Désolé, mais aujourd’hui, pas moyen d’écrire quoi que ce soit d’acceptable : trop de dégoût, trop d’horreur, trop d’abattement. J’ai bien tenté de montrer que la vie continuait malgré tout et qu’il ne fallait pas céder à la terreur : ça ne m’a rapporté que des reproches… Si je vous disais ce que je pense en ce moment, je ne ferais qu’aggraver mon cas. A la semaine prochaine, si je ne suis pas mort de chagrin d’ici-là.
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