La grande tendance est à l’appareil/logiciel qui fait de nous des êtres humains meilleurs : mieux bouger, mieux manger, mieux gérer son quotidien… Mais y a-t-il quelque chose pour nous rendre plus intelligent ?
Mais parle-t-on de bon sens commun, ou parle-t-on de capacité neurologique ? Pendant le succès de Lucy ou l’histoire d’une fille qui réussit à avoir pleinement pris possession de ses capacités neurologiques pour laisser dans l’ombre notre meilleur ami le docteur Kawashima, Adam Gazley présente à LeWeb une conférence intitulée « Video Games and neurosciences ». Il part du constat que notre cerveau n’est pas au top de ses performances et que le système actuel (médical, éducatif) ne l’aide pas vraiment à se développer. Il semblerait que grâce aux jeux vidéo, on soit en la possession d’outils qui peuvent analyser nos capacités cognitives pour bien-sûr les améliorer ensuite.
N’est-ce pas le premier argument de vente de du Docteur Kawashima ? Car hors le fait que ce soit amusant de lui dire « lunettes, lunettes », le but était bien d’améliorer par gymnastique les capacités intellectuelles d’une personne.
Cependant ces critères semblent finalement restreints. Si notre intelligence ne se mesurait qu’à la possibilité de mieux faire fonctionner ses cellules grises, ce serait trop faciles. Pourtant deux personnes aussi intelligentes l’une que l’autre ne traversent pas toujours les mêmes épreuves de la même manière. Yohan Ruso (CEO de Praditus) m’a d’ailleurs aujourd’hui rappelé qu’il existait plusieurs types d’intelligences.
Alors Docteur, comment je fais ?