Vous avez raté cette chronique ? Pas de panique, voici les textes que le professeur Blequin vous avait fait (re)découvrir (cliquez sur les éléments tronqués pour les afficher dans leur entièreté) :
Citations du baron Pierre de Coubertin (1863-1937) :
« En ciselant son corps par l’exercice comme le fait un sculpteur d’une statue, l’athlète antique honorait les Dieux. En faisant de même, l’athlète moderne exalte sa patrie, sa race, son drapeau. »
« Il y a deux races distinctes : celles au regard franc, aux muscles forts, à la démarche assurée et celle des maladifs, à la mine résignée et humble, à l’air vaincu. Eh bien, c’est dans les collèges comme dans le monde : les faibles sont écartés, le bénéfice de cette éducation n’est appréciable qu’aux forts. »
« Les races sont de valeur différente et à la race blanche, d’essence supérieure, toutes les autres doivent faire allégeance. »
« Il est indécent que les spectateurs soient exposés au risque de voir le corps d’une femme brisé devant leurs yeux. En plus, peu importe la force de la sportive, son organisme n’est pas fait pour supporter certains chocs. »
« En un siècle de laïcité, une religion était à notre disposition. Le drapeau national, symbole du moderne patriotisme montant au mât de la victoire pour récompenser l’athlète vainqueur, voilà qui continuerait le culte près du foyer allumé. »
« Les sports ont fait fleurir toutes les qualités qui servent à la guerre : insouciance, belle-humeur, accoutumance à l’imprévu, notion exacte de l’effort à faire sans dépenser des forces inutiles. »
Patrick Vassort, Football et politique: Sociologie historique d’une domination, L’Harmattan, 2005 :
Siné (né en 1928), Mon Dico illustré, Hoëbeke, 2008 :Wasterlain, Falzar et Zidrou, Spirou n°2882, juillet 1993 :