Alexandre Vialatte prétendait qu’il est relativement facile d’écrire une chronique. Il suffit de trouver la première et la dernière phrase. Entre les deux, on met ce que l’on veut. L’important étant de retomber sur ses pieds au moment de la conclusion. Mais n’est pas Alexandre Vialatte qui veut.
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Le Vieux Bougon va malgré tout tenter de nouveau de se montrer à la hauteur dès le début septembre.
En espérant l’indulgence de ses lecteurs.
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