c’est la meilleure
- La question n’est pas comment Big Blue gagne mais comment Kasparov peut perdre contre la machine
- Jean-foutre (=foutriquet) : Personne incapable, indigne ou moralement condamnable.
- Paltoquet : Individu grossier, rustre. Homme prétentieux et insolent. {Homme qui a l'air et les manières grossières, paysannes, qui marche, qui est vêtu et qui agit grossièrement et en paysan. Ce mot vient de Paletot, jaquette de paysan).
- Quand on a faim, on a aussi soif
- Le hasard/destin ne fait pas ce qu’il veut
- La graine affreuse de la méfiance est semée
- Te voir heureux est un émerveillement
- Offre-toi à ce qui se présente à toi
- Se jeter comme la misère sur le pauvre monde
- Sans vergogne {sans crainte, sans scrupule, sans pudeur, sans honte}, aller vite en besogne {ensemble de tâches (plus ou moins pénibles) que l'on s'impose ou qui sont imposées à soi ; Être rapide à mener quelqu’un à une relation amoureuse, faire une cour trop empressée}
- Se lancer dans les joyeusetés
- Voué aux gémonies, cloué au pilori, jeté de la roche tarpéienne
- Pas là je faisais sans, là je fais avec
- S’il ne te connaissait pas un peu mieux il ne serait pas dans cet état
- J’ai mieux fait de ne rien dire sinon ce serait encourager
- Elle a dit ça sous le coup de la colère ! Tu ferais mieux de te taire sinon ça va partir sous le coup de la mienne !!!
- Tu réagis pas assez ! Ça équilibre, toi tu réagis trop !!!
- Tu es l’élément hasardeux de mon plan
- Autant je peux faire œuvre de bonne volonté, autant les miracles c’est pas mon rayon
- Et comment pourquoi ?, et parce que
- Se faire bourrer le mou : Vous connaissez probablement l'expression argotique "bourrer le crâne" qui a exactement le même sens. Il se trouve que notre expression, qui semble dater de la première guerre mondiale, n'en est qu'une copie, le 'mou' étant un mot d'argot désignant le cerveau (entre autres), chose molle s'il en est. On trouve aussi la forme "gonfler le mou", tant il est vrai que celui qui cherche à nous bourrer le mou nous pompe l'air. Et de cette expression, Céline en 1936 a tiré "c'est du mou" pour dire "c'est un mensonge".
- La tempête souffle sur notre flamme, qui risque de s’éteindre ! Pas de mon côté !! Disons du mien alors !!!
- Tenir le crachoir à pastille Valda
- Quand il y a de la mauvaise foi, seul le mépris est mérité
- Tu manques pas d’air/de souffle
- Pégus, pécores, bouseux, vilains
- C’est pas moi qui explique mal, c’est eux qui sont cons (Perceval)
- Un succès … mieux, une divine surprise
- C’est fort sympathique mais si ça devait durer …
- Jouer du crincrin : sortir les violons pour tirer des larmes
- Désolé de montrer les dents mais t’avais besoin d’une mise au point
- Te fais pas embobiner, il veut te rembobiner
- Depuis des plombes (heures sonnées)
- Dire non à un truc pareil c’est refuser de faire appel à son intelligence
- Je suis très colère contre moi-même
- L’Amour c’est du dressage de bêtes sauvages
- Suicide en dernier recours de partie, sortie de secours
- Les saisons me survolent sans me soupçonner
- C’est maléfique comme c’est magnifique
- sacripant : Mauvais sujet, homme capable de mauvais coups. Synon. bandit, chenapan, vaurien {nom d'un roi de Circassie chez Boiardo, Berni et l'Arioste (cf. rodomont)}
- sans être toujours inquiet, j’aimerai bien être fixé
- la vertu est dans le juste milieu ! Le juste milieu est souvent un peu trop fade à mon goût !!!
- l’ironie est signe de bonne santé
- grand fou doux dingue, mais je t’ai sous-estimé
- la manière est nouvelle, pas la matière
- le Mal est le seul dieu qui rembourse le prix du sang et de la souffrance
- les meilleurs partent les premiers, nombreux mauvais restent longtemps
- secret de la Liberté : bosser pour personne, ne faire bosser personne
- le sourire est la meilleure réponse au courroux {à propos d'une pers. occupant un rang social élevé, d'une divinité et p. ext. d'un animal considéré comme noble : irritation véhémente et noble}
- je voulais vérifier ce que je savais déjà
- tout cramer et reprendre à zéro
- trouver à condition de tomber le nez dessus
- on fait quoi ? On fait pas !
- si on se voyait tous les jours, serait-ce autant une succession de petites fêtes ? (Kaamelott)
- à solliciter trop souvent la patience des gens, on finit par agacer
- bonne ambiance régalade/rigolade
- les voyages, rien de tel pour se faire des amis
- bon, c’est pas le tout, mais demain il fait jour
- beurré comme les tartines
- là depuis longtemps ? Suffisamment de temps !
- Ogma : dieu irlandais de l'éloquence, il terrasse ses ennemis par la parole
- On fait quoi ? On picole et on augmente les doses !
- Ce qu’il a fait c’es ce qu’il a dit
- Quand est-ce que t’as arrêté ? J’ai jamais commencé !
- Il est comment ? Bah, pour être à deux à une fête ça ira
- Travail : soit décider des trucs, soit se faire engueuler
- Je parais viril comme ça, mais j’ai ma sensibilité
- L’imposant le dispute au majestueux
- Pourquoi t’y arrives pas ? Je sais pas ! C’est déjà arrivé avant ?? Je sais plus !!
- On devient pas chef par mérite mais par magie du coup du sort, concours de circonstances hasardeuses, ensuite on fait en sorte de le mériter
- Les grands chefs n’ont qu’un point commun : ils ne se battent que pour la dignité des faibles (Kaamelott)
- Tu te souviens de l’époque où on croyait aux mêmes choses ? Oui, c’était juste l’été dernier, mais que de temps et de distance ont passé
- Je sais pas quoi dire ! Y a rien à dire mais à agir !!!
- Bonne baffe : tête qui part de côté et cheveux de travers
- Ce sont les opportunités qui guident nos vies, même si on ne les prend pas
- Tous les suicidés sont des Christ qui se sont sacrifiés : ils souffraient (d’eux-mêmes et du mal des autres) et ont fait couler leur sang pour rendre les autres coupables et provoquer leur prise de conscience
- Tout à l’envers : je couche avec ma femme et m’engueule avec mes maîtresses
- Je ne suis cruel que par bonté
- Syndrome du chirurgien est la froideur de cœur : il connaît tout de l’anatomie mais rien de l’âme
- L’Enfer est la frontière de l’esprit humain, abîme lumineux où l’humain est confronté à lui-même
- Il pourrait t’en cuire ! Toi, vas te faire cuire un œuf
- Une Jézabel aux cheveux blonds {princesse phénicienne, fille du roi de Tyr Ithobaal Ier, qui a épousé le roi Achab. La Bible lui reproche de détourner Achab du vrai Dieu et d'adorer son dieu Baal. Dans le Nouveau Testament, on retrouve une Jézabel mentionnée dans le livre de l'Apocalypse de Jean, dernier livre de la Bible. Dans le passage des « lettres aux églises qui sont en Asie », précisément celle de Thyatire (Apocalypse 2:18-29). Il s'agit donc d'une prophétesse soi-disant qui agissait de manière comparable à celle qui est décrit dans l'Ancien Testament. Il est écrit dans ce passage qu'elle enseigne et égare les serviteurs de Christ pour qu'ils se livrent à l'immoralité sexuelle et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. Les pratiques dénoncées dans ce passage ressemblent à celles des nicolaïtes mentionnées dans les passages précédents}
- Inca : or est sueur du soleil, argent est larmes de la lune
- J’ai l’intelligence de reconnaître que j’en ai pas
- Je sais que je devrais pas mais je vais en prendre quand même
- Une épidémie/hécatombe est une force qui tente de rétablir un équilibre perturbé
- Tes plateaux de balance ne sont pas équilibre, ils penchent d’un côté
- Pas farouche mais pas commode non plus
- La vie nous est donnée comme une bienvenue au monde, elle ne nous appartient qu’à moitié
- Le temps est venu que j’apprenne à m’accepter moi-même
- Chaque seconde 4 humains naissent et 2 meurent
- Quand on tombe de cheval faut tout de suite se remettre en selle
- Ce que la langue a brisé, mille chirurgiens ne peuvent le remettre en place
- Il n'y a de fromage gratuit que dans un piège à rats
- « On refuse souvent de croire ce que l'on voit pour voir ce que l'on croit. »
- « Nous regardons tous bien en l'air, les yeux bien ouverts, pour voir voler nos rêves, après tout. »
- « L'illusion pour ne pas mourir de la réalité »
- « Peut-être donnons-nous tout le meilleur de nous même à ceux qui de leur côté ne nous accordent que rarement une de leur pensée »
- « On naît pas malheureux, c'est ce putain de monde qui nous rend comme ça » « Aucun Homme ne définit ce que nous sommes. »
- « Le charme est hasard et le fantasme ne se commande pas. »
- « Un dénouement heureux est une histoire pas encore finie. »
- « Si tu crois qu'en me fixant tu vas me comprendre, tu te mets le doigt dans l’œil ! »
- « Je me lève pour faire semblant de vivre comme un vivant »
- « Ayez la sérénité d'accepter ce que vous ne pouvez changer, le courage de changer ce que vous pouvez, et surtout, la sagesse d'en connaître la différence. »
- « Until the truth becomes a lie, Until you change, until you deny. Until you believe » 30 Seconds to mars
- « Si la vie n'est qu'un rêve alors rien a commencé, et si rien a commencé, alors, on peut tout refaire, tout refaire .. ! » Kyo
- « Quand la loyauté ne peut s'exprimer elle se transforme en une lame acérée. Alors méfie-toi car un jour tu risques de transpercer la personne qui est la plus chère à tes yeux. » (Pandora hearts)
- « Tu n'as pas besoin de me faire confiance. Contente-toi de m'utiliser puisque moi, je ne fais que me servir de toi. » (Pandora hearts)
- « N'est-ce pas merveilleux ? Tout le monde s'utilise. Je veux dire, nous sommes tous engagés dans des relations mutuellement bénéfiques » ( Pandora Hearts )
- « On a des yeux, il faut bien que notre regard atterrisse quelque part »
- « En fait, on est pas perverse, on est juste plus ouverte, en pensée et en parole »
- « Mais c'est des conneries d'apparences, des conneries de certitudes. Cette connerie d'intolérance qui nous traine vers cette putain de solitude. » Altam
- "Ceux qui se sont limités à ce qui leur paraissait possible...n'ont jamais progressé d'un seul pas" [Michel Bakounine].
- "C'est important l'intelligence. L'intelligence, c'est le seul outil qui permet à l'humain de mesurer l'étendue de son malheur. L'intelligence c'est comme les parachutes, quand on n'en a pas, on s'écrase." [Pierre Desproges].
- "Le désespoir est une forme supérieure de la critique." [Léo Ferré].
- "Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir" [Charles Baudelaire].
- "Voyageur, quand tu passeras près de moi, ne m’adresse pas, je t’en supplie, le moindre mot de consolation : tu affaiblirais mon courage. Laisse-moi réchauffer ma ténacité à la flamme du martyre volontaire. Va-t’en... que je ne t’inspire aucune piété." [Isidore Ducasse, Comte de Lautréamont]
- On épouse une femme qui ressemble à sa mère et puis on se rappelle qu’on déteste sa mère
- Dire la Vérité, telle est ma philosophie de vie, mais des fois vaut mieux renoncer à sa philosophie
- T’es comme les mauvais écrivains : tu sais pas conclure
- Tu m’en diras tant
- Quand on est amoureux, les rêves sont plus doux et le réveil est moins douloureux
- Une merveilleuse absurdité
- On est ce qu’on laisse derrière soi
- J’avais rendez-vous avec la Mort mais elle m’a posé un lapin
- Espace infini entre tes deux oreilles
- Godiche : qui est d'une maladresse excessive, d'une timidité ridicule. Synon. benêt, empoté (fam.), maladroit, nigaud {de Godon, attesté comme dimin. de Claude, sot, imbécile. C'est un claude De Claude, prénom très fréquent en France, au XVIe s. (MIGL., p. 222); moins prob. p. allus. à la faiblesse d'esprit de l'empereur Claude (Tiberius Claudius Caesar, 10 av. J.-C.-54 apr. J.-C.) ; le mot a pu être secondairement rapproché des dér. dial. du rad. onomat. god- signifiant « niais » (cf. godelureau)}
- laïus : Discours, exposé; en partic. long développement verbeux et creux. {Laïusseur, subst. masc., fam. Celui qui fait un laïus; personne qui parle d'abondance, bavard. Du nom de Laïus (époux de Jocaste et père d'Œdipe), les élèves de Polytechnique ayant eu, en 1804, pour premier sujet littéraire un Discours de Laïus}
- l’Amour fou est un acte de désespoir
- tomber est passivité, sauter est volonté
- laisse-moi être la seule voix à laquelle tu obéisses dans ta tête
- au diable Vauvert : Au départ, ce mot banal ne désigne qu'un 'vert vallon' ou 'val vert'. Dès le XVe siècle, "faire le diable de Vauvert" signifiait "s'agiter comme un beau diable", mais sans qu'aucune notion de distance ne s'y rattache. Ce nom était aussi celui d'une abbaye de Chartreux située au sud de Paris, à peu près là où se trouve actuellement le carrefour Denfert-Rochereau. Cette abbaye aurait été le théatre de manifestation plus ou moins dialoliques, peut-être orchestrées par les moines eux-mêmes pour que le roi Louis IX leur fasse donation du domaine. Il existait également un château de Vauvert à Gentilly qui aurait servi de repaire à des bandits redoutés. Il y avait aussi un Vauvert près de Nîmes, où les protestants ont détruit un sanctuaire dédié à la Vierge. Il est donc possible qu'un de ces 'Vauvert' considérés comme éloignés de Paris à l'époque, et dans lesquels des évènements 'peu catholiques' se produisaient, a donné naissance à cette expression en le mêlant à "au diable" qui, dès le XVe siècle, voulait déjà dire "très loin".
- chant du cygne : (expression d’origine grecque) désigne la dernière œuvre remarquable d’un poète ou d’un artiste. D’après la légende, un cygne muet, sentant venir sa mort, chanta pour la première fois une mélodie de la manière la plus merveilleuse qu’il soit.
- Vie trop courte et mort bien trop longue
- Nous ? : comme toi qui n’es jamais là plus moi qui gère toutes les emmerdes ???
- La mort est comme le sexe au travail ou au lycée : on serait horrifié de savoir combien d’occasion ont été loupées
- La seule chose plus inimaginable que ma mort fut ma naissance
- L’argent est si dur à gagner qu’on le dépense au prix des efforts
- Lippe boudeuse : Lèvre (inférieure) épaisse et proéminente ; Mouvement accusé de la lèvre qui traduit généralement l'insatisfaction, le mécontentement. Synon. moue
- Lèvres dont je rêve, errance labiale
- Le goût ou coût, voire coup, de la vie
- Le sage sait qu’il ignore
- Dans la vie comme dans la mort, qui sait ce qui nous attend ?
- Décomposition des chaires : carbone, azote, phosphore, comme pour les engrais
- Complicité je sais pas, lâcheté c’est sûr
- Bacchus est plus noyé que Neptune
- Le mariage est une conspiration secrète entre deux personnes pour ne pas tout dire
- L’eau ne peut pas rendre un clown méchant
- Je suis léopard car je ne peux changer mes tâches, chat car solitaire et mystérieux
- Chacun choisi à quelle distance de la Mort il veut vivre
- Ce sont les imperfections qui font les gens beaux, comme trois tâches de rousseur sur une peau d’albâtre
- Danse/parade amoureuse puis combat guerrier
- Traverser le marais ou le contourner
- Histoire de se faire peur et de les affronter ensemble plutôt que seul
- Sainte Rita : tout comme saint Jude, est l'avocate des « causes désespérées ». Dans le diocèse de Paris, le sanctuaire officiel de sainte Rita dépend de la paroisse de la Trinité. Il est situé au 65 bd de Clichy 75009 Paris.
- Comment retenir l’amour quand il n’y a rien à retenir ?
- Mérites-tu de t’aimer encore (un peu) plus ?
- Quand tu es en colère, la mauvaise journée n’est pas tant pour toi que pour les autres à te supporter
- Je veux bien lui pardonner, mais qu’il s’excuse d’abord, en premier
- Certaines personnes deviennent ce qu’elles devaient être
- Le divorce est plus cher que dur
- Entre toi et moi ce sera jamais censé être
- Quand je prononce le mot argent je me sens sale de la bouche
- Tire d’abord, pose les questions après
- C’est dur de se souvenir des gens silencieux/passifs
- Je fais du télétravail pour Pole Emploi
- Personne ne vit dans le présent, car nous sommes tous obsédés par ce qui va se passer ou s’est passé
- Je fais un break, j’arrête d’être moi-même
- La mort et la vie sont comme des chaises musicales : quand le son s’arrête, on est toujours à une place de perdre
- Les gagnants prennent leurs propres décisions
- Prendre une décision pour qu’elle nous prenne
- Je suis dans l’attente, c’est pas le moment de désirer
- Des gens qui me gueulent dessus en me reprochant mes erreurs alors qu’ils tirent profit de mon boulot
- Festin interrompu par le destin
- Vieille baderne : Dans la marine, au cours de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, la 'baderne' désignait une tresse épaisse fabriquée à l'aide de vieux cordages, tresse qui était appliquée autour des mâts, des vergues, du cabestan..., pour les protéger de l'humidité et du frottement avec d'autres objets. On s'en servait aussi comme paillassons sur le pont des navires transportant des animaux pour protéger le bois. C'est à partir du milieu du XIXe siècle, que le mot, venu de l'argot des marins, a désigné péjorativement un individu bon à rien ou hors d'état de faire quoi que ce soit ("hors d'usage", comme les cordages servant à tresser une baderne). Chez les militaires, d'abord utilisé chez les matelots pour désigner un vieux marin plus capable de grand-chose, il s'est généralisé dans toutes les armes, à l'intention de vieux militaires bornés
- Les règles sont le premier pas vers la tyrannie de l’âme